Catégories
Potins

Kate Upton s’est sentie ridiculisée après sa première couverture du Sports Illustrated

Alors que de nombreuses mannequins auraient été aux anges de faire la couverture de l’édition maillot du Sports Illustrated, la première fois n’a pas été une belle expérience pour Kate Upton, qui s’est sentie ridiculisée.

« Après ma première couverture pour Sports Illustrated, je me suis sentie très mal dans ma peau pendant un bon mois. Tous les hommes que je rencontrais étaient mariés ou sur le point de l’être, et j’avais l’impression d’être la célibataire en cadeau-surprise. Je ne suis pas un jouet, je suis humaine. Je n’aime pas être utilisée. Je suis une femme mature, et les hommes n’ont qu’à régler leurs problèmes », dit-elle dans le magazine ELLE.

La jeune blonde de 21 ans insiste sur le fait qu’elle n’est pas un objet et qu’elle n’est pas une idiote non plus. « Les gens traitent les top-modèles comme si elles étaient des enfants. Ils pensent pouvoir nous faire faire ce qu’ils veulent. Mais en fait, c’est assez drôle. C’est moi qui tiens les rênes, mais ils sont si persuadés que je suis débile qu’ils ne se rendent pas compte de ce qui se passe. »

En couple depuis peu avec Maksim Chmerkovskiy de Dacing with the Stars, Upton demeure discrète sur ses amours, disant qu’elle n’avait jamais encore eu de relation sérieuse et qu’elle est si occupée que les relations ne sont pas sa priorité.

Catégories
Potins

Kate Upton s’est sentie ridiculisée après sa première couverture du Sports Illustrated

Alors que de nombreuses mannequins auraient été aux anges de faire la couverture de l’édition maillot du Sports Illustrated, la première fois n’a pas été une belle expérience pour Kate Upton, qui s’est sentie ridiculisée.

« Après ma première couverture pour Sports Illustrated, je me suis sentie très mal dans ma peau pendant un bon mois. Tous les hommes que je rencontrais étaient mariés ou sur le point de l’être, et j’avais l’impression d’être la célibataire en cadeau-surprise. Je ne suis pas un jouet, je suis humaine. Je n’aime pas être utilisée. Je suis une femme mature, et les hommes n’ont qu’à régler leurs problèmes », dit-elle dans le magazine ELLE.

La jeune blonde de 21 ans insiste sur le fait qu’elle n’est pas un objet et qu’elle n’est pas une idiote non plus. « Les gens traitent les top-modèles comme si elles étaient des enfants. Ils pensent pouvoir nous faire faire ce qu’ils veulent. Mais en fait, c’est assez drôle. C’est moi qui tiens les rênes, mais ils sont si persuadés que je suis débile qu’ils ne se rendent pas compte de ce qui se passe. »

En couple depuis peu avec Maksim Chmerkovskiy de Dacing with the Stars, Upton demeure discrète sur ses amours, disant qu’elle n’avait jamais encore eu de relation sérieuse et qu’elle est si occupée que les relations ne sont pas sa priorité.

Catégories
Potins

Kate Upton s’est sentie ridiculisée après sa première couverture du Sports Illustrated

Alors que de nombreuses mannequins auraient été aux anges de faire la couverture de l’édition maillot du Sports Illustrated, la première fois n’a pas été une belle expérience pour Kate Upton, qui s’est sentie ridiculisée.

« Après ma première couverture pour Sports Illustrated, je me suis sentie très mal dans ma peau pendant un bon mois. Tous les hommes que je rencontrais étaient mariés ou sur le point de l’être, et j’avais l’impression d’être la célibataire en cadeau-surprise. Je ne suis pas un jouet, je suis humaine. Je n’aime pas être utilisée. Je suis une femme mature, et les hommes n’ont qu’à régler leurs problèmes », dit-elle dans le magazine ELLE.

La jeune blonde de 21 ans insiste sur le fait qu’elle n’est pas un objet et qu’elle n’est pas une idiote non plus. « Les gens traitent les top-modèles comme si elles étaient des enfants. Ils pensent pouvoir nous faire faire ce qu’ils veulent. Mais en fait, c’est assez drôle. C’est moi qui tiens les rênes, mais ils sont si persuadés que je suis débile qu’ils ne se rendent pas compte de ce qui se passe. »

En couple depuis peu avec Maksim Chmerkovskiy de Dacing with the Stars, Upton demeure discrète sur ses amours, disant qu’elle n’avait jamais encore eu de relation sérieuse et qu’elle est si occupée que les relations ne sont pas sa priorité.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Le somptueux château du film Ridicule rouvre après 7 ans de travaux

Le château de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), haut lieu de tournage de films et ancienne résidence des chefs d’État étrangers en France, doit rouvrir au public samedi (6 juillet) près de sept ans après l’effondrement d’un plafond d’époque rongé par un champignon.

En septembre 2006, vingt mètres carrés du plafond de son Salon chinois s’étaient effondrés, sans faire de victime. Un cache-pot en porcelaine de Sèvres du XVIIIe siècle avait été brisé.

Un champignon lignivore, dont le développement avait probablement été favorisé par l’humidité, avait grignoté le bois, alimentant une polémique sur le mauvais entretien de ce bâtiment historique construit entre 1703 et 1707 et propriété de l’État.

Restauration de papiers peints, de lustres ou de grilles, renforcement de dalles et de plafonds, réfection de parquets… la remise à niveau a duré près de sept ans et coûté 6,2 millions d’euros (environ 85 millions de dollars).

Le château doit avoir plus ou moins retrouvé l’aspect qu’il avait lorsque le général de Gaulle en fit une résidence officielle des chefs d’État étrangers en visite en France.

Une vingtaine d’entre eux, principalement africains, y ont séjourné de 1959 à 1969 : le roi marocain Hassan II, l’empereur centrafricain Jean-Bedel Bokassa ou encore le président sénégalais Léopold Sédar Senghor.

Le château a aussi servi de décor à de nombreux films, dont parmi les plus récents Marie-Antoinette de Sofia Coppola (2006), Ridicule de Patrice Leconte (1994) ou Le promeneur du Champ-de-Mars de Robert Guédiguian (2004).

Le château doit ouvrir au public samedi à 15 h, après son inauguration par la ministre de la Culture Aurélie Filippetti. Après un week-end gratuit, la visite coûtera 7,50 euros (plein tarif).

Le château, ancienne propriété des ducs de La Vallière, est situé à moins de 20 kilomètres de Paris, et le Centre des musées nationaux espère en faire « une destination phare du tourisme patrimonial (…) en Île-de-France ».