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Le meilleur restaurant du monde ferme

Le restaurant d’entre tous les restaurants, l’El Bulli du chef de réputation internationale Ferran Adria, créateur de la gastronomie moléculaire bien réputé pour son avant-gardisme, fermera ses portes durant 2 ans, histoire de permettre à Adria de se reposer et de se ressourcer, lui qui avoue bien humblement que ses dures journées de 15 heures lui sont rendues trop lourdes.

L’El Bulli sera encore ouvert en 2010 et 2011, mais annonce déjà une fermeture complète pour 2012 et 2013, années où le chef a l’intention de repenser sa façon de cuisiner pour revenir en 2014 avec une toute nouvelle manière d’opérer son établissement, lui qui n’ouvre déjà pas les portes de son illustre restaurant à l’année. En 2010, l’El Bulli n’ouvrira en effet qu’à compter du 15 juin et jusqu’au 20 décembre.

L’El Bulli a été nommé durant quatre années consécutives le meilleur restaurant du monde par un panel de 800 chefs et critiques de restaurants interrogés par le magazine anglais Restaurant. L’établissement du chef est situé dans la région de la Catalogne, en Espagne, dans le village de Roses, sur la côte nord-est qui se jette dans la Méditerranée.

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Des repas peu coûteux en Bretagne

Après un restaurant de Londres qui disait à ses clients de payer ce qu’ils voulaient pour leur addition, voilà que deux restaurants de Bretagne font aussi preuve d’imagination.

Pour faire face à la crise financière et à la baisse de clientèle, le restaurant L’Étage, à Nantes, propose, les mardis midi, un menu à moins de 5 $, le verre à vin à 2,50 $ et le café à 1,50 $.

Même son de cloche du côté de St-Malo. Le restaurant La Cabane a révisé son menu et offre notamment le Parmentier-salade avec une crêpe au sucre à environ 8 $.

Ces initiatives, bien qu’isolées, connaissent du succès.

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Trois restaurants québécois honorés

Le Québec fait encore une fois très bonne figure parmi les restaurants et établissements hôteliers recommandés Quatre et Cinq Diamants par les Associations canadienne (CAA) et américaine (AAA) des automobilistes pour l’année 2009.

Les restaurants Le Baccara du Casino du Lac-Leamy à Gatineau, Nuances du Casino de Montréal et Toqué!, également situé à Montréal, obtiennent tous la plus haute note décernée, soit Cinq Diamants. Seulement 0,28 % des 58 000 restaurants et établissements hôteliers cotés au Canada obtiennent cette prestigieuse distinction.

Plusieurs établissements cotés Quatre Diamants se retrouvent aussi au Québec. 23 % de tous les établissements canadiens qui ont obtenu cette cote sont situés dans la Belle province. Parmi les nouveaux venus, l’édition 2009 accueille les restaurants Europea et laurie raphaël, tous deux situés à Montréal.

Charlevoix, l’Estrie, Québec, les Laurentides, Montréal, l’Outaouais et plusieurs autres régions du Québec sont en bonne position dans ce tableau des médailles avec un nombre impressionnant de lauréats Quatre Diamants, soit 27 restaurants et 31 établissements hôteliers.

Rappelons que seulement un peu plus de 3 % des établissements cotés obtiennent la distinction Quatre Diamants en Amérique du Nord et dans les Caraïbes.

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Montréal veut éliminer les gras trans

La ville de Montréal s’inspire de ce qui se fait dans les villes de New York, Boston et Calgary. Elle souhaite mettre sur pied un projet pilote, avec la Direction de la santé publique, afin d’interdire les gras trans dans les cuisines des restaurants, rapporte Cyberpresse.ca.

Il n’a pas encore été déterminé si les gras trans seront complètement interdits des cuisines ni dans quels types de restaurants les mesures seront appliquées.

Richard Thériault, du cabinet du maire, affirme que les gens de l’industrie visés par le projet seront consultés durant le processus.

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Les restaurants s’adaptent

La Fondation des maladies du coeur accueille favorablement un rapport sur les gras trans publié par Santé Canada. Ce document fait état des progrès des chaînes de restauration rapide, qui retirent progressivement de leurs menus ces gras nocifs pour le coeur et les artères.

Pour Sally Brown, de la Fondation, la prochaine étape consiste à cibler les producteurs de margarine et de pâtisseries afin qu’ils trouvent des alternatives aux huiles hydrogénées utilisées fréquemment dans la fabrication de leurs produits.

Mme Brown va même jusqu’à accuser ces fabricants de manquer de volonté pour bannir les gras trans et cite le fameux beigne en exemple, car il contient une quantité astronomique de gras hydrogénés.