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Des résultats scolaires moins élevés chez les adolescentes obèses

Selon ce que rapporte Medical News Today, cette recherche est la première du genre à relier la variation des résultats scolaires à l’obésité. Le détail a été publié dans la revue International Journal of Obesity.

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), en 2012, plus du tiers des adolescents aux États-Unis était en surpoids ou obèses.

Sur l’échantillon de 6000 adolescents de la présente étude, 71,4 % avaient un poids santé, 13,3 % étaient en surpoids, et 15,3 % étaient obèses. Les résultats scolaires ont été vérifiés à l’âge de 11, 13 et 16 ans.

Les résultats obtenus indiquaient que ce sont les filles obèses qui tendaient à une performance scolaire plus basse.

La recherche effectuée par le professeur John Reilly de l’Université de Strathclyde au Royaume-Uni a donc déterminé un lien clair chez les filles, mais pas chez les garçons.

« Nous devons continuer à tenter de comprendre pour quelle raison l’obésité a des conséquences négatives sur la performance scolaire. Il est clair que les adolescents, parents et responsables de l’éducation et de la santé publique doivent être conscients de l’impact à long terme sur l’éducation et l’économie de l’obésité. »

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Les appareils électroniques à bannir de la chambre

C’est du moins ce que prétendent certains spécialistes si l’on se fie à un article paru sur le Daily Mail.

Des chercheurs finlandais se sont penchés sur le sujet en questionnant 353 enfants de 10 et 11 ans sur leurs habitudes d’utilisation de la télé et de l’ordinateur ainsi que leurs habitudes de sommeil. Les mêmes enfants ont été questionnés à nouveau 18 mois plus tard.

Comme on pouvait s’y attendre, ceux jouant plus à l’ordinateur et regardant plus la télévision ne cessaient pas à une heure raisonnable pour se coucher. Même chose pour les soirs de semaine, alors qu’ils avaient de l’école le lendemain.

Alors que ces enfants bougent généralement moins, ils ont plus d’énergie vers l’heure du coucher et restent donc éveillés plus longtemps que les enfants plus actifs physiquement. De plus, la lumière des écrans causerait certains changements sur le plan hormonal, ce qui nuirait au processus de la fatigue.

Les résultats ont aussi démontré que les garçons seraient plus affectés que leurs congénères féminines.

En conclusion, Teija Nuutinen, de l’Université de Helsinki, dit que les appareils électroniques devraient être gardés hors de la chambre des enfants.

Elle a ajouté : « Les enfants ont besoin de sommeil supplémentaire, car ils passent par la puberté, et notre étude montre que la télévision et l’ordinateur ont une incidence négative sur le sommeil des enfants. Cela est particulièrement vrai au cours de la semaine, alors qu’il peut y avoir des répercussions sur leur travail scolaire ainsi que leur développement ».

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Signes précurseurs de maladie mentale chez l’enfant

Puisque du 5 au 11 mai, c’est la Semaine de la santé mentale des enfants, la RBC souhaite communiquer certaines informations cruciales pour les parents. Via son Projet Santé mentale des enfants RBC, voici des comportements sur lesquels on devrait porter attention :

1- Un enfant dont l’humeur et/ou le comportement changent constamment, particulièrement si l’humeur tend toujours vers la tristesse, et que l’enfant fait subir ses instabilités comportementales aux autres. Si sa façon d’agir est inhabituelle, observez-le de plus près.

2- Les enfants comme les adultes vivent des périodes de stress et d’inquiétude. Mais lorsque celles-ci sont trop fréquentes, surtout en ce qui a trait à l’anxiété, et qu’elles perdurent, il faut se poser des questions.

3- Les résultats scolaires peuvent fluctuer au courant de l’année. Mais s’ils chutent soudainement sans raison, il y a lieu de s’inquiéter. La difficulté de concentration peut être à l’origine du problème.

4- Des montagnes russes d’émotions sont également un signe précurseur de troubles mentaux. Lorsqu’elles sont incontrôlables, que la colère et la peur sont exprimées de façon exagérée, et ce, sans raison, ce n’est pas normal.

Sachez que lors du sondage effectué par la RBC, pour près du tiers des répondants, il y avait au moins un enfant atteint de maladie mentale dans leur entourage familial.

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Le surpoids chez l’enfant est-il réellement lié à la défaite scolaire?

À en croire les dires de la Dre Stephanie von Hinke Kessler Scholder de l’Université de York, lorsqu’un enfant obèse n’obtient pas de bons résultats scolaires, il ne faudrait pas mettre la faute sur son surpoids, mais plutôt sur des éléments environnementaux qui peuvent influencer le poids infantile, comme le statut socio-économique de la famille.

L’Economic and Social Research Council (ESRC) britannique appuie la spécialiste qui « a voulu vérifier si l’obésité entrave directement la performance ou si les enfants obèses réussissent moins bien en raison d’autres facteurs confondants, associés également à l’obésité, comme les niveaux d’éducation ou de revenus de la famille ».

En explorant les données et l’ADN d’environ 4000 enfants participants à l’étude Children of the 90s Birth Cohort Study et en découvrant deux marqueurs génétiques importants qui permettent de pointer du doigt les jeunes qui sont prédisposés à l’obésité, l’experte a pu conclure que les enfants obèses réussissent effectivement légèrement moins bien en classe.

Toutefois, lorsque la chercheuse ne se penche que sur les marqueurs génétiques de l’obésité et ne tient pas compte d’autres facteurs environnementaux, elle ne trouve aucune preuve de cause à effet entre l’obésité et le succès ou la défaite scolaire.

Voilà pourquoi la recherche doit se poursuivre, pour prouver plus en détail que des éléments comme la classe socio-économique de la famille, par exemple, peuvent être des facteurs qui ont plus d’impact sur les résultats scolaires que le poids de l’enfant.

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L’âge du père ne change rien

La tendance actuelle est à ce que l’on ait nos enfants de plus en plus tard. Des effets néfastes de tout ordre ont été relevés, ces dernières années, quant à l’âge du père. On pense à certaines corrélations avec l’apparition de troubles neuropsychiatriques.

On a donc voulu tester ces suppositions, et voir si un enfant dont le père est dans la cinquantaine, par exemple, aura plus de difficulté à réussir à l’école, ou encore plus tendance à la quitter.

Une recherche parue dans PLoS ONE nous apprend pourtant que le fait qu’un père soit plus vieux que la moyenne n’empêchera en rien la réussite scolaire de son enfant. Cela dément les sorties quant à un impact négatif de l’âge avancé du père sur la cognition de son enfant.

Menée par l’Institut Karolinska, cette étude a porté sur 135 000 enfants de Stockholm, lesquels avaient abandonné l’école entre 2000 et 2007. On n’a remarqué aucune différence entre les enfants dont le père était dans la cinquantaine et ceux dont le père avait une trentaine d’années.

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L’école à la maison, pour tous?

Faire l’école à la maison est une tendance de plus en plus populaire. Mais qu’en est-il des résultats et de possibles répercussions? Des chercheurs de l’Université Concordia (Montréal) et de l’Université Mount Allison (Nouveau-Brunswick) ont comparé ce mode de scolarisation à celui, plus traditionnel, transmis en établissement scolaire.

Le constat est on ne peut plus surprenant, lisons-nous sur RIRE, le réseau d’information pour la réussite éducative. Il semble tout d’abord que les résultats scolaires de l’enfant peuvent être meilleurs, s’il est convenablement encadré par son parent, dans un contexte d’école à la maison.

Toutefois, les chercheurs soulignent l’importance de la socialisation, qui est nécessaire au développement de l’enfant et qui n’est offerte que par l’école traditionnelle.

Les avantages pédagogiques de l’école à la maison sont tout de même mis de l’avant. En fait, le processus d’apprentissage de l’enfant peut y être accéléré, en comparaison à celui d’un élève de l’école habituelle.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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L’intimidation et la réussite scolaire

L’intimidation peut avoir des répercussions sur la réussite scolaire d’un enfant, lit-on dans Pediatrics. Une étude basée sur un sondage a démontré une différence quant aux performances scolaires entre des enfants qui vivaient de l’intimidation et d’autres qui n’en vivaient pas.

Plus de 7 300 élèves ont répondu au sondage, et près de 3 000 enseignants ont aussi donné leur avis. On a remarqué que les résultats d’enfants intimidés étaient de 3 à 6 % plus faibles que ceux des autres. Cela concernait les mathématiques, les sciences et l’histoire.
 
Selon les chercheurs, l’intimidation devrait être abordée comme un problème concernant l’école, non pas comme un problème individuel.
 
On ajoute que l’intimidation consiste à insulter, humilier ou mettre dans l’embarras une personne d’une façon volontaire. Cela peut être fait d’une manière physique, verbale ou sociale.
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Jouer à « Jean dit » augmente les résultats scolaires chez le jeune enfant

Megan McClelland, experte en autorégulation chez l’enfant, a publié de multiples études sur l’importance de ces exercices versus les aptitudes scolaires et préscolaires.

Menée auprès de 800 enfants d’âge préscolaire (3 à 6 ans) aux États-Unis, mais aussi dans des pays tels que Taiwan, la Chine et la Corée du Sud, où les enfants sont reconnus pour leurs capacités supérieures, l’étude a démontré des résultats plus que concluants.
 
Ainsi, les enfants qui démontrent plus de facilité à jouer à des jeux d’autorégulation, notamment « Jean dit », obtiennent des résultats scolaires beaucoup plus élevés que leurs camarades de classe en mathématique et en français. Aux États-Unis, les résultats démontrent une avance de 3 mois sur les autres enfants, alors que dans les pays orientaux, c’est de 4 mois d’avance qu’il est question.
 
Professeure associée du département du développement humain et de la science familiale de l’Université d’Oregon, McClelland est à l’origine du test d’autorégulation « Tête-Orteils-Genoux-Épaules ». L’étude a été développée à l’aide de son analogue à l’Université de Pittsburgh, Shannon Wanless.
 
L’objectif est de prouver que l’autorégulation chez l’enfant, donc la capacité à écouter, se concentrer sur des consignes, les appliquer à la tâche et se rappeler les instructions, est d’une importance majeure quant au développement scolaire de l’enfant.
 
N’hésitez donc pas à jouer à « Jean dit » avec votre bambin, et ce, le plus tôt possible.