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La meilleure chaîne de burgers au monde arrive finalement chez nous.

Les Québécois qui ont déjà visité l’État de New York se sont probablement déjà arrêtés au Shake Shack. La chaîne de restauration rapide veut maintenant ouvrir des établissements de ce côté-ci de la frontière, rapporte TVA Nouvelles

C’est en 2024 qu’un premier Shake Shack canadien devrait ouvrir ses portes à Toronto. La chaîne espère ouvrir 35 autres établissements au Canada d’ici 2035.

Ces restaurants sont surtout connus pour leurs hamburgers et leurs frites, mais aussi pour leurs délicieux laits frappés.

À l’heure actuelle, on ignore si la chaîne compte implanter l’un de ses restaurants au Québec.

Rappelons que c’est en 2004 que le premier Shake Shack a ouvert. La chaîne a maintenant 440 restaurants à travers le monde. On peut manger de ces hamburgers à Londres, Hong Kong et Tokyo.

En plus de Shake Shack, l’entreprise Chick-fil-A veut aussi ouvrir des restaurants au Canada, en ayant 20 établissements au nord de la frontière. 

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A&W X Frankie Collective: la nouvelle friperie en ligne sera lancée cette semaine et on a déjà hâte!

Quand on aime une compagnie ou une marque de commerce de toutes nos forces, on veut l’afficher partout sur nous, right? Par exemple, cette année, la chaîne de restauration rapide Tim Hortons a lancé une collection de merch à leur effigie et tout le monde s’arrache la collection!

Dans la même lignée, la très populaire chaîne A&W inaugurera cette semaine le lancement de leur première collection de vêtements à l’effigie de la marque, et on doit dire que les vêtements sont insanes! Ayant toujours en tête d’aider la planète à mieux se porter, A&W offrira à partir du 3 décembre une collection d’articles recyclés et fabriqués de façon éthique au Canada.

En collaboration avec Frankie Collective – une compagnie de vêtements vintage et recyclés basée à Vancouver – les articles de la friperie A&W s’inscrivent dans la pensée écologique de renouveler des morceaux de tissus pour les transformer en vêtements uniques.

En effet, les différents pieces de la collection sont créés entre autres à partir d’uniformes A&W usagés! On adore la nouvelle collection loungewear d’A&W pour son look casual, tout en restant branché.

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La collection sera disponible sur le site web de la chaîne de restauration rapide le 3 décembre prochain à compter de 11h, mais dépêchez-vous! La vente se terminera à l’épuisement complet du stock, et on prévoit que les vêtements s’envoleront comme des petits pains chauds!

La nouvelle friperie A&W en collaboration avec Frankie Collective est donc parfaite pour encourager l’économie locale et pour porter fièrement les couleurs emblématiques du resto tout en restant écoresponsable!

Friperie A&W

À partir du 3 décembre 2021 / 11h

Disponible sur le site web du restaurant rapide

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Bannir la malbouffe : les Américains pourraient s’inspirer des Québécois

Des économistes de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur l’effet qu’avait eu sur sa population l’interdiction de faire de la publicité aux enfants québécois pour de la malbouffe, entre 1984 à 1992.

C’est en comparant les provinces anglophones canadiennes au Québec que les chercheurs ont trouvé que réduire de 13 % la publicité reliée au fast-food chaque semaine permettait de consommer de 11 à 22 millions de repas gras en moins par an et ainsi éviter la prise de 2200 à 4400 millions de calories chez les enfants.

Bien que les résultats ne seraient pas aussi robustes qu’au Québec, l’interdiction pourrait être appliquée aux États-Unis. Pour nos voisins du sud, les chercheurs ne pensent pas que la modération a bien meilleur goût, et l’interdiction complète de publicité de malbouffe devrait être en vigueur.

Cependant, les chercheurs se disent inquiets de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs, puisque lorsque l’étude a été réalisée à la fin des années 80 au Québec, les jeunes regardaient moins la télévision et n’avaient pas accès aux jeux vidéo et à l’Internet comme c’est le cas aujourd’hui.

Un gros débat aux États-Unis entoure la façon de faire au Québec qui est d’interdire la malbouffe dans les publicités pendant les dessins animés ou sur des sites internet pour enfants, ou même sur l’emballage des produits dans les magasins.

Conscientes du problème croissant d’obésité, certaines entreprises alimentaires américaines de premier plan ont déjà signé pour limiter la publicité aux enfants.

Il semblerait qu’environ 11 milliards par année soient consacrés à la publicité pour malbouffe qui attire l’œil des enfants. La restauration rapide est l’une des catégories de produits les plus annoncées.

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Savez-vous ce que ce votre enfant mange?

En réponse à l’épidémie d’obésité infantile que l’on connaît depuis quelques années, on accorde beaucoup plus d’importance à la qualité nutritionnelle des aliments et leur quantité.

Or, on apprend dans le Journal of the American Dietetic Association que l’on devrait aussi s’inquiéter du lieu où l’enfant mange. La nourriture industrielle, la restauration rapide, bref, tout ce qui est préparé loin de la maison, seraient des facteurs influents de l’absorption quotidienne de calories.

C’est la première fois que l’on prend en compte le lieu quant à la quantité de calories ingérées et cette recherche se différencie des autres par son accent sur la nourriture préparée hors de la cuisine familiale.

Ainsi, de 1994 à 2006, on a relevé les plus grandes augmentations de calories ingérées quotidiennement lorsqu’il s’agit d’aliments de restauration rapide mangés à la maison ou de nourriture industrielle mangée à l’extérieur de la maison.

De plus, de 1977 à 2006, la hausse de l’apport calorique des enfants (179 calories par jour) a été associée à l’augmentation des calories ingérées à l’extérieur de la maison (255 calories par jour). Durant cette même période, le pourcentage de calories ingérées ailleurs qu’à la maison est passé de 23,4 % à 33,9 %.

Cette étude longitudinale a porté sur près de 30 000 enfants américains âgés de 2 à 18 ans.

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La proximité des fast-foods n’influencerait pas le poids des jeunes

On a souvent mentionné que la présence d’établissements de restauration rapide près des écoles secondaires favorisait la prise de poids chez les jeunes, qui étaient alors plus tentés de s’y rendre pour manger.
 
Une étude rapportée par le Journal of Nutrition Education and Behavior affirme plutôt qu’il n’y a pas de lien entre le poids des élèves et la présence de fast-foods près de l’école.
 
Certes, chez les adolescents, ces établissements sont extrêmement populaires, mais n’auraient pas d’impact direct sur leur poids.
 
552 étudiants de 11 écoles ont été interrogés pour connaître leurs habitudes de consommation des produits de restauration rapide. La moitié des jeunes les fréquentaient une fois par semaine et un peu plus de 10 % y allaient tous les jours.
 
12,7 % de ces jeunes étaient en surpoids, 12,5 % étaient obèses, 73 % étaient de poids normal, alors que 1,8 % avaient un poids insuffisant.

On recommande donc plutôt de viser les comportements des jeunes et de leur enseigner les bonnes habitudes alimentaires dès leur enfance.

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Papa n’a pas toujours raison

Une recherche américaine parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior nous indique que le père aurait finalement un impact plus grand que la mère quant aux risques d’obésité de leur progéniture.

Conséquemment, un papa qui fréquente couramment des chaînes de restauration rapide aura plus souvent des enfants qui suivent cette même habitude.
 
Durant 15 mois, on a observé les choix alimentaires de parents ainsi que leur façon de passer du temps avec leurs enfants. Des études précédentes avaient déjà établi un lien entre la consommation de mets préparé en restauration rapide et l’obésité infantile.

Ce que l’on remarque de nouveau, dans ce cas-ci, c’est que le choix de restaurant serait lié à l’obésité. Il y a fort à parier que des discussions naîtront au sein des familles lorsque papa décidera du lieu de sortie pour sa journée bien à lui…

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Le gras, le sel et le sucre, les préférés des petits

Une récente étude menée par deux universités américaines vient de prouver que les jeunes enfants ont une préférence pour les aliments contenant du gras, du sel et du sucre.

De plus, ils associent très rapidement des produits au nom d’une chaîne de restauration rapide ou d’une marque de boisson gazeuse.

Parue dans le Journal of Public Policy & Marketing, cette recherche a tout d’abord porté sur 67 enfants âgés de 3 à 5 ans. Parmi eux, il y avait 31 garçons et 36 filles.

Les mères devaient remplir un questionnaire, tandis que les enfants goûtaient à 11 saveurs naturelles et 11 saveurs artificielles sans voir le nom des produits.

Les résultats concordaient : si la mère avait remarqué l’envie de produits contenant du gras, du sel et du sucre, l’enfant préférait en effet les aliments aux saveurs artificielles.

Une seconde expérimentation a ensuite été faite. On a présenté à 108 enfants (autant de filles que de garçons) des cartes représentant des produits et des marques de commerce. Tous les enfants ont facilement associé le bon produit à la bonne marque.

Il semble donc que les enfants sont sensibles à la persuasion dès l’âge de trois ans. Il faudrait d’une part revoir la publicité qui leur est adressée et, d’autre part, leur apprendre ce que sont les bons aliments bien avant leur entrée à l’école.

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Les repas de restauration rapide: très mauvais pour les enfants

C’est ce qu’ont pu affirmer des chercheurs de l’Université Yale aux États-Unis. Sur plus de 3 000 combinaisons possibles de repas pour enfants, seulement 12 étaient acceptables pour des enfants de 2 à 5 ans.

Nous pouvons aussi lire sur Parentcentral.ca que 15 repas se sont trouvés adéquats pour des enfants un peu plus vieux.

La raison de ces pauvres performances est que si la plupart des repas pour enfants viennent avec un à-côté santé, ils demeurent très riches en gras saturé et en sel.

Cette étude a aussi traité de l’effet de la publicité de ces chaînes de restauration rapide sur les enfants. Il semble que les enfants d’âge préscolaire voient en moyenne trois annonces par jour sur la restauration rapide.

De plus, 40 % des enfants âgés de 2 à 11 ans demandent à leurs parents d’aller y manger au moins une fois par semaine.

Finalement, 15 % des enfants d’âge préscolaire aimeraient s’y rendre tous les jours.

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Le lien entre les restos rapides et l’AVC

Une récente étude tend à démonter qu’il existe un lien entre la quantité de chaînes de fast food et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Des chercheurs américains ont constaté que plus il y a ce type de restaurants dans le quartier d’un individu, plus l’incidence d’AVC augmente.

C’est dans l’État du Texas, où les restaurants rapides pullulent, que le risque d’AVC est 13 % plus élevé que dans les autres États.

L’auteur de cette étude, le Dr Lewis Morgenstern de l’Université du Michigan, suggère que d’autres recherches devront être menées afin d’analyser les conséquences de la présence de fast food dans des quartiers défavorisés où les gens manquent d’options saines.

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Trop de sodium dans les menus pour enfants

Le Réseau canadien contre les accidents vasculaires cérébraux, le Réseau canadien en obésité et le Réseau des aliments et des matériaux d’avant-garde souhaitent attirer l’attention de la population sur la restauration rapide, qui propose des menus riches en sodium.

À titre d’exemple, les trois organismes citent la chaîne A&W et son menu « Chubby Junior ». Ce dernier contient 1 910 milligrammes de sodium, soit 710 milligrammes de plus que l’apport quotidien total recommandé pour des enfants de quatre à huit ans.
 
Trop de sodium peut avoir des conséquences néfastes sur la santé comme la haute pression et l’augmentation du risque de souffrir d’un accident vasculaire cérébral à l’âge adulte.

Le consortium déplore également que les chaînes de restauration rapide séduisent les enfants avec des jouets, des concours ou des célébrations d’anniversaires se déroulant à leurs restaurants.
 
L’apport quotidien de sodium recommandé pour les enfants âgés de un à trois ans est de 1 000 mg, de 1 200 mg pour les enfants de quatre à huit ans et de 1 500 mg à partir de neuf ans. On évalue toutefois que 80 % des enfants canadiens dépassent la recommandation quotidienne en sodium.