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Garder le contrôle sur nos enfants au restaurant

Les médias sociaux étant ce qu’ils sont, les mauvaises décisions peuvent entraîner des conséquences virales lorsqu’un propriétaire de restaurant indique la sortie à une mère et ses deux bambins, lui mentionnant qu’elle peut revenir « sans ses enfants ».

Le constat fait par SheKnows montre clairement que les opinions sont très partagées devant une telle réaction. D’une part, si les restaurateurs sont trop à cheval sur le calme et la propreté, ils risquent de perdre une clientèle importante.

Cependant, il y a un minimum à respecter. Que vos enfants soient impatients ou qu’ils pleurent parce qu’ils ont faim ou se chamaillent, c’est normal. S’ils hurlent et se lancent de la nourriture et que le parent n’intervient pas, il s’agit d’une lacune en ce qui concerne les bonnes manières.

Sachez, en tant que parent, vous adapter à l’environnement public, en tenant compte du comportement habituel de votre enfant. Vous vous sentirez moins stressé si vous êtes au McDonald’s et que vos enfants peuvent dépenser leur énergie dans les jeux s’ils ne tiennent pas en place.

Si vous décidez tout de même de tenter le coup au restaurant chic du coin, n’oubliez pas que le restaurateur a le dernier mot. Si vos enfants sont trop turbulents, il se peut que vous risquiez la porte.

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Mobilisation pour sauver le Grand Prix du Canada

Alors que le Grand Prix du Canada ne figure pas au calendrier 2009 des courses de F1, voilà que plusieurs restaurateurs et hôteliers de Montréal affirment au quotidien La Presse être prêts à se mobiliser et cotiser pour sauver l’évènement.

« Nous sommes prêts à faire notre part. Les gouvernements peuvent compter sur notre appui moral et financier. Le Grand Prix est le seul événement planétaire qui donne à Montréal une vitrine sur 300 millions de téléspectateurs », a confié au journal Alain Creton, propriétaire du restaurant Chez Alexandre et porte-parole de l’Association des marchands de la rue Peel.

Impossible toutefois de connaître le montant que les restaurateurs, hôteliers et diverses associations de l’industrie touristique sont prêts à débourser pour convaincre le grand patron de la F1, Bernie Ecclestone, de changer d’idée.

« Si nous le faisons, dans la demi-heure qui suivra, M. Ecclestone sera au courant du prix qu’on est prêts à payer. Et comme c’est un homme d’affaires habile, si on dit 15 millions, il en demandera 20 », a conclu M. Creton.

À titre d’exemple, la disparition du Grand Prix du Canada représenterait une perte de recettes de quelque 120 000 $ pour le restaurant de M. Creton.