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Effets psychologiques des réseaux sociaux

Les premières conséquences remarquées chez les enfants quant à l’explosion de réseaux comme Facebook et Twitter viennent d’être présentés par l’American Psychological Association, nous apprend Medical News Today.

Par exemple, on semble prouver de plus en plus que Facebook affecte la réussite scolaire. Des études ont déjà démontré que des enfants d’âge scolaire, des adolescents et des étudiants qui visitent le site de Facebook durant au moins 15 minutes durant une période d’étude ont de moins bonnes notes.
 
La présente recherche soutient quant à elle que les réseaux sociaux peuvent venir en aide aux jeunes introvertis pour apprendre à socialiser, ces derniers ayant l’écran comme protection.
 
Il semble même que des réseaux comme Facebook et Twitter pourraient servir d’outils d’enseignement, qu’ils constituent une manière d’interpeller les jeunes élèves.
 
Mais l’une des conclusions à retenir de cette étude est l’importance des outils de contrôle parental. L’emploi unique d’un tel outil n’est pas efficace; un parent doit être le plus impliqué possible dans la vie de son enfant.
 
Selon les experts, les parents devraient centrer leur éducation sur la communication, en suivant la règle du « cinq à un. Parlez une minute et écoutez pendant cinq minutes. »
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Les réseaux sociaux et les enfants

Une enquête européenne nous révèle que les enfants sont de plus en plus nombreux à avoir un compte Facebook ou YouTube, par exemple. Menée par la Commission européenne, elle stipule qu’en moyenne, 38 % des enfants âgés de 9 à 12 ans possèdent un profil personnel sur un réseau social.

Lorsque l’on augmente de groupe d’âge, soit les 13 à 16 ans, ce taux s’élève tout autant. Ainsi, en Europe, on estime que 77 % de ces jeunes ont un profil à eux, comme nous pouvons le lire sur zdnet.fr.

Ces chiffres sont par ailleurs inquiétants, car l’enquête révèle aussi que la majorité des enfants ont un profil révélant des renseignements privés visibles par tous; leurs coordonnées, par exemple.

Nous pouvons aussi conclure, à la vue de ces nouvelles données, que l’effort collectif de 2009 pour garantir la sécurité des plus jeunes sur Internet et limiter l’accès des enfants aux sites de réseautage social semble visiblement un échec.

Rappelons qu’à l’époque, pas moins de 17 réseaux sociaux s’étaient regroupés en vue d’atteindre ces objectifs. On comptait parmi eux Facebook, YouTube et Dailymotion.

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Les réseaux sociaux peuvent provoquer des troubles alimentaires

On ignore exactement pourquoi, mais une récente étude démontre que les adolescentes qui passent le plus de temps sur le site de réseautage social Facebook sont plus susceptibles de souffrir de désordres alimentaires comme la boulimie et l’anorexie.
 
Le temps passé à naviguer sur la Toile en général joue également un rôle, car les jeunes filles ont plus facilement accès à de nombreux sites de mode ou de célébrités où les normes corporelles sont extrêmes, ce qui affecte l’estime de soi des jeunes filles.
 
248 filles de 12 à 19 ans ont participé à l’étude. Elles devaient faire part de leurs habitudes concernant l’Internet et la télévision, des vedettes qu’elles aimaient, mais aussi parler de leurs satisfactions ou insatisfactions corporelles, de leur approche de la minceur et de la nourriture. Tout cela dans le but de mesurer les effets de l’exposition aux médias sur les jeunes filles et leur autonomisation.
 
Les résultats démontrent que les filles qui passaient le plus de temps sur Facebook étaient plus sujettes à avoir des problèmes d’alimentation, à avoir une moins bonne estime d’elles-mêmes et à avoir le plus envie de suivre des régimes sévères.
 
Par contre, la bonne nouvelle est que l’étude révèle également que si les parents se soucient de l’utilisation faite d’Internet par leur enfant, les données changent et les problèmes sont beaucoup moins fréquents.