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La longévité des parents pourrait diminuer le risque de cancer des enfants

Si vos parents mènent ou ont mené une vie sous le signe de la longévité, il est possible que cela se traduise par une baisse des risques de cancer dans votre cas.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte ces conclusions, initialement proposées par des chercheurs de l’Université d’Exeter.

En somme, on note une baisse des risques de cancer substantielle chez les gens dont les parents atteignent au minimum le plateau des 65 ans. Chaque tranche d’âge atteinte par les parents signifierait des chances de moins pour leur progéniture de développer un cancer, et ce, jusqu’à 25 %.

Les taux de mortalité dus au cancer chutent même de 40 % lorsque les parents d’un individu atteignent 85 ans!

Encore une belle preuve de l’impact de la génétique sur la santé d’un individu et les problèmes auxquels il risque de faire face au cours de sa vie.

Ces conclusions ont été proposées à la suite de recherches effectuées sur plus de 10 000 Américains, sur une période de 18 ans. 

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Les enfants dont les parents sont mariés ont moins de risque d’être obèses

Une étude américaine montre que les enfants qui vivent chez leurs parents mariés courent moins de risques de devenir obèses que les enfants vivant avec un parent ou avec des beaux-parents.

Les résultats sont issus d’une étude menée à la Rice University à Houston au Texas, qui examine l’influence potentielle de la structure familiale sur le poids d’un enfant.

Les chercheurs ont remarqué que sur les 10 400 enfants de maternelle observés, ceux vivants avec leurs deux parents mariés avaient un taux d’obésité de 17 %.

Or, ce taux atteint les 31 % pour les enfants vivant chez leurs parents qui ne sont pas mariés, 29 % pour ceux vivant chez un autre membre de leur famille, et 23 % chez les enfants qui vivent seulement avec leur mère ou dans une famille recomposée dont les parents ne sont pas mariés.

« Pour des raisons qui sont encore inconnues, il semble y avoir une différence entre les gens qui se marient et ont un enfant, et les autres groupes, des facteurs qui sont liés au poids de l’enfant », explique Rachel Kimbro, coauteure de l’étude.

Ces résultats ont été publiés récemment dans le Jounal of Applied Research on Children

Une chose intéressante : l’exception dans ces résultats est que les enfants vivant seulement avec leur père ou dans des familles recomposées où les parents sont mariés présentent le taux d’obésité le plus bas avec 15 %.

Les auteurs de l’étude expliquent cela grâce à de précédentes recherches révélant qu’un père seul a tendance à avoir des ressources socio-économiques plus élevées qu’une mère seule. Le statut socio-économique étant « le plus grand des prédicateurs de santé », les enfants dans ces situations seraient moins victimes d’obésité. 

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Une super-étude vilipende les oeufs

Il y a de ces aliments qui semblent ne jamais cesser d’attiser la polémique. Les œufs font manifestement partie de cette catégorie, les spécialistes et nutritionnistes de ce monde y allant constamment d’opinions divergentes sur le sujet.

Cette fois, c’est une super-étude publiée dans le magazine Atherosclerosis, et rapportée par Nutrition News, qui risque de faire jaser. La recherche étoffée, qui compilait les données de plusieurs autres études précédentes sur le sujet, accuse les œufs de faire grimper les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires.

Ceux qui mangent le plus d’œufs hebdomadairement verraient leurs risques de développer ce genre de problème de santé bondir de plus de 60 %!

Pire encore, les gens déjà aux prises avec des problèmes liés au diabète auraient, quant à eux, 83 % plus de chances de développer un problème cardiaque dans l’avenir.

D’autres études ont cependant vanté plusieurs propriétés des œufs dans le passé, ce qui témoigne de l’absence de consensus en la matière.

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Don de sang : Victoire partielle pour les homosexuels

Les hommes homosexuels qui désiraient obtenir le droit de donner du sang au Canada viennent d’avoir gain de cause, rapporte Radio-Canada

La levée de l’interdiction arrive cependant avec une série de restrictions, s’appliquant non seulement aux gais, mais aussi à tout homme ayant vécu une relation sexuelle avec une personne du même sexe dans le passé.

Santé Canada valide donc la requête, mais requiert un passé sexuel vierge d’une durée de cinq ans avant d’obtenir le privilège de donner du sang, une mesure encore stricte si on la compare à certains autres pays du monde.

Il faut dire cependant que certains scandales et erreurs dans le dossier du sang au Canada et au Québec sont encore bien vifs dans la mémoire des citoyens, ce qui explique probablement la ligne dure employée par les dirigeants canadiens.

« Compte tenu de l’historique du système d’approvisionnement en sang au Canada, nous le considérons comme une première étape prudente », lance Dana Devine, V.-P. des affaires médicales et scientifiques de la Société canadienne du sang.

Le Dr Marc Germain, d’Héma-Québec, croit quant à lui qu’« un tel changement est scientifiquement justifié et ne mettra aucunement en péril le très haut niveau de sécurité des produits sanguins ».

Depuis le scandale du sang contaminé au Canada, on estime maintenant à une chance sur 30 millions les risques de contamination (SIDA) par transfusion sanguine.

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Les problèmes psychologiques liés au travail sont encore sous-estimés

Quiconque aura travaillé dans un bureau ou dans un emploi dit « traditionnel » saura de quoi traite ce nouveau rapport, paru en France, qui s’applique à presque toutes les régions du monde.

Selon les informations rapportées par Top Santé, un rapport déposé le 14 mai dernier fait étant d’une situation alarmante en matière de stress au travail et des troubles psychologiques qui en découlent.

Le véritable problème, et tout le monde sera d’accord avec cette affirmation, se situe surtout dans l’attitude des dirigeants et des employés des firmes et bureaux de ce monde, qui sous-estiment souvent et grandement les impacts psychologiques liés au travail.

Performance, argent, trimestre, date de tombée, bref, une panoplie de facteurs et de mots-clés font passer l’institution avant l’humain. Une façon de faire décriée dans ce rapport proposé par le Conseil économique et social français.

« L’impact des troubles psychosociaux sur notre compétitivité économique est encore largement sous-estimé. L’absentéisme, le renouvellement de personnel, les formes les plus diverses de désengagement ont pourtant un coût élevé pour les entreprises. Nous formulons donc le vœu que cet avis permette aux acteurs économiques et sociaux de mieux appréhender et prévenir les risques psychosociaux, en s’inscrivant dans une démarche de progrès et en remettant en question le sens même du travail dans notre société », résume Sylvie Brunet, qui s’occupe du dépôt du rapport.

Heureusement, quelques entrepreneurs visionnaires savent maintenant donner plus de liberté et faire confiance à leurs employés, mais il s’agit d’un phénomène encore trop rare.

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Les lampes DEL reçoivent encore un blâme

Quelle polémique que celle entourant ces fameuses lampes DEL (diode électroluminescente) depuis leur apparition massive sur le marché!

C’est que malgré la puissance et l’efficacité de cette technologie lumineuse, plusieurs rapports et études rapportent des risques inhérents à ces lumières, notamment en ce qui a trait à la sécurité des yeux.

Selon Top Santé, ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la rétine, qui serait susceptible de subir des traumatismes et des dommages permanents à la suite d’une exposition à la lumière DEL.

On explique le phénomène par le fait que la réduction d’énergie nécessaire à la performance accrue de cette nouvelle technologie nécessite l’utilisation d’une lumière bleue trop intense pour l’œil humain.

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) parlait même déjà d’un « stress toxique pour la rétine » en 2010.

Ceci n’a pas empêché les lumières DEL de prendre le monde entier d’assaut, étant même installées sur les automobiles désormais.

Plusieurs technologies courantes utilisées par l’homme sont maintenant éclairées avec des lampes DEL, ce qui inquiète la Dre Celia Sanchez-Ramos : « Ce problème n’est pas à prendre à la légère, car nous passons de plus en plus de temps face à des écrans rétroéclairés, et les enfants commencent même à utiliser ces appareils électroniques dès leur plus jeune âge ».

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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.

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Réduire les risques de cancer du côlon liés au… barbecue

Vous avez bien lu, il semble que des risques de développer un cancer du côlon soient accrus lorsqu’on cuisine sur le barbecue, une activité bien populaire au Québec à l’arrivée de la saison estivale.

Heureusement, il existe des trucs pour réduire au maximum ces risques, comme le rapporte The National Library of Medicine.

D’abord, un grand pourcentage de ces risques est associé à l’utilisation de viandes rouges et transformées, souvent utilisées sur le grill en été.

Le choix de la viande est donc aussi important que la façon de la faire cuire, croient les spécialistes de l’American Institute for Cancer Research.

Il faudrait donc réduire ses apports en viandes rouges et transformées au profit des poissons et des volailles, qui peuvent devenir absolument succulentes avec l’ajout d’épices et de sauces typiquement estivales.

On conseille également de faire mariner sa viande préalablement durant environ 30 minutes, avant de l’apposer sur le grill. Il serait important de réduire le plus possible le temps passé à cuire la viande sur le barbecue, la durée de cuisson s’avérant un autre facteur de risque.

Pour terminer, servez les viandes et grillades avec des accompagnements abondants de légumes, et ne lésinez pas sur les fruits tout l’été pour contrecarrer les effets de vos écarts de conduite alimentaires estivaux!

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Manger des poivrons réduirait les risques de Parkinson

Manger des poivrons n’est pas un réflexe qu’adopte une majorité de citoyens, avouons-le, mais cette nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine pourrait bien vous convaincre de développer cette habitude.

On rapporte dans ces recherches, publiées par une équipe de chercheurs basés à Seattle, que les poivrons peuvent faire baisser les risques de développer la maladie de Parkinson, notamment grâce… à la nicotine.

Oui, la nicotine, celle que l’on combat si âprement dans cette ère moderne, pourrait bien s’avérer utile pour une fois dans sa vie. Toutes blagues à part, on parle bien évidemment de la nicotine « alimentaire », et l’étude rapportée ici ne constitue certainement pas une raison pour recommencer à fumer!

Mieux vaut donc trouver sa nicotine dans des légumes frais, comme les poivrons et les tomates, suggèrent les experts.

« Notre étude est la première à se pencher sur la nicotine alimentaire et les risques de développement de la maladie de Parkinson. Similairement à plusieurs études qui indiquent que l’usage du tabac réduit les risques de Parkinson, nos découvertes suggèrent également un effet protecteur provenant de la nicotine, mais sans les produits chimiques toxiques, grâce aux poivrons et à la tomate », explique la Dre Susan Searles de l’Université de Washington à Seattle.