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Les grains entiers à forte teneur en fibres efficaces en prévention du diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle analyse qui prône et vante les mérites des grains entiers, particulièrement ceux à forte teneur en fibres, dans la prévention du diabète.

Selon les chercheurs de la Harvard School of Public Health de Boston, chargés d’effectuer ces recherches par l’American Society for Nutrition, l’impact des grains entiers sur les risques de diabète est tout simplement non-négligeable.

« Les fibres de céréales pourraient bien être l’ingrédient protecteur des grains entiers qui permet de faire baisser les risques de développer du diabète », lance Lu Qi, l’un des auteurs de l’étude en question.

Après avoir révisé un nombre considérable d’études précédentes sur le sujet et en conduisant quelques tests, Qi et son équipe arrivent à la conclusion que d’ajouter cet aliment à une diète permettrait de réduire les risques de diabète jusqu’à 43 %, selon les cas.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Manger des poissons gras pourrait réduire le risque de cancer du sein

Consommer une à deux fois par semaine des acides gras oméga-3 provenant de poissons gras, comme le saumon, le thon ou les sardines, permettrait de réduire le risque de cancer du sein, selon une analyse publiée vendredi (28 juin).

Alors que plusieurs études avaient déjà fait état du rôle protecteur des oméga-3 par rapport aux maladies cardiovasculaires, des chercheurs chinois ont passé en revue 26 études portant sur 800 000 femmes et environ 20 000 cas de cancer du sein réalisées aux États-Unis, en Europe et en Asie.

Ils ont montré que la consommation d’une à deux portions de poissons gras par semaine était associée à une réduction de 14 % du risque de cancer du sein.

Selon l’équipe dirigée par le professeur Duo Li de l’Université du Zhejiang, une augmentation de 0,1 g d’oméga-3 provenant du poisson par jour réduisait le risque de cancer du sein de 5 %.

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels au développement et au bon fonctionnement du corps humain. Il en existe 4, connus par leurs initiales, EPA, DHA et DPA, qu’on trouve essentiellement dans les poissons gras (saumon, thon, maquereau, hareng, sardine et anchois) et ALA, présent dans les huiles végétales (noix, huile de colza, soja, lin) et dans une moindre mesure dans la viande, les produits laitiers ou les oeufs.

Dans leur étude, publiée dans la revue British Medical Journal, les chercheurs chinois notent toutefois que seuls les oméga-3 d’origine marine ont été associés à une réduction du risque de cancer du sein, aucune « association significative » n’ayant été observée avec les autres oméga-3.

Ils soulignent également que « le risque était le plus bas dans les populations asiatiques, probablement parce que la consommation de poisson y est bien supérieure à celle observée dans les pays occidentaux ».

Le cancer du sein est l’un des plus fréquents à l’échelle mondiale. En 2008, il représentait, selon l’étude, près de 23 % de l’ensemble des cancers et 14 % des décès.

Selon divers travaux publiés ces dernières années, l’alimentation et le mode de vie pourraient jouer un rôle dans l’apparition de ce cancer à côté de facteurs génétiques, de mieux en mieux connus, comme les mutations des gènes BRCA1 ou BRCA2, qui prédisposent au cancer du sein.

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Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

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Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

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Les gras saturés peuvent-ils rendre le cerveau vulnérable à l’Alzheimer?

The National Library of Medicine rapporte une étude de l’École de médecine de Wake Forest, qui trace une corrélation entre une grande consommation de gras saturés et le développement de maladies dégénératives cérébrales comme l’Alzheimer.

En fait, le lien n’en est pas un direct entre une surconsommation de ces gras et les risques de développement de la maladie en tant que telle, mais c’est plutôt le cerveau qui serait rendu vulnérable à ce type de problème de santé.

Selon ce que l’on comprend des informations proposées dans l’étude, par ailleurs publiée dans le JAMA Neurology, une diète forte en gras saturés viendrait anéantir une propriété chimique clé en prévention de l’Alzheimer et de certaines autres maladies dégénératives, une propriété appelée ApoE.

En bref, ces résultats ne sont ni plus ni moins qu’une autre bonne raison de faire attention à ce que vous mangez!

Les gras saturés, massivement retrouvés dans les aliments gras et frits comme le fast-food et les frites, doivent absolument être consommés avec modération.

La preuve de ce fait n’est manifestement plus à faire.

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Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

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Les téléphones mains libres comportent aussi leur part de risque en voiture

The National Library of Medicine propose une étude, initialement publiée par des chercheurs de l’Université d’Utah, qui parle de l’existence bien réelle des risques associés à l’utilisation des appareils mains libres téléphoniques en voiture.

Commandé par AAA, l’équivalent de notre CAA aux États-Unis, le rapport tient à mettre la population et les automobilistes en garde contre ces appareils qui, selon les chercheurs en tête de l’étude, provoquent plusieurs distractions mentales qui peuvent aussi s’avérer fatales.

Ou à tout le moins causer un accident, croit Peter Kissinger, président de l’AAA, qui lance : « Les mains libres ne sont pas totalement sans risque, même si trois conducteurs sur quatre le croient. Nous savons maintenant que les appareils de détection ou à commande vocale créent des distractions qui dégradent la performance de conduite ».

On cherche à ramener les conducteurs vers la conduite simple et à leur rappeler l’importance d’être concentrés au volant. Conduire est un privilège et ne constitue pas un geste « banal », comme une grande partie de la population le considère… menant souvent à de nombreux accidents qui auraient pu être évités.

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L’huile d’olive améliorerait les chances de survivre à un cancer de la prostate

Les huiles végétales obtiennent encore une belle presse ces temps-ci, alors que leurs bienfaits semblent s’empiler et se confirmer à un rythme effarant.

Il semble difficile de ne pas faire le choix des huiles végétales, donc, et notamment de l’huile d’olive. Cette dernière, rapporte Santé Log, est d’ailleurs vantée dans une nouvelle étude qui parle d’amélioration des chances de survie à un cancer de la prostate chez les patients qui en consomment.

On vante également les huiles extraites de noix, mais l’huile d’olive semble avoir un effet particulièrement efficace contre le cancer de la prostate. Un effet qui contribue à de meilleures chances de guérison, mais aussi à faire baisser les risques de développer la maladie, croient les chercheurs de l’Université de San Francisco qui publient cette plus récente recherche sur le sujet.

On risque d’entendre parler des bienfaits de ces huiles encore longtemps, car on commence à peine à sensibiliser la population à leurs bienfaits, spécialement en cuisson des aliments. 

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Un don de sang peut aussi améliorer votre propre santé

Les personnes qui donnent du sang par pure générosité et souci d’autrui pourraient bien recevoir une récompense autre que celle de la simple satisfaction.

En effet, selon une étude rapportée pas plusieurs sources, dont Top Santé, les donneurs de sang pourraient bénéficier de plusieurs avantages sur la santé jusqu’ici méconnus.

Publiées dans le Journal of the American Medical Association, les conclusions font état d’un risque d’infarctus à la baisse et même d’un risque moins élevé de cancer.

On explique la chute des risques de crise cardiaque par le fait que donner du sang permet d’abaisser le taux de fer sanguin, responsable en partie de l’épaississement du sang et, par conséquent, des risques accrus de crise cardiaque.

L’étude finlandaise se base sur des résultats obtenus auprès de près de 3000 hommes de plus de 40 ans, dont certains donnaient du sang tous les six mois. Ces derniers auraient vu leurs chances de développer un infarctus baisser de près de 90 %!

Même son de cloche en ce qui concerne les donneurs et les risques de cancer, qui chuteraient de beaucoup, mais on stipule que ces variations de risques ne s’appliquent qu’aux donneurs réguliers (exemple : deux fois par an).

Une autre belle raison de faire le don de vie… et de peut-être sauver la sienne du même coup.