Depuis longtemps, les scientifiques savent que la restriction calorique augmente l’espérance de vie. Pour compenser, on sait maintenant que les nutriments comme le resvératrol, le ptérostilbène, la quercétine et les polyphénols imitent les effets de la restriction et ont donc une incidence aussi sur l’espérance de vie.
En réduisant l’apport calorique jusqu’à 40 %, on augmente considérablement notre espérance de vie, car cela ralentit le processus de vieillissement. Ces observations ont notamment été notées lors de tests sur des animaux. Cette restriction les aurait aussi protégés du cancer et d’autres maladies liées au vieillissement.
Les chercheurs commencent à comprendre le phénomène et découvrent maintenant que certains nutriments agissent de la même manière. En retardant le vieillissement, on repousse ainsi le déclenchement de maladies dégénératives et cela améliore également les biomarqueurs.
Lorsqu’une personne consomme trop de calories pour ce que son corps a besoin, c’est exactement le processus contraire qui se produit, favorisant donc un vieillissement prématuré, indique NutraNews.