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Faites cuisiner votre enfant, c’est bon!

L’expression « Carrot but no stick for a healthy child » résume bien l’étude d’Elisabeth Lind Melbye, nutritionniste à l’Université de Stavanger, en Norvège.

Pour elle, il vaut mieux pour les parents ne pas être trop strictes et plutôt encourager les enfants à participer aux tâches cuisinières, comme l’organisation et la préparation du repas.

L’étude, qui a été effectuée auprès de 800 enfants norvégiens âgés de 10 à 12 ans et de leurs parents, est parue dans la revue BMC Medical Research Methodology. Elle démontre que « les règles strictes sur ce que les enfants doivent ou ne doivent pas manger ne fonctionnent pas ».

On affirme que comme pour n’importe quoi, l’interdit est attirant : « Si les parents sont trop stricts et restrictifs sur le régime alimentaire, l’enfant pourra tout à fait, par réaction, développer un désir pour la nourriture malsaine ».

Selon la spécialiste, « l’enfant doit avoir aussi le sentiment qu’il a lui-même le choix et le désir de manger correctement, même si les parents encouragent une bonne alimentation », rapporte le site SantéLog.

Elle suggère donc aux familles d’appliquer ces quelques trucs qui feront un bien pour la santé physique et morale de tous, mais aussi pour le développement du sens des responsabilités.

• Avoir des aliments sains « à portée de main » de l’enfant;
• Autoriser l’enfant à en consommer quand il le veut;
• Faire participer activement l’enfant dans la préparation des repas;
• Emmener l’enfant faire les courses, lui faire écrire la liste d’épicerie;
• Supprimer l’accès aux aliments malsains (sauf lors d’occasions spéciales);
• Discuter avec l’enfant de ce qu’est une bonne alimentation, pendant la préparation des repas;
• Ne pas être trop strict.
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Plus de responsabilités pour les pharmaciens

Voilà un projet de loi qui devrait être adopté rapidement, car il ne rencontre aucune opposition. Le projet de loi 41, déposé par le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc, donnera un plus grand rôle aux pharmaciens. Ceci devrait aider à désengorger les cliniques.
 
Ainsi, les pharmaciens pourront renouveler une ordonnance, ajuster celle-ci et faire une prescription dans les cas qui ne nécessitent aucun diagnostic.
 
Les pharmaciens ne pourront en aucun cas poser un diagnostic; cela demeure la responsabilité des médecins uniquement.
 
Pour des problèmes mineurs comme des feux sauvages, des allergies saisonnières, des infections urinaires, la diarrhée du voyageur ou les nausées de femmes enceintes, les pharmaciens pourront vous venir en aide sans que vous ayez besoin de passer chez votre médecin auparavant.
 
Cette initiative est applaudie par les partis d’opposition à Québec.