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Clinique propose trois nouveaux soins réservés aux hommes

La marque de cosmétiques Clinique enrichit sa gamme Clinique For Men de trois soins spécialement conçus pour la peau spécifique des hommes et leurs besoins.

Si hommes et femmes prennent aujourd’hui soin de leur peau au quotidien, leurs besoins demeurent différents, notamment en termes de temps et d’efficacité. Les hommes recherchent avant tout des produits qui ne nécessitent pas de gestes complexes ou de rituels beauté interminables.

Pour répondre à ces besoins, la marque Clinique propose une gamme spéciale pour satisfaire la peau des hommes en quelques minutes seulement.

Trois nouveaux soins, ciblant des besoins particuliers, seront présentés dès février prochain : le Fluide Hydratant, qui apaise la peau après le rasage et estompe les rides, le Gel Hydratant Matifiant Anti-Brillance, qui rééquilibre le film hydrolipidique de la peau, et l’Hydratant Anti-Age, qui renforce la barrière cutanée et répare les signes du vieillissement.

Ces trois soins viennent enrichir la gamme déjà très complète de Clinique For Men, qui se compose notamment d’un Nettoyant Visage, d’un Exfoliant Visage, d’une Lotion Exfoliante, d’un Gel de Rasage à l’Aloes, d’une Crème Anti-Age Yeux, d’un Gel Anti-Fatigue Yeux ou encore d’un Gel Bronzant Visage.

Les trois nouveautés seront offertes à compter de février 2014, dans les grands magasins, les parfumeries et sur l’e-shop de Clinique.

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UNESCO : trois nouvelles réserves de biosphère en Espagne, au 2e rang mondial

L’UNESCO a annoncé mardi (28 mai) avoir classé trois sites espagnols en tant que réserves de biosphères, l’Espagne étant désormais au deuxième rang mondial dans ce domaine avec 45 réserves, juste derrière les États-Unis qui en abritent 47.

Les réserves de biosphère sont choisies en vue de servir de lieux d’expérimentation de diverses approches de gestion intégrée de la biodiversité et des ressources naturelles. Les réserves sont aussi des sites d’expérimentation et d’apprentissage du développement durable, précise l’UNESCO dans un communiqué. 

Le site royal de San ildefonso-El Espinar près de Ségovie, Mariñas Coruñesas e Terras do Mandeo en Galice et les terres de l’Ebre en Catalogne ont été choisis par le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’Homme et la biosphère.

À une cinquantaine de kilomètres de Madrid, San Ildefonso s’étend sur 35 414 hectares et abrite la montagne de Valsaín, une grande zone boisée de 14 000 habitants qui « revêt une importante valeur à la fois écologique, économique et sociale, et abrite des centres de recherche notamment forestière », estime l’UNESCO.

La réserve en Galice, située sur le littoral cantabrique et atlantique de la région, s’étend quant à elle sur quelque 116 000 hectares et compte 190 000 habitants. « Elle abrite une grande biodiversité et une grande diversité culturelle liées à l’utilisation de ressources naturelles (engrais, production de miel, etc.) qui a permis le maintien de communautés ainsi que la conservation de races de bétail autochtones ».

Pour leur part, les Terres de l’Ebre couvrent une superficie de 367 729 hectares pour une population de 190 000 habitants. Elles incluent le delta et le bassin de l’Ebre, le plus grand fleuve d’Espagne en débit. L’UNESCO souligne que la plus grande partie du site est consacrée à l’élevage et que les énergies alternatives (éolienne, solaire ou hydraulique) y ont été développées dans le respect de l’environnement.

Au total, 12 nouveaux sites ont été classés dont également deux en France, le Marais Audomarois qui comprend la ville de Saint-Omer et la réserve de Mont-Viso, l’île des serpents-Mont Laotie en Chine, le Massif de Cajas en Équateur et l’Alakol au Kazakhstan.

Le réseau mondial des réserves de biosphère compte désormais 621 sites répartis dans 117 pays. Avec 45 sites classés, l’Espagne devance le Mexique et la Russie qui en comptent chacun 41.

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Les touristes bannis des réserves de tigres en Inde

Les réserves de Bandipur, Nagarahole, Anshi-Dandeli, Biligiri Ranganathaswamy Temple et Bhadra, entre autres, n’accueilleront donc plus de visiteurs étrangers.

La fermeture de ces cinq réserves fauniques clés dans l’industrie du tourisme aura un impact direct sur le secteur. En fait, des centaines de milliers de touristes visitent chaque année ces endroits où les tigres sont protégés.

Les parcs nationaux de Bandipur et de Nagarahole ont été classés par la National Tiger Conservation Authority comme un « noyau critique de l’habitat des tigres ».

L’impact sera surtout d’ordre économique, affectant les hôtels et autres établissements d’hébergement appartenant à l’État.

Toutefois, quelques réserves recevront encore des touristes, mais seulement celles qui ne sont pas des réserves de tigres. Par exemple, le sanctuaire d’antilopes de Bidar demeurera ouvert au tourisme.

Rappelons que la population la plus importante de tigres du Bengale est située en Inde. L’espèce a été officiellement reconnue comme étant en danger en 2010 par l’International Union for Conservation of Nature.