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Nouveau traitement prometteur contre l’Alzheimer

Un nouveau traitement, maintenant considéré comme « prometteur » par les spécialistes, aurait passé une nouvelle étape après des tests concluants effectués sur des rongeurs, dévoile The National Library of Medicine.

C’est un nouveau médicament, le 2-PMAP, qui aurait démontré des effets plus qu’intéressants sur des souris, rapporte cette même source, en coupant de moitié les niveaux de bêta amyloïde.

Cette dernière est la protéine qui serait largement associée au développement de la maladie d’Alzheimer, un fait confirmé par plusieurs autres études et spécialistes depuis un bon moment déjà.

La stratégie derrière ces tests et la création du 2-PMAP est de contrer les effets de l’Alzheimer avant sa progression.

« La clé est de prévenir le processus de la maladie pour éviter qu’il n’aille trop loin. Ce que nous voulons d’un médicament préventif contre l’Alzheimer, c’est qu’il réduise le bêta amyloïde, tout en demeurant sécuritaire à long terme », explique le Dr Martin Sadowski, auteur principal de l’étude et professeur au NYU Langone Medical Center.

D’autres essais sont à prévoir pour tester plus amplement les bienfaits du 2-PMAP.

Les résultats de cette plus récente étude ont été publiés dans la version en ligne des Annals of Neurology.

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L’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie?

Au cours de l’été dernier (2013), l’American Medical Association (AMA) qualifiait officiellement l’obésité comme une maladie dans sa liste des troubles de la santé officiels et répertoriés.

Mais l’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie? Voilà la question qui demeure lorsqu’on prend connaissance des observations proposées par des chercheurs de l’Université du Minnesota, qui publient une étude sur le sujet.

Rapportée par Santé Log, notamment, l’étude en question révèle un impact plus négatif que positif sur la mentalité et les actions des patients souffrant d’obésité, ces derniers affichant une motivation moindre à changer leur situation depuis qu’on les considère comme des « malades » à part entière.

L’étiquette de « maladie » relève donc de la fatalité, ce qui n’est pourtant pas toujours le cas dans des situations de surpoids et d’embonpoint, notent les chercheurs américains.

Si le fait de qualifier l’obésité parmi les maladies a permis un discours plus libre sur le sujet, le geste aurait également banalisé l’affaire, et remis plusieurs patients sur la mauvaise voie alimentaire. Or, rappelle-t-on, il est effectivement possible d’améliorer sa condition ou son état dans cette situation, contrairement à d’autres « vraies » maladies qui s’avèrent réellement une fatalité.

Ces conclusions et réflexions sont publiées dans le magazine Psychological Science.

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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

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Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

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Un antidépresseur expérimental fort prometteur

Un nouvel antidépresseur, qui n’en est qu’aux phases expérimentales, pourrait s’avérer très prometteur, selon plusieurs experts.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle du traitement comme d’une nouvelle façon de faire en matière de traitement de la dépression. L’antidépresseur agirait de façon précise sur le cerveau, ciblant des zones spécifiques.

De plus, on vante les mérites à long terme du produit, pour l’instant appelé GLYX-13. Testé uniquement de façon intraveineuse en ce moment, il semble offrir de bons résultats sur certains patients qui n’ont pas (ou mal) réagi aux autres traitements et antidépresseurs connus.

Le traitement serait efficace presque immédiatement après l’administration, et son effet à long terme satisfait l’équipe de chercheurs chargée des essais cliniques.

Joseph Maskal, professeur en biomédecine, est l’un de ceux-là. Il explique : « On a constaté des effets robustes, rapides et à long terme. De plus, aucun effet secondaire majeur n’a été répertorié ».

Le Dr Bryan Bruno, de l’équipe de direction du département de psychiatrie de l’hôpital Lenox Hill de New York, parle d’un « développement fort excitant ».

Il s’agirait donc d’une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des troubles dépressifs qui ne réagissent pas ou peu aux traitements populaires retrouvés sur le marché, comme le Prozac, le Paxil ou encore le Zoloft.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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La vitamine D n’influence pas les résultats scolaires

Des chercheurs britanniques ont en effet expliqué que les avantages de cette vitamine sur le cerveau pourraient être bénéfiques seulement chez les adultes.

Des niveaux élevés de vitamine D ne sembleraient donc pas aider les adolescents à améliorer leurs résultats scolaires, selon cette étude publiée en ligne le 12 avril dernier dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Auparavant, des recherches avaient démontré un lien entre des niveaux plus élevés de vitamine D et l’amélioration de la puissance du cerveau chez les adultes. Les auteurs de cette nouvelle étude voulaient donc déterminer si la même chose pouvait se produire chez les adolescents.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’Université de Bristol ont donc mesuré les niveaux de vitamine D sur près de 3000 enfants, nés dans les années 1990.

Après l’analyse des résultats, les scientifiques n’ont trouvé aucune preuve que l’augmentation des niveaux de vitamine D améliorait leur performance scolaire.

Cédit photo: photostock / FreeDigitalPhotos.net

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La mémoire de travail liée aux résultats scolaires

Une recherche menée par la Dre Tracy Alloway, du département de l’éducation de l’Université Durham, suggère qu’une faible mémoire de travail peut expliquer les mauvais résultats scolaires; un faible quotient intellectuel ne serait donc pas en cause.

Ce type de mémoire permet de retenir et traiter des informations à court terme, comme par exemple écouter une phrase dite par le professeur, puis l’écrire sur papier.

Les chercheurs ont observé 3 000 enfants de différentes tranches d’âge. Selon eux, 10 % des sujets éprouvaient des difficultés relatives à la mémoire de travail, ce qui pourrait entraver leur capacité d’apprentissage.

Pire encore, les auteurs affirment que les professeurs qui comptent des élèves à la mémoire défaillante dans leur classe croient à tort que ces derniers souffrent de troubles de l’attention ou qu’ils ont un faible quotient intellectuel.