C’est ce que révèle une étude de l’Université de Northumbria publiée dans la revue Psychoneuroendocrinology dans le cadre du mois national de l’autisme en avril.
Ce sont les soins assidus, les efforts financiers et physiques, la pression sociale et émotionnelle ainsi que le stress qui placent la santé de ces parents d’enfants autistes dans une situation délicate, selon les chercheurs.
C’est en examinant des parents dans cette situation que les auteurs de l’étude ont même découvert des niveaux élevés de protéine C réactive chez ces derniers, soit un marqueur de l’inflammation qui est liée à un risque accru de développer une maladie coronarienne et du diabète.
La dépression et l’anxiété font également partie de la réalité de ces parents dont la santé est souvent grandement affectée.
Sous peu, l’équipe lancera un projet de recherche pour observer si écrire au sujet de ses émotions peut favoriser ou non la santé et le bien-être de ces adultes.
Des échantillons de salive et de sang seront recueillis, alors que les parents seront invités à écrire 20 minutes par jour sur un sujet obligatoire, et ce, durant trois jours.
En effet, selon Healthnews.com, plusieurs aliments que l’on consomme régulièrement devraient faire partie de notre liste d’épicerie particulièrement ces temps-ci de l’année.
Le kiwi est bénéfique surtout chez les enfants, pour traiter les infections des voies respiratoires supérieures. Évidemment, on ajoute des oranges plutôt que d’acheter de la vitamine C, qui peut soulager et même prévenir les symptômes de la grippe et du rhume.
Un fruit à découvrir, le sureau, est produit tant en France qu’au Québec, en Montérégie, et contient autant, sinon plus, d’antioxydants que le bleuet. Présenté en gelées, confitures ou fruits surgelés, il est aussi offert en teintures, sirops et onguent en Europe.
On s’assure d’utiliser l’ail à toutes les sauces pour ses propriétés antibactériennes et antivirales, puis on ajoute de la moutarde pour éliminer les toxines et réduire la fièvre.
On se fait aussi des tisanes ou du thé au gingembre, à la menthe ou à la camomille, que l’on peut toujours accompagner de miel, qui contribue à soulager les premiers symptômes tels que l’irritation de la gorge. Le sel et la sauge, quant à eux, poursuivront le traitement si on les utilise pour se gargariser.
Finalement, ne négligez pas la bonne soupe poulet et nouilles, dont l’utilisation remonte au 12e siècle, alors qu’elle était recommandée par Maimonides, un physicien et philosophe juif. Encore aujourd’hui, on ne peut s’en passer lorsqu’on a un gros rhume.
On procède souvent au retrait des adénoïdes chez l’enfant qui fait des otites à répétition ou une autre infection semblable. On lit pourtant dans BMJ que cette intervention ne le protège pas autant de futurs problèmes de santé.
Il s’est en effet avéré, après que l’on ait suivi 111 enfants de 1 à 6 ans sélectionnés pour un retrait des adénoïdes, qu’une telle intervention chirurgicale ne réduisait pas la prévalence future d’infections respiratoires telles que la sinusite ou le rhume.
Dans le cadre de cette recherche, la moitié des enfants en observation étaient passés sous le bistouri, alors que l’autre n’avait pas subi ladite intervention chirurgicale.
Tous les enfants ont été revus 24 mois après le moment des chirurgies, qu’ils l’aient eue ou non. L’étude s’est étalée d’avril 2007 à octobre 2010.
Ceux qui s’étaient fait retirer les adénoïdes ont par la suite connu 7,91 épisodes d’infection respiratoire, en comparaison à 7,84 chez ceux qui n’avaient pas été opérés.
La différence est donc très mince d’un groupe à l’autre, d’autant plus que le nombre de jours d’absence de l’école ou de la garderie ainsi que l’état général de leur santé se sont aussi avérés similaires.
Finalement, pour tous les enfants à l’étude, la fréquence d’infections respiratoires a diminué au fil du temps.
La prise d’huile de poisson durant la grossesse réduirait l’apparition du rhume chez l’enfant à naître, lisons-nous dans Pediatrics. Le nombre de rhumes serait moindre chez le bébé dont la mère a pris ce type de supplément alimentaire pendant qu’elle était enceinte.
Il en souffrirait précisément 24 % moins souvent. De plus, ces symptômes du rhume se résoudraient plus rapidement durant les six premiers mois de vie du nourrisson, toujours selon les résultats de l’University of Emory (Atlanta).
Les omégas 3, des acides gras polyinsaturés contenus dans les huiles faites à base de poissons d’eau froide, pourraient influencer la réponse immune chez le fœtus et l’enfant selon les chercheurs.
Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi un peu plus de 1 000 femmes enceintes. Parmi elles, certaines ont reçu un supplément et d’autres ont eu un placebo. Ce qui avait trait à la naissance et à l’allaitement n’était toutefois pas différent d’un groupe à l’autre.
Puisque leurs symptômes se ressemblent, le rhume et les allergies saisonnières sont difficiles à reconnaître. Pour s’y retrouver, on peut déceler quelques signes donnés par une spécialiste de la Loyola University en Illinois, Hannah Chow.
Comme l’a expliqué Dre Chow à Medical News Today, l’ultime différence entre un rhume et des allergies est l’apparition de fièvre. En effet, la fièvre accompagne un virus, non pas une réaction allergique.
En conclusion, Dre Chow soutient que la meilleure façon de prévenir ou de limiter les symptômes des allergies est encore d’éviter le plus possible l’exposition aux facteurs allergènes.