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Cinéma

Mort de Garry Marshall : rétrospective de sa carrière

Véritablement spécialisé dans le genre romantique, Garry Marshall a marqué l’imaginaire de plusieurs cinéphiles. Il est crédité de 30 films et séries comme réalisateur.

Après Beaches, Overboard et Nothing In Common, Garry Marshall connaît véritablement la gloire internationale en 1990 avec son plus grand succès : Pretty Woman. Le film fera de Julia Roberts l’actrice la plus en vue de la planète durant des années.

Marshall offre ensuite Frankie & Johnny avec Al Pacino et Michelle Pfeiffer en 1991, Dear God en 1996, et The Other Sister en 1999.

La même année, Garry Marshall retrouve Julia Roberts pour Runaway Bride. Son actrice fétiche lui offre un autre succès au box-office.

En 2001, c’est Anne Hathaway qui profite des connaissances de Marshall pour s’imposer comme actrice, grâce à The Princess Diaries. Hathaway et Marshall proposeront une suite au film en 2004. La même année, Marshall se veut productif et réalise également Raising Helen, avec Kate Hudson.

Avant de nous quitter, Garry Marshall aura eu le temps de léguer une autre comédie romantique qui trouvera sa place dans le coeur des amateurs du genre avec Valentine’s Day, en 2010. Deux suites de son concept seront aussi réalisées, soit New Year’s Eve en 2011 et Mother’s Day (dans laquelle on retrouve une certaine… Julia Roberts) en 2016.

Garry Marshall est mort à l’âge de 81 ans, hier (19 juillet), à Los Angeles.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Nouvelles quotidiennes

Rétrospective à New York de Jeff Koons, artiste autant célébré que honni

La première rétrospective de la carrière du « roi du kitsch » occupera quatre étages du Whitney Museum. Quelque 150 oeuvres y seront exposées jusqu’au 19 octobre, avant d’être montrées à Paris, au centre Georges Pompidou, à partir du 26 novembre.

Sculptures, peintures rassemblées du monde entier composent cette rétrospective qui met en évidence les différentes périodes de l’artiste qui s’est inspiré des ready-made de Marcel Duchamp, des objets démesurés du quotidien de Claes Oldenburg et le pop art d’Andy Warhol.

Célèbre pour s’être marié brièvement à une star italienne du porno et pour avoir exposé leur vie sexuelle dans un art explicite, il est souvent comparé à Andy Warhol, voire loué comme le nouveau Michel-Ange.

Son ex-femme Ilona Staller, ancienne avocate italienne surnommée dans le monde de la pornographie « Cicciolina », avait proposé de faire l’amour au dirigeant irakien Saddam Hussein pour empêcher la guerre du Golfe de 1990.

Aujourd’hui, Koons est marié à une ancienne secrétaire et partage son temps entre sa ferme de Pennsylvanie et New York, où une armée de collaborateurs l’aide à concevoir ses onéreuses sculptures géantes.

L’an dernier, son Balloon Dog (Orange) s’est vendu aux enchères 58,4 millions de dollars, un record pour une sculpture contemporaine d’un artiste vivant.

Sa célébrité dépasse le monde de l’art, en raison notamment de ses collaborations avec des stars comme la chanteuse excentrique Lady Gaga.

« Je crois complètement dans le travail que nous avons ici et j’espère que d’autres gens pourront y trouver un sens », a-t-il déclaré lors du vernissage de l’exposition.

Âgé de 59 ans, l’artiste espère continuer pendant trois autres décennies à créer. « Je crois vraiment à l’art, je crois vraiment à la transcendance qui m’est donnée et qui me montre comment profiter de mes idées et expérimenter l’éphémère royaume des idées ».

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Mode et accessoires

Première rétrospective du styliste Alexander McQueen à Londres en 2015

L’exposition événement Alexander McQueen: Savage Beauty, présentée en 2011 à New York, voyagera au Victoria & Albert Museum de Londres au printemps prochain. 

Le musée V&A est un habitué des expositions en lien avec la mode, ayant récemment accueilli Fashion in Motion ou The Glamour of Italian Fashion 1945-2014 toujours à l’affiche. L’institution londonienne va permettre aux luxueuses créations de Lee Alexander McQueen de retrouver leur ville natale.

« Londres, c’est où j’ai été élevé. C’est où est mon coeur et où je trouve l’inspiration », disait McQueen en janvier 2000. Ce grand espoir de la mode britannique s’est suicidé en février 2010.

Cette exposition qui durera du 14 mars au 19 juillet 2015 sera « la première et la plus grande rétrospective de l’oeuvre de McQueen jamais présentée en Europe », selon les termes du musée londonien. Elle fait suite à l’exposition du même nom organisée par The Costume Institute du Metropolitan Museum of Art de New York, en 2011. 

Cette rétrospective couvrira les premières gammes du jeune diplômé en 1992 jusqu’à sa dernière collection inachevée, de l’automne-hiver 2010.

« Savage Beauty célèbre le styliste le plus imaginatif et talentueux de notre temps. Lee était un génie et un véritable visionnaire qui repoussait constamment les limites, qui lançait des défis et inspirait. Il croyait en la créativité en l’innovation et son talent était illimité », a commenté Sarah Burton, l’actuelle directrice artistique de la marque du défunt créateur.

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Nouvelles quotidiennes

Rétrospective londonienne du premier artiste à avoir peint le mur de Berlin

Thierry Noir: A Retrospective comprendra des oeuvres originales, provenant du célèbre mur de Berlin, mais aussi des photos inédites, des entrevues et des films sur la carrière de ce pionnier du street art.

En 1984, le Français Thierry Noir a commencé spontanément à peindre une partie du mur de Berlin, située en face de chez lui, bravant toutes les interdictions, et a continué cinq années durant. Son art coloré naïf symbolise un acte de résistance important.

Ses immenses fresques, des visages colorés à l’acrylique, représentent bien l’esthétique culturelle du Berlin des années 1980. Elles sont mises en scène sur une réplique du célèbre mur érigé en 1961, construit pour diviser l’Allemagne en deux.

Thierry Noir est de plus en plus respecté et reconnu comme l’un des vétérans du street art moderne. En 2013, il a travaillé avec d’autres grands artistes internationaux de ce mouvement, à savoir Phlegm et ROA.

L’exposition Thierry Noir: A Retrospective est visible jusqu’au 5 mai à la Howard Griffin Gallery de Londres.

Et pour célébrer les 25 ans de la chute du mur, il prendra part à une exposition, collective cette fois, à Paris en mai prochain.

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Nouvelles quotidiennes

Rétrospective inédite en Italie de Frida Kahlo, vraie icône

Plus de 160 oeuvres de et autour de la peintre mexicaine Frida Kahlo sont exposées, retraçant son parcours artistique, mais aussi sa vie de femme, entre peintures et dessins, entre réalisme et surréalisme, entre portraits et autoportraits, le tout sous la direction de l’historienne de l’art Helga Prignitz-Poda.

« Les femmes italiennes auront le plaisir de découvrir Frida, elles pourront s’identifier à elle », s’enthousiasme cette grande spécialiste de la peinture mexicaine.

Parmi les tableaux présentés figurent des peintures jamais exposées en Italie : le célèbre Autoportrait au collier d’épines (1940), emblème de cette rétrospective, ou encore son premier autoportrait réalisé à seulement 19 ans, Autoportrait avec costume en velours (1926).

Issues aussi bien de collections publiques que privées, provenant du Mexique, des États-Unis et d’Europe, les oeuvres présentées s’articulent autour du thème de l’auto-représentation, réflexion centrale de sa démarche artistique.

« C’était une vraie acrobate de la peinture, capable de transformer sa propre image en représentation iconique », explique le critique d’art italien Achille Bonito Olivo.

Les visiteurs pourront également découvrir d’exceptionnels portraits photographiques de l’icône mexicaine, réalisés par celui qui fut un temps son amant, le photographe Nickolas Muray, dont le fameux Frida Kahlo sur un banc blanc, New York (1939), devenu par la suite une célèbre couverture de la revue Vogue.

Soixante ans après le décès de Frida Kahlo, cette rétrospective inédite prend le relais de l’exposition que l’Orangerie consacrait à l’artiste jusqu’au 13 janvier dernier à Paris.

Pour plus d’informations : www.scuderiequirinale.it.
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Nouvelles quotidiennes

Une rétrospective inédite consacrée à l’oeuvre d’Henri Cartier-Bresson au Centre Pompidou

Plus de cinq cents photographies, dessins, peintures, films et documents seront réunis pour cette grande exposition dédiée au photographe surnommé « l’oeil du siècle ». 

Grand témoin de l’histoire, Henri Cartier-Bresson a participé pendant ses 70 ans de carrière à la modernisation de la photographie et à la refonte de cet art. Son travail et son parcours révèlent une grande diversité de clichés, du Surréalisme à la Guerre froide, mais aussi pendant la Seconde Guerre mondiale, la Guerre d’Espagne ou la décolonisation.

Cette exposition au Centre Pompidou est la première grande rétrospective consacrée au photographe depuis sa disparition en 2004. Le parcours proposé, à la fois thématique et chronologique, s’appuie sur trois grands axes : les débuts photographiques et les grands voyages pendant les années 1926-1935, l’engagement politique du photographe de 1936 à 1946, la création de Magnum Photos en 1947 et le photoreportage jusqu’au milieu des années 1970.

Une application mobile compatible Android et iOS consacrée à cette exposition sera offerte au téléchargement avant la fin janvier. L’utilisateur pourra naviguer à travers 60 oeuvres de l’artiste, enrichies de commentaires, de citations, de photographies d’archives, de manuscrits ou encore de vidéos exclusives. L’application propose en plus un portrait du photographe ainsi qu’une chronologie de sa carrière.

Réalisée par les éditions du Centre Pompidou en partenariat avec la Fondation Henri Cartier-Bresson, Magnum Photos et Le Monde, elle sera proposée sur Google Play (Android) et l’App Store (iOS), en français et en anglais.

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Musique

Paul McCartney propose une rétrospective de son année

L’année 2013 en fut une bien remplie et couronnée de succès pour l’ex-Beatles et légende vivante, Paul McCartney. Ce dernier veut maintenant faire entrer les fans dans les grands moments de cette année qui s’achève et propose une émission spéciale d’une heure, qui sera présentée sur les ondes de la chaîne Palladia, la petite sœur de VH1.

Le Rolling Stone, qui rapporte la nouvelle, rappelle également quelques moments de McCartney en 2013, lui qui a lancé un nouvel album des plus étonnants (New), proposé quelques concerts surréalistes, et répondu à une lettre de fan qui datait de 50 ans! Il s’est même permis quelques bons mots à l’endroit de Yoko Ono, probablement le moment le plus court mais spectaculaire de son année.

Intitulée Paul McCartney: Something New, la spéciale sera présentée sur Palladia demain soir (5 décembre) à 21 h. VH1 reprendra l’affaire dès ce vendredi (6 décembre) à la même heure. Pour ceux qui ne pourront être du rendez-vous, rassurez-vous, le documentaire sera assurément proposé sur le web au cours des prochaines semaines.

Paul McCartney vient de terminer une éreintante portion de sa tournée au Japon, une première en 11 ans pour le mythique artiste.

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Nouvelles quotidiennes

La première rétrospective Raymond Cauchetier présentée en novembre au Salon de la Photo

Rendez-vous incontournable des professionnels et des passionnés, le Salon de la Photo accueillera pour sa prochaine édition du 7 au 11 novembre, à la Porte de Versailles, les grandes marques du monde de l’image, les fabricants, mais aussi les écoles et les groupements professionnels. L’évènement offrira également la 1re rétrospective consacrée au travail du photographe Raymond Cauchetier. 

Pour sa 7e édition où sont attendus une centaine d’exposants, le Salon de la Photo proposera une exposition consacrée à la carrière photographique de Raymond Cauchetier. Quelque 150 clichés, dont de nombreuses photographies inédites, seront présentés au public.

Grand nom de la photographie, Raymond Cauchetier est connu pour son travail sur le cinéma. Considéré comme le regard de la Nouvelle Vague, l’auteur du célèbre cliché de la course effrénée entre Jeanne Moreau, Oskar Werner et Henri Serre sur la passerelle de Charenton-le-Pont a photographié des scènes cultes du cinéma dans À bout de souffle, Jules et Jim ou encore Lola. Photographe pendant la Guerre d’Indochine, il a aussi beaucoup voyagé dans cette région, offrant un regard humaniste à une série de clichés pris au Vietnam, au Cambodge et au Laos. 

Le Salon de la Photo sera aussi l’occasion de mettre à l’honneur la nouvelle génération de photographes. Les lauréats des Zooms 2012, récompenses du salon, bénéficieront d’une exposition d’une vingtaine de leurs photos lors de l’évènement. 

La dernière édition du Salon de la Photo en 2012 a attiré plus de 80 000 visiteurs.

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Joan Miro, l’Arlequin artificier, s’expose en Bretagne dans une rare rétrospective

L’exposition Joan Miro, l’Arlequin artificier, une rare rétrospective portant un regard nouveau sur l’artiste catalan et les différentes formes d’art qu’il a explorées, s’ouvre à partir de samedi (15 juin) au centre d’art contemporain de la famille Leclerc à Landerneau.

La rétrospective du grand maître du surréalisme présente, en partenariat avec la fondation Marguerite et Aimé Maeght, 470 oeuvres dont certaines rarement exposées, car appartenant à des particuliers.

Organisée à l’occasion du 120e anniversaire de la naissance de Miro (1893-1983), elle puise dans les oeuvres de la Fondation Maeght, mais aussi de la Fondation Joan Miro de Barcelone, de la Bibliothèque de France et de particuliers, descendants et proches de l’artiste.

« C’est une exposition tout à fait exceptionnelle parce qu’il y a longtemps qu’on n’avait pas réuni autant d’œuvres de Miro en un seul lieu », se félicite Patrick Jourdan, commissaire général, en réglant les derniers détails avant le vernissage où sont attendues près de 2000 personnes.

Sur les 1000 m2 du Centre Hélène et Édouard Leclerc pour la Culture de Landerneau, berceau de la famille Leclerc, à 25 km de Brest, l’exposition, où sont attendus entre 40 et 50 000 visiteurs jusqu’au 3 novembre, est centrée sur la seconde partie de la vie de Miro, à partir des années 30-40 lorsqu’il décide de s’essayer à la céramique, la sculpture, l’estampe, sans jamais abandonner la peinture.

Le Fonds Hélène et Édouard Leclerc, entièrement financé par des actions de mécénat privées, se situe dans l’enceinte d’un ancien couvent de capucins du XVIIe siècle, à proximité de l’emplacement de l’épicerie fondée par Édouard Leclerc en 1949.

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Mode et accessoires

Le Musée des beaux-arts présente Jean Paul Gaultier

Soulignement honorifique des 35 ans de carrière de Jean Paul Gaultier, cette exposition retrace le parcours unique d’un styliste inégalé. C’est Nathalie Bondil, directrice du Musée des beaux-arts, qui a eu l’idée et en a demandé la réalisation.

Selon le Musée, La Planète mode de Jean Paul Gaultier, De la rue aux étoiles rassemble les multiples facettes du travail exceptionnel du couturier surnommé « l’enfant terrible de la mode ». De ses débuts en 1976 jusqu’à ce jour, l’exposition célèbre la haute couture dans son raffinement le plus pur.
 
Au fil de l’exposition, non seulement découvrira-t-on l’essence avant-gardiste de Gaultier, mais aussi sa relation privilégiée avec la danse, la scène musicale pop-rock, le cinéma, la télévision et même la photographie.
 
À travers plus de 150 pièces qui seront présentées, vous reconnaîtrez l’audace de l’artiste et l’éclatement des frontières multiculturelles qu’il a toujours revendiqué.
 
La participation de Denis Marleau et Stéphanie Jasmin, qui utilisent la projection sur masques, ajoutera une touche technologique d’avant-garde, donnant vie à des mannequins qui seront animés par la vidéo.
 
Somme toute, une exposition d’envergure digne du grand designer et rassemblant un nombre impressionnant de collaborateurs de renom.

Soyez prêts à visiter l’univers fascinant de Jean Paul Gaultier, qui comprendra entre autres des croquis et autres pièces inédites issues de l’imagination créative sans pareille de l’artiste.