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Soulager l’arthrite par l’alimentation

Avec l’arrivée de l’automne et celle imminente de l’hiver, les gens aux prises avec des problèmes de rhumatisme et d’arthrite recommencent à vivre le cauchemar qu’occasionne ce problème de santé.

L’humidité ambiante exerce un effet direct sur la virulence de ce qu’on appelle la polyarthrite rhumatoïde, et il n’existe aucun traitement efficace à 100 %, au grand dam des patients qui en sont atteints.

Quelques solutions sont cependant accessibles, et elles peuvent se marier à certains choix alimentaires, selon ce que propose Top Santé.

L’alimentation aurait une incidence sur la maladie, et on conseille quelques alternatives afin de maximiser ses chances de vaincre les douleurs reliées à l’arthrite.

On conseille d’abord vivement de laisser tomber tous les aliments à haute teneur en sel, puisqu’ils favorisent le phénomène de rétention d’eau, qui apparait à la suite des traitements à la cortisone souvent prescrits aux patients.

Outre le fait d’éviter le sel, on suggère aussi de se tourner vers les fameux oligo-éléments, souvent vantés depuis quelques années. Les aliments à fortes teneurs en cuivre et en sélénium, par exemple, entrent dans cette catégorie.

Les noix, les poissons et fruits de mer, le soja, les épices et les légumes font tous également partie de la liste des recommandations.

Il s’agit par ailleurs d’excellents conseils alimentaires qui s’appliquent à tout le monde, en tout temps!

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Les rayons du soleil pour prévenir l’arthrite

Un nouveau moyen de prévention contre l’arthrite retient l’attention des chercheurs, rapporte The National Library of Medicine.

Et celui-ci s’avère peu coûteux, puisqu’il provient d’un élément présent chaque jour dans nos vies, et ce, gratuitement. On parle bien sûr ici du soleil et de ses rayons qui, selon une nouvelle étude sur le sujet, permettraient de contrer certains effets du vieillissement comme le développement de l’arthrite rhumatoïde.

On attribuerait cet effet aux rayons UVB, et l’effet serait plus vérifiable chez les femmes d’un certain âge.

Publiées dans Annals of the Rheumatic Diseases, ces recherches estiment que l’exposition à ces rayons UVB est bénéfique sur la santé, au point de faire baisser les risques d’arthrite de 21 % en moyenne chez les femmes.

Les chercheurs tiennent à préciser qu’il s’agit d’une autre pièce importante pour démontrer les effets des UVB sur la santé, mais qu’il est trop tôt pour parler de cause à effet. On croit pour l’instant que la réponse épidermique en vitamine D observée en réaction au soleil pourrait expliquer le phénomène.

De plus, on rappelle qu’une surexposition au soleil peut également mener à des problèmes de santé.

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Le tabagisme responsable des rhumatismes

Des chercheurs suédois ont découvert que le tabagisme était responsable du tiers des cas de polyarthrite rhumatoïde. Chez les gens génétiquement prédisposés, la cigarette est même liée à plus de la moitié des cas.
 
La polyarthrite rhumatoïde touche un Canadien sur 100. Il s’agit d’une maladie auto-immune qui provoque des enflures, des douleurs, des ankyloses et de la fatigue aux articulations.
 
Habituellement, ce type de rhumatisme se développe entre 40 et 60 ans. Lors de sa progression, il peut conduire à des handicaps sévères.
 
Après avoir examiné 1 200 Suédois atteints par la pathologie et 871 autres en bonne santé, les chercheurs constatent que plus une personne fume, plus les risques de développer la maladie sont élevés, surtout si cette personne est déjà génétiquement prédisposée.
 
Toutefois, après 20 ans sans avoir fumé, une personne n’aura pas plus de chances de développer la maladie qu’une autre qui n’aura jamais fumé de sa vie, mentionnent les Annals of the Rheumatic Diseases.
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Les rhumatismes touchent aussi les enfants

L’arthrite juvénile idiopathique, mieux connue sous le nom de rhumatisme de l’enfant, regroupe l’ensemble des maladies articulaires inflammatoires sans cause connue qui surviennent avant l’âge de 16 ans et durent plus de six semaines.
 
Oui, les tout-petits peuvent aussi souffrir de rhumatismes au même titre que les adultes. C’est une pathologie méconnue, mais qui détruit le quotidien d’enfants qui ne peuvent pas pratiquer des activités comme tous les jeunes de leur âge.
 
Dans 20 à 30 % des cas, ces inflammations se résultent par un handicap. Cette conséquence dépend du nombre et du niveau d’inflammation des articulations et du rythme auquel la maladie progresse.
 
Les polyarticulaires sont les plus invalidantes et les plus douloureuses. Elles peuvent entraver le sommeil et compromettre la scolarité. On note aussi que les enfants atteints ont de la difficulté à bouger seuls et ne peuvent participer à des activités sportives. Leur mobilité est grandement affectée.
 
On souhaite sensibiliser la population à cette situation peu commune et surtout méconnue qui affecte pourtant de 2 000 à 4 000 enfants en France.