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Ce populaire «diner» ferme ses portes après 28 ans de service

« Authentique Dîner de 1952 à vendre:

Chers clients et amis,

C’est avec une immense tristesse que nous devons nous résigner à la fermeture et à la vente de notre AUTHENTIQUE DINER de 1952 de la Pizzaiolle St-Denis.

Malheureusement, les circonstances actuelles et les changements de vocation de la rue St-Denis qui nous sont imposés nous forcent à conclure que notre restaurant n’a plus la viabilité possible à cet emplacement et qu’il devra laisser sa place à un futur projet immobilier.

Nous espérons éviter, par tous les moyens, la démolition de cette icône architecturale et nous allons offrir tout le support technique possible au futur acquéreur concernant son déménagement.

En vous remerciant d’avoir participé à cette formidable aventure depuis 1992, nous espérons vous retrouver dans un prochain projet innovant de restauration.

– L’équipe du Groupe Restos La Pizzaiolle » écrivaient hier les responsables de l’iconique restaurant de la rue Saint-Denis.

AUTHENTIQUE DÎNER de 1952

Chers clients et amis,C’est avec une immense tristesse que nous devons nous résigner à la fermeture et à la vente de notre « AUTHENTIQUE DÎNER de 1952 » de la Pizzaiolle St-Denis.Malheureusement, les circonstances actuelles et les changements de vocation de la rue St-Denis qui nous sont imposés nous forcent à conclure que notre restaurant n’a plus la viabilité possible à cet emplacement et qu’il devra laisser sa place à un futur projet immobilier. Nous espérons éviter, par tous les moyens, la démolition de cet icône architectural et nous allons offrir tout le support technique possible au futur acquéreur concernant son déménagement. En vous remerciant d’avoir participé à cette formidable aventure depuis 1992, nous espérons vous retrouver dans un prochain projet innovant de restauration. L’équipe du Groupe Restos La Pizzaiolle.Pour plus d’infos sur la vente.📲 https://diner.myportfolio.com/➡️ originaldiner@gmail.comMerci de partager.https://pizzaiolle.com/

Posted by La Pizzaiolle on Wednesday, October 28, 2020

En effet, c’est le coeur lourd que le propriétaire de la Pizzaiolle annonçait non seulement la fermeture de son restaurant situé à l’angle de Gilford et Saint-Denis, et ce, après 28 ans de service, mais aussi la vente de cet établissement au look unique.

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Ambiance du dimanche soir. 🍕

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Reconnu notamment pour ses savoureuses pizzas, la Pizzaiolle offrait aux visiteurs un bref retour dans le temps l’instant d’un repas, grâce à son diner authentique des années 1950, qui avait été importé en 1991 par le propriétaire de l’institution, Daniel Noiseux.

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I think of dieting, then i eat pizza 🍕 🖤🍕🖤🍕🖤

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Il est possible consulter la fiche de vente du diner via le lien suivant.

Semblerait-il que les autres établissements du groupe de restaurants La Pizzaiolle ne soient pas affectés par cette vente, malgré que ceux-ci demeurent fermés, en raison de la seconde vague de la pandémie.

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McDonald’s : 40 ans de Joyeux festins

C’est difficile à réaliser sur le coup, mais le joyeux festin de McDonalds fête déjà ses 40 ans.

Enfant, qui n’a jamais dégusté ses quatre croquettes de poulet, avec ses tranches de pommes, son petit jus et sans oublier, le petit jouet qui vient avec?

Option pour enfant de la chaîne de restauration rapide, le joyeux festin comprend, en plus d’un jouet qui varie tous les mois, un repas, un à côté, un dessert et une boisson. Pour le 40e anniversaire de ce repas, McDonalds annonce le retour de jouets nostalgiques pour une durée limitée. Les voici, en ordre chronologique de leur première apparition:

  • Hamburger changeable (McDonald’s) : 1989
  • Grosse Douceur (McDonald’s) : 1990
  • Pique-Burger (McDonald’s) : 1995
  • Power Rangers (Hasbro) : 1995
  • Basket spatial ? Bugs Bunny (Warner Brothers) : 1996
  • Patti l’ornithorynque (Ty Beanie Baby) : 1997
  • Tamagotchi (Bandai) : 1998
  • My Little Pony (Hasbro) : 1998
  • Furby (Hasbro) : 1999
  • Hello Kitty (Sanrio) : 2013

À noter qu’au Canada, une partie de la vente de chaque Joyeux festin est versée à l’?uvre des Manoirs Ronald McDonald du Canada.

Et vous, lequel avez-vous hâte de retrouver?

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Un établissement montréalais nommé parmi les meilleurs nouveaux restaurants du Canada!

Chaque année, le magazine enRoute d’Air Canada dresse un top 10 des meilleurs nouveaux restaurants du pays. 35 établissements, ouverts entre la fin du printemps 2018 et juin 2019, ont été sélectionnés par un panel d’experts, incluant le chef Matty Matheson, la journaliste Emily Eisen du Bon Appétit Magazine et Élise Tastet, fondatrice du blogue éponyme.

Parmi les 35 établissements canadiens en lice, 7 se retrouvaient à Montréal. Le Alma, le Beau Mont, Le Petit Mousso, le McKiernan Luncheonette, le Moccione et le Monarque ont su se démarquer des autres restaurants ouverts dans la dernière année. C’est l’auteure Nancy Matsumoto qui était chargée de visiter chacun des restaurants et de sélectionner les 10 cuisines les plus innovatrices et savoureuses.

Seul le Pastel, situé dans le Vieux-Montréal, a réussi à se glisser dans le top 10 établi par l’auteure qui a visité tous les établissements.

À la fin du souper, mes joues sont assorties aux chaises roses du bar et j’ai la pêche : je me suis convertie au Pastel.

? Nancy Matsumoto, enRoute Magazine

À la tête du top 10 se trouve un restaurant de Québec, l’Arvi, où nous réserverons une table assurément lors de notre prochain passage dans la capitale provinciale!

Voici le top 10 des meilleurs nouveaux restos canadiens selon le magazine enRoute

  1. Arvi, Québec
  2. Como Taperia, Vancouver
  3. Donna’s, Toronto
  4. Pluvio Restaurant + Rooms, Ucluelet
  5. Nowhere *A Restaurant, Victoria
  6. Dreyfus, Toronto
  7. Wayfarer Oyster House, Whitehorse
  8. Pastel, Montréal
  9. Dispatch, St. Catharines
  10. 10 Ten, Toronto

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MTLàTABLE est bientôt de retour et on a déjà faim!

Un de nos événements gastronomiques préférés à Montréal revient pour une huitième édition! Yeah! MTLàTABLE est définitivement un moment à ne pas manquer dans l’année, parce que c’est l’occasion rêvée de tester des restaurants un peu plus fancy sans nécessairement se ruiner.

Cette année, c’est 150 restaurants qui offrent une table d’hôte à prix d’ami et il y en a réellement pour tous les goûts! Le principe reste le même : trois gammes de prix sont proposées selon les différents établissements. Les menus du soir commencent à 23$ et certains sont à 33$ ou 43$ et quelques restaurants participants sont « apportez votre vin ». Quelques restaurants offrent aussi une table d’hôte pour le brunch (parce que #PassionBrunch) à seulement 17$.

On a tout de même droit à une nouveauté! MTLàTABLE et Aliments du Québec présentent « Les Événements Signature », qui permettent de mettre les aliments d’ici en valeur. Sept excellents restaurants proposeront des menus majoritairement composés d’aliments du Québec! Les tables d’hôtes comporteront 5 services (ou plus!) et coûteront 83$. Vous pouvez voir la liste des restaurants participants ici, mais sachez que l’iconique Milos sera de la partie. Faites vite pour réserver, ces menus seront offerts que pour 2 à 4 soirs seulement.

Montréal a une scène culinaire tellement dynamique et riche et des événements comme MTLàTABLE permettent vraiment d’en profiter. Vous pouvez dès maintenant réserver votre table pour une des soirées entre le 1er et le 13 novembre! N’attendez pas trop, parce que notre petit doigt nous dit que les places vont s’envoler vite!

Tous les détails ici.

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L’Atelier Joël Robuchon: Voici à quoi ressemble un souper digne d’un restaurant étoilé Michelin

Dans le monde de la gastronomie, recevoir une étoile Michelin est certainement le plus grand des honneurs qu’un chef peut recevoir. Partout dans le monde où le Guide Michelin est présent, les chefs dédient leur vie pour recevoir ne serait-ce qu’une étoile, en reconnaissance de leur excellence.

Michelin peut accorder jusqu’à trois étoiles à un restaurant, suite à de nombreuses visites d’inspecteurs anonymes, ces derniers adhérant à cinq critères indispensables?;

  • L’utilisation de produits de qualité?;
  • Les techniques utilisées, les cuissons, l’assaisonnement et le goût?;
  • Le leadership du chef, son avant-gardisme et sa créativité ;
  • La constance dans le temps?;
  • Le rapport qualité/prix.

Selon le guide, voici le classement des étoiles :

1 étoile : très bon restaurant dans sa catégorie.

2 étoiles : excellente cuisine, mérite le détour.

3 étoiles : cuisine exceptionnelle, incontournable.

Le chef détenant le plus d’étoiles Michelin est Joël Robuchon, dont à sa mort en 2018, en comptait pas moins de 32 à travers une douzaine de restaurants sur 3 continents.

Au Canada, bien que le Guide Michelin existe, aucun restaurant n’a d’étoiles. Non, ce n’est pas parce qu’il n’y a aucun «?très bon restaurant dans sa catégorie?» ou qui «?mérite le détour?», bien au contraire. Plusieurs théories existent à ce sujet, mais ce n’est pas l’objectif de cet article.

Atelier Robuchon © Le Cuisinomane

Ce à quoi je voulais m’en venir avec ce préambule, c’est qu’à Montréal ? bien que plusieurs restaurants pourraient décrocher une ou deux étoiles ?, il y a la présence de l’Atelier Joël Robuchon, inauguré par ce dernier en 2016. Il est à noter qu’en ce moment à travers le monde, plus d’une douzaine d’Atelier Joël Robuchon existent et comptent tous soit une, deux ou trois étoiles Michelin.

Dernièrement, l’Atelier Joël Robuchon de Montréal recevait la visite d’Éric Bouchenoire, le bras droit de Joël Robuchon depuis toujours pour un souper «?extravagance de crustacés?», dont ce dernier qualifiait «?digne d’une soirée trois étoilés Michelin?».

Nul besoin de mentionner mon excitation lorsque je m’y suis attablé, aux premières loges d’une brigade bien aux aguets des directives de Stéphane Galibert ? chef exécutif ? et bien certainement du regard attentif du chef Bouchenoire.

(Désolé pour la qualité des photos ; la lumière rendait la tâche très difficile.)

Compte-rendu d’une soirée ornée d’étoiles à l’Atelier Joël Robuchon de Montréal

 

Le menu de la soirée se dévoilait en 9 services et s’annonçait à la fois gourmand (parce que qui dit cuisine française dit cuisine avec «?un petit peu?» de beurre et de crème), raffiné, délicat, mais surtout, plein de saveurs. Je ne m’attendais à rien de moins que des cuissons parfaites, des assaisonnements à point et des présentations à couper le souffle ? et ce fut le cas, sauf pour la cuisson d’un plat, dont la brigade a pris soin de rectifier le tir. Je ne commenterais pas chacun des services, mais je vais décrire l’ensemble de chacun, afin de vous démontrer à quoi peut ressembler un souper digne d’une, de deux ou même de trois étoiles Michelin. Tenez votre appétit en place, c’est parti?!

Service 1 ? Pour commencer

Description sur le menu : c?ur de bouchée dorée et moelleuse aux langoustines.

Vulgarisation du plat : langoustines et crevettes à l’intérieur d’un léger feuilletage frit.

Mon verdict : délicieux?! Craquant à l’extérieur, fondant à l’intérieur, parfaitement assaisonné?

Pour commencer… © Le Cuisinomane

Service 2 ? Le crabe royal

Description sur le menu : à l’avocat sur une fine gelée de tomate «?Petit Moineau?» à l’huile d’amande douce torréfiée

Vulgarisation du plat : petite salade de crabe, radis et pomme sur un morceau d’avocat, déposé sur une gelée de tomate. Crémeux d’avocat et de curcuma pour venir balancer le tout. «?Petit Moineau?» étant la variété de tomate utilisée pour la gelée.

Mon verdict : le morceau d’avocat est trop grossier et superflu, vu la petite quantité de crabe. J’aurais également préféré une gelée un peu plus gouteuse?; la tomate se faisait trop subtile?!

Le crabe royal © Le Cuisinomane

Service 3 ? La crevette sauvage

Description sur le menu : sur un zéphyr de shiitakes au caviar, émulsion au jus de coquillages épicés

Vulgarisation du plat : crevette sauvage aux épices curry sur une royale (préparation faite à partir d’?ufs entiers et de consommé, coloré par une purée de légumes) de jus de champignons et brocoli.

Mon verdict : j’ai adoré?! Un plat qui frôlait la perfection. Jamais je n’aurais cru que crevette aux épices curry, brocolis et shiitake faisaient un bon mariage.

La crevette sauvage © Le Cuisinomane

Service 4 ? La Langouste

Description sur le menu : grillée en marinière, nage au saké, haricots cocos «?Jolicoeur?» au fumet de piquillos.

Vulgarisation du plat : ici, tout était bien décrit, mais vulgarisons un peu les termes.

Nage = un liquide aromatique (au saké cette fois-ci)

Haricots cocos = la variété d’haricots

Piquilos = une variété de poivron

Mon verdict : première grosse erreur de la soirée ? ma première langouste était beaucoup trop cuite. Après avoir remplacé mon assiette, ce plat fut un de mes coups de c?ur de la soirée?!

La Langouste © Le Cuisinomane

Service 5 ? Le homard

Description sur le menu : rôti au beurre salé, petites pâtes fraîches cardinalisées au poivre noir de Zanzibar

Vulgarisation du plat : homard rôti déposé sur de pâtes fraîches au poivre noir. Le terme «?cardinaliser?» signifie que les pâtes ont été colorées dans de l’huile (cette fois-ci, avec le poivre). On retrouvait également une sauce style civet (à base de vin rouge).

Mon verdict : les pâtes étaient exceptionnelles. Le homard, parfaitement cuit et assaisonné. Par contre, j’ai trouvé qu’il manquait d’harmonie entre ces deux éléments et la sauce très corsée.

Le homard © Le Cuisinomane

Service 6 ? Les écrevisses

Description sur le menu : en duo de pintade du Québec, en coralline, petites girolles poêlées aux sucs de Château-Chalon

Vulgarisation du plat : duo d’écrevisses et de pintade avec girolles (chanterelles) poêlées dans le jus de viande (sucs), puis déglacées au vin jaune Château-Chalon, afin de faire la sauce avec un petit peu (beaucoup?!) de beurre. À cela s’ajoutait la fameuse purée de pommes de terre de M. Robuchon, ainsi qu’un mini dumpling dans un bouillon au gingembre pour se nettoyer le palais.

Mon verdict : plat coup de c?ur de la soirée?! Émotions par dessus émotions en mangeant ce plat, sans parler de la fameuse purée de M. Robuchon… Décadent.

Les écrevisses © Le Cuisinomane

Service 7 ? La chartreuse verte

Description sur le menu : en sabayon avec un délicat sorbet aux herbes fraîches

Vulgarisation du plat : sabayon (une crème à base de sucre, d’un alcool et de jaune d’?uf) de chartreuse, sur un sorbet aux herbes fraîches.

Mon verdict : un pré-dessert qui avait du «?punch?». Le chef n’a pas été «?chiche?» en chartreuse dans le sabayon et on aime?!

Service 8 ? La poire

Description sur le menu : confite à la vanille de Tahiti, crémeux au chocolat Manjari et à la Williamine.

Vulgarisation du plat : poire faite d’un biscuit à l’huile d’olive, d’un crémeux au chocolat et d’une crème à la poire. Le gâteau est par la suite trempé dans un confit de poire et vanille, ce qui donne l’impression d’être une vraie poire?!

Mon verdict : à la fois bluffant et fabuleux. On a littéralement l’impression de manger une poire. Un dessert tout en délicatesse, pas trop sucré et parfaitement balancé avec l’amertume du chocolat.

La poire © Le Cuisinomane

Service 9 ? La religieuse au café

Vulgarisation du plat : la religieuse est un dessert composé de deux choux superposés, puis farcis d’une crème pâtissière. Celle-ci était au café et en format mignardise, puis présenter en toute fin du repas en guise d’honneur au chef Joël Robuchon, puisque cette mignardise était son dessert favori.

La religieuse au café

 

C’est donc sur un nuage et bien repu que je suis reparti du Casino, en pensant aux moments forts de la soirée.

J’ai eu la chance de discuter avec le chef Bouchenoire et en parlant, il m’a avoué que l’Atelier de Montréal était l’un de ses favoris, avec celui de Tokyo. Lorsque je lui ai demandé pourquoi, il a sitôt souligné le travail magistral de l’équipe en cuisine, qui repousse même parfois les limites de l’Atelier Joël Robuchon. Des mots pour me faire plaisir, ou reflétant réellement le fond de sa pensée ? Peu importe, mais suite à la prestation de l’équipe lors de cette soirée, j’ose croire tous les beaux mots qui ont sorti de la bouche du chef Bouchenoire

Bravo !

Atelier Joël Robuchon

1 avenue du Casino, Casino de Montréal 

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Nouvelles quotidiennes

Des repas peu coûteux en Bretagne

Après un restaurant de Londres qui disait à ses clients de payer ce qu’ils voulaient pour leur addition, voilà que deux restaurants de Bretagne font aussi preuve d’imagination.

Pour faire face à la crise financière et à la baisse de clientèle, le restaurant L’Étage, à Nantes, propose, les mardis midi, un menu à moins de 5 $, le verre à vin à 2,50 $ et le café à 1,50 $.

Même son de cloche du côté de St-Malo. Le restaurant La Cabane a révisé son menu et offre notamment le Parmentier-salade avec une crêpe au sucre à environ 8 $.

Ces initiatives, bien qu’isolées, connaissent du succès.