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Réussite scolaire : il faut être attentif

Une récente de l’Université de Montréal démontre que les problèmes d’inattention sont au cœur des échecs scolaires, et ce, plus que peut l’être l’hyperactivité. De plus, les enfants qui sont inattentifs à ce point auraient besoin de profiter de mesures préventives, selon Medical News Today.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi 2 000 enfants, parents et enseignants sur une période de 20 ans. Les enseignants étaient responsables de relever les signes de l’inattention, dont la difficulté de concentration et la tendance à abandonner facilement, notamment.

Quant à l’hyperactivité des jeunes sujets, elle était évaluée selon des critères généraux. On a par la suite accompagné les enfants jusqu’à la fin de leurs études.

Il a été relevé que si 89 % des enfants hyperactifs réussissaient à obtenir leur diplôme d’études secondaires, c’était le cas pour seulement 29 % de ceux qui souffraient de problèmes d’inattention.

Les spécialistes en santé mentale devront maintenant statuer à savoir si l’inattention et l’hyperactivité doivent être différenciées dans la prochaine édition du DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux).

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Les enfants ne lisent pas assez

Une récente étude menée au Royaume-Uni nous indique que les enfants d’aujourd’hui ne sont pas tous de grands lecteurs, loin de là. On lit sur Actualitte qu’un enfant sur six lit moins d’un livre par mois.

La tendance observée en est une d’opposés : soit un enfant lit plus de 10 livres par mois, soit il ne lit pas du tout. Pourtant, la lecture devrait être partagée par un beaucoup plus grand nombre d’enfants, car nous en connaissons les bénéfices.

Par exemple, la lecture est fortement reliée à la réussite scolaire; l’une influence tout autant l’autre. Cela a à voir, entre autres, avec la concentration : 77 % des enfants qui lisent plus d’une heure à la fois ont plus de facilité, et seulement 4 % d’entre eux ont des difficultés.

D’autre part, si un enfant ne lit pas suffisamment, il pourra se retrouver avec des lacunes à l’âge adulte. On prévoit que plusieurs d’entre eux n’auront qu’un degré de lecture équivalent à celui d’un enfant de 11 ans. Une grande inquiétude réside donc dans ces futurs problèmes d’alphabétisation.

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Comment réduire le stress de notre enfant

Selon une recherche de l’University of Chicago, le stress vécu à l’école, que ce soit lors d’un examen ou pendant une activité sportive, peut entraver la réussite scolaire. On lit dans Emotion qu’un simple changement de perception pourrait toutefois changer la donne.

D’après les résultats des experts, il semble que le cortisol, une hormone du stress, peut à la fois être relié à un faible résultat et constituer un facteur de réussite. Cela ne dépendrait que de l’état d’esprit de l’enfant.
 
C’est la première fois que l’on établit un lien entre la mémoire, l’anxiété (quant à un test de mathématiques) et le cortisol. Soixante-treize élèves ont été évalués lors de cette expérimentation.
 
Afin de maîtriser son stress et ainsi s’en servir pour mieux réussir, notre enfant pourrait donc changer sa perception de la situation selon deux méthodes. Il peut soit écrire sur ses angoisses avant de faire un test, soit se rappeler un moment où il a vécu une réussite.
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L’intimidation et la réussite scolaire

L’intimidation peut avoir des répercussions sur la réussite scolaire d’un enfant, lit-on dans Pediatrics. Une étude basée sur un sondage a démontré une différence quant aux performances scolaires entre des enfants qui vivaient de l’intimidation et d’autres qui n’en vivaient pas.

Plus de 7 300 élèves ont répondu au sondage, et près de 3 000 enseignants ont aussi donné leur avis. On a remarqué que les résultats d’enfants intimidés étaient de 3 à 6 % plus faibles que ceux des autres. Cela concernait les mathématiques, les sciences et l’histoire.
 
Selon les chercheurs, l’intimidation devrait être abordée comme un problème concernant l’école, non pas comme un problème individuel.
 
On ajoute que l’intimidation consiste à insulter, humilier ou mettre dans l’embarras une personne d’une façon volontaire. Cela peut être fait d’une manière physique, verbale ou sociale.
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Asthme mal soigné : les répercussions

Lorsqu’un enfant n’est pas suivi adéquatement quant à son asthme, les conséquences sont nombreuses. Selon une recherche de la National Jewish Health, les coûts relatifs à la santé sont doublés dans le cas de cette maladie.

De plus, l’enfant asthmatique qui n’est pas bien soigné sera plus enclin à être absent de l’école, ce qui va à l’encontre de sa réussite scolaire. On parle ici d’une moyenne de 18 jours d’absentéisme par année, contre 2 jours pour les autres patients asthmatiques.
 
Cette étude a été faite auprès de 628 enfants qui souffraient d’un asthme sévère ou difficile à soigner. Les sujets étaient divisés en trois sous-groupes, soit : très pauvrement suivis, pas très bien suivis et bien suivis. Ils étaient âgés de 6 à 12 ans.
 
Semble-t-il que c’était la première fois que l’on se penche sur les coûts engendrés par un traitement efficace ou non de l’asthme.
 
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’édition d’août 2011 des Archives of Allergy, Asthma & Immunology.
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Les soins particuliers nuiraient à la réussite scolaire

Une récente étude parue dans Pediatrics fait la lumière sur la vie sociale et la réussite scolaire d’enfants nécessitant des soins de santé particuliers. Il semble que les enfants ayant de tels besoins en soient discriminés.

En effet, après que l’on ait ajusté certains segments, on a remarqué que les enfants recevant des soins particuliers en milieu scolaire étaient plus souvent victimes d’intimidation et affichaient un comportement dérangeant dans une plus grande proportion.
 
De plus, ils démontraient une moins grande motivation et obtenaient de moins bons résultats scolaires. Parmi les enfants de 34 écoles, 33 % ont été reconnus comme nécessitant des soins particuliers.
 
Ceux-ci comprenaient les limites physiques dues à une maladie chronique et les problèmes de comportement. La seule prise de médicaments ne faisait pas partie des raisons, du moins dans cette recherche. Au total, 1 457 enfants de la 4e à la 6e année ont été évalués.
 
On recommande, à la suite des résultats obtenus, que les enfants ayant des besoins particuliers soient mieux soutenus dans le milieu scolaire.
 
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L’acide folique et la réussite vont de pair

Puisque les aptitudes cognitives sont en progression durant toute l’enfance et l’adolescence, une alimentation riche en acide folique est encore une fois recommandée. Des spécialistes de l’Université Orebro, en Suède, appuient l’hypothèse de plus en plus acceptée.
 
Se retrouvant dans les fruits, les légumes, le jus, le foie et le pain à grains entiers, entre autres, l’acide folique soutiendrait le bon développement du cerveau. Encore une fois, comme le mentionne Pediatrics, on vante les mérites de cette vitamine (B9) quant à la réussite scolaire.
 
On ne peut, pour l’instant, expliquer de manière concrète quelles sont les aptitudes les plus touchées par l’absorption d’acide folique, et de nombreux autres facteurs influencent aussi la réussite à l’école, mais un lien certain est noté.
 
Aucune autre étude n’aurait jusqu’ici démontré si clairement le rôle de la vitamine B9 dans le développement cérébral chez l’enfant et l’adolescent.
 
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La réussite scolaire, une affaire de parent

Au-delà de l’environnement social, ce que fait un parent aurait les répercussions les plus marquantes quant à la réussite scolaire.

Des chercheurs du Royaume-Uni ont en effet démontré que les gestes posés par le parent, même avant que l’enfant commence à parler, sont des plus décisifs.

Selon cette étude, comme nous le lisons sur Science Daily, un enfant de deux ans qui aura souvent visité la bibliothèque et qui aura possédé plusieurs livres aura de meilleurs résultats une fois à l’école.

Il semble aussi que les amoureux de la lecture auraient des enfants mieux préparés à l’école. D’autres activités éducatives auraient aussi un impact positif, tandis qu’un temps prolongé passé devant la télévision aurait l’effet inverse.

On peut déceler, par ces résultats, que la préparation au système scolaire doit se faire dans le cadre d’une longue et graduelle transition.

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Les émotions au service de la réussite scolaire

Réussir à l’école dépend à la fois de compétences émotionnelles, sociales et scolaires. C’est ce que nous apprend une étude parue récemment dans Child Development.

Des programmes éducationnels basés sur les émotions et les aptitudes sociales mis en place par deux universités américaines sous-entendent qu’en plus d’améliorer le comportement et l’attitude des enfants, ils peuvent faire augmenter les résultats à l’école.

Un échantillon de 213 sujets ayant pris part à des programmes sociaux et émotionnels a été analysé parmi 270 000 participants. Il s’agit de la première recherche du genre à être réalisée. Les participants étaient des écoliers jusqu’à des universitaires.

Entre autres, certaines compétences émotionnelles et sociales ont été ciblées, comme la reconnaissance et la maîtrise des émotions, la prise de décisions responsables ainsi que l’établissement et la conservation de relations positives avec les autres.

Les résultats observés chez les participants ayant pris part aux programmes étaient indépendants de l’âge, de l’ethnie, du milieu de vie et de l’école fréquentée.

Cette recherche ouvre finalement la voie à une nouvelle façon de percevoir l’éducation, soit en établissant des programmes basés sur les émotions et les aptitudes sociales du même type et bien encadrés en milieu scolaire.

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Meilleur à l’école si né tôt dans l’année?

On apprend dans La Revue Économique qu’une récente étude a été menée sur le moment de la naissance et la réussite future. Julien Grenet, chercheur en économie, a publié celle-ci.

Selon ses découvertes, il semble qu’un enfant né en fin d’année connaîtrait plus de difficultés scolaires que ceux nés après le 31 décembre.

Toujours selon monsieur Grenet, les enfants nés en décembre redoublent dans une proportion de 34 % au primaire, contre 17 % pour ceux nés plus tard.

Ces mêmes enfants nés lors des derniers mois de l’an auraient plus tard un salaire 1,5 % moins élevé que ceux ayant vu le jour en janvier.

Il semble par ailleurs que cette réalité soit perçue dans certains pays européens. En effet, les petits Britanniques seraient divisés par classe en fonction de leur mois de naissance.

Aux Pays-Bas, on permet aux enfants nés en fin d’année de passer une année de plus à la prématernelle pour mieux se préparer à leur prochaine vie scolaire.