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Le poisson de culture contient trop d’antibiotiques

L’aquaculture a un excellent potentiel pour repeupler la faune aquatique. Cependant, les poissons et fruits de mer contenus dans ces bassins font partie de la cause de décès annuels d’environ 23 000, et ce, uniquement aux États-Unis.

La raison est reliée aux antibiotiques contenus dans les espèces cultivées. Ils font en sorte que certaines familles de virus développent une résistance, causant à son tour une menace pour la santé. Chaque année, les Américains sont environ 2 millions à souffrir à cause de ces nouveaux super-virus.

Pour évaluer le danger en provenance des poissons de culture, rapporte Science World Report, des chercheurs ont analysé les 10 poissons ou fruits de mer les plus populaires auprès des consommateurs.

Parmi les échantillons se retrouvaient la crevette, le saumon de l’Atlantique, le poisson-chat, la truite et le tilapia. Or, ils contenaient tous différentes traces d’antibiotiques, même ceux qui étaient vendus avec mention « sans antibiotiques ».

L’un des chercheurs, Rolf Halden, affirme qu’il faut agir. « La menace d’une ère post-antibiotique ne peut pas être évitée sans revoir nos méthodes actuelles dans l’utilisation d’antibiotiques sur les animaux, incluant l’aquaculture. »

Les détails de l’étude se retrouvent dans la revue Journal of Hazardous Materials

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La résistance mondiale aux antibiotiques inquiète l’OMS

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’inquiète grandement du phénomène grandissant de résistance aux antibiotiques, par ailleurs observable partout dans le monde, selon Le Devoir.

Bien que l’inquiétude de l’OMS envers ce phénomène ne date pas d’hier, les plus récentes révélations de l’Organisation sont quand même inquiétantes.

Selon l’étude de l’OMS, aucun nouveau type d’antibiotiques n’a été découvert depuis trois décennies, alors que les bactéries capables de leur résister auraient maintenant proliféré à l’échelle mondiale. Des troubles de santé considérés comme « mineurs » pourraient donc devenir possiblement mortels, croient les experts de l’OMS.

Des exemples viennent rapidement en tête, par exemple celui de la bactérie E. coli, qui peut mener à la méningite. Les bactéries liées à la pneumonie et à la gonorrhée inquiètent également.

L’OMS recommande en terminant de ne jamais consommer d’antibiotiques qui ne vous sont pas destinés ou prescrits directement, et de toujours compléter une prescription au complet.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Les cas de tuberculose de plus en plus résistants

Les souches de la tuberculose sont de plus en plus résistantes, et les données publiées par The Lancet sont plutôt inquiétantes.
 
On mentionne qu’entre 40 et 50 % des cas de tuberculose sont résistants aux traitements de base, et même de deuxième ligne dans certains cas.
 
Une nouvelle forme de la maladie a même fait son apparition en Inde, et celle-ci est totalement incurable pour l’instant.
 
Malheureusement, les cas les plus résistants se retrouvent souvent dans les pays en développement, où l’accès aux diagnostics et aux traitements est plus restreint.
 
Les options de traitements deviennent alors plus rares, mais surtout plus toxiques, plus coûteuses et pas nécessairement plus efficaces.
 
Il est donc important d’améliorer l’accès aux diagnostics précis, aux traitements, mais aussi d’aider à prévenir la maladie.
 
Dans les prochaines années, ce sera un obstacle de taille, puisque les traitements actuels ne pourront plus traiter les patients.
 
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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Une explication au virus de la grippe résistant aux antibiotiques

Habituellement, le Tamiflu est le médicament le plus efficace pour contrer le virus de la grippe, et celui-ci ne parvient pas à lui résister efficacement.
 
Seulement, en 2009, les scientifiques ont découvert avec surprise qu’une souche du virus pouvait résister durement au Tamiflu sans aucun problème, mais on ignorait comment cela avait pu se produire.
 
« Les gènes qui devaient muter pour résister au Tamiflu étaient tellement conservés, tellement essentiels au virus, que si cela survenait, on croyait que ce serait au détriment du virus : il ne pourrait pas bien se répliquer, pas bien se transmettre », raconte l’infectiologue Guy Boivin au PLoS – Pathology.
 
Une équipe de l’Université Laval a identifié un gène mutant, le R222Q, qui permet au virus de résister au traitement, car il compense les inconvénients de la mutation, le rendant donc non seulement résistant, mais aussi encore bien vivant.
 
« La bonne nouvelle, c’est que chez le virus pandémique, qui circule toujours depuis 2009, cette mutation compensatrice n’est pas encore apparue. Donc, on a des virus pandémiques qui possèdent la mutation de résistance au Tamiflu, mais ils n’ont pas la mutation permissive. Il y a eu environ 600 cas de virus pandémiques résistants décrits jusqu’à maintenant, mais il n’y a pas eu beaucoup de transmission d’humain à humain. Ce qui confirme notre hypothèse qu’il faut une mutation compensatrice », ajoute le chercheur.
 
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Les super-bactéries deviennent de plus en plus inquiétantes

Les scientifiques s’inquiètent du nombre croissant de bactéries résistantes à tous les antibiotiques.
 
La surutilisation des antibiotiques mène à ce problème, et si des actions ne sont pas prises, le phénomène deviendra une véritable menace, freinant même les traitements médicaux de base.
 
Depuis deux ans, le phénomène est observé, mais rien n’a réellement été fait, s’indignent des experts dans The Lancet Infectious Diseases.
 
On demande plus de recherches, mais aussi une bonne réflexion de la part des médecins avant de prescrire des antibiotiques.
 
Dans bien des cas, ceux-ci sont prescrits inutilement, ce qui leur fait perdre de leur efficacité sur les bactéries qui, elles, développent une plus grande résistance. On assiste également à la naissance de nouvelles bactéries.
 
On rappelle que la toux et le rhume se guérissent d’eux-mêmes la plupart du temps. Il est aussi important de compléter le traitement prescrit et de le suivre à la lettre, même si l’on commence à se sentir mieux. De plus, ne conservez jamais des restes d’antibiotiques.
 
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La gonorrhée devient résistante aux traitements

Des chercheurs suédois viennent de découvrir une nouvelle souche de gonorrhée et malheureusement, cela n’augure rien de bon.
 
Cette souche est résistante à tous les traitements offerts en ce moment, ce qui veut dire qu’elle pourrait se propager rapidement dans le monde.
 
La gonorrhée est une ITS (infection transmise sexuellement) très fréquente. Malheureusement, 50 % des femmes infectées et 2 à 5 % des hommes présentent des symptômes de l’infection.
 
Non traitée, la gonorrhée peut entraîner des complications graves ou même permanentes, comme l’infertilité. La nouvelle souche n’est donc pas une bonne nouvelle.
 
« Il s’agit d’une découverte à la fois alarmante et prévisible. Depuis que l’usage d’antibiotiques est devenu le traitement privilégié pour traiter la gonorrhée, au cours des années 40, la bactérie s’est montrée particulièrement habile à développer des mécanismes de résistance aux médicaments », dit le Dr Magnus Unemo par voie de communiqué.

« Bien qu’il soit encore trop tôt pour déterminer dans quelle mesure la nouvelle souche s’est répandue, l’historique de cette bactérie suggère qu’elle pourrait se propager rapidement en l’absence de nouveaux médicaments et de programmes de prévention appropriés », conclut-il.