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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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La première cigarette de la journée pourrait bien être la plus dangereuse

Chers fumeurs, quand dégustez-vous votre premier bâtonnet de nicotine de la journée? Sachez que si vous le consommez trop tôt, ceci pourrait avoir une incidence marquée sur les risques de développer un cancer.

Selon des recherches rapportées par Top Santé, le moment de la première cigarette serait un facteur important en matière de cancer. Ainsi, les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet estiment qu’un fumeur qui allume sa première cigarette de la journée dans les 30 minutes suivant le réveil augmenterait ses chances de développer un cancer de… 31 %!

On conseille d’attendre au moins 60 minutes, car les statistiques baissent drastiquement une fois ce laps de temps écoulé.

D’autres résultats font état d’un risque accru qui frôle les 80 % pour ceux qui en « grillent une » dès le saut du lit.

Les chercheurs sont eux-mêmes surpris de ces résultats, car ils ont bien du mal à en expliquer les raisons.

Quoi qu’il en soit, ils sont convaincus que si vous ne pouvez arrêter de fumer dans l’immédiat, il est au moins préférable de faire preuve de patience au réveil!

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Des millions de personnes à risque de développer du diabète ignorent leur condition

Les statistiques concernant le diabète sont déjà assez alarmantes, mais ce plus récent rapport ajoute à l’inquiétude.

Selon ces conclusions rapportées par The National Library of Medicine, des millions de personnes à risque ou sur le point de développer du diabète ne seraient absolument pas au courant.

Aux États-Unis notamment, 11 % des 79 millions d’Américains avec des conditions prédiabétiques connaissent leur état de santé. 11 %, c’est bien peu… et 79 millions, c’est énorme! De quoi placer les spécialistes sur le pied de guerre.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les CDC américains lancent ce rapport et veulent sensibiliser la population.

« Nous avons un grand problème avec ce petit nombre de gens conscients qu’ils sont prédiabétiques. C’est un peu mieux que la dernière fois que nous avions analysé le dossier, mais c’est encore beaucoup trop bas », déclare avec déception l’auteure de l’étude, Ann Albright.

Caractérisée par des taux anormaux de sucre dans le sang, la condition du prédiabète peut être stoppée dans sa progression lorsque le patient en est conscient. Il peut ainsi procéder à des changements de vie et alimentaires afin d’éviter, ou retarder, l’arrivée d’un diabète de type II, par exemple.

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L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

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Des chercheurs tracent un lien évident entre le sucre et le cancer

Nutrition News rapporte que des chercheurs espagnols ont finalement déterminé avec plus de précision les liens entre le cancer, ainsi que d’autres problèmes de santé, et une consommation élevée de sucre.

Il semble que ce soit véritablement la dose consommée qui soit en cause, notamment dans le développement du cancer et du diabète.

Peu dangereux à petites doses donc, même qu’on confirme l’utilité du sucre pour l’organisme, c’est lorsqu’on abuse de la substance que les problèmes peuvent poindre à l’horizon.

« Nous avons été surpris de constater que les changements du métabolisme causés par le sucre avaient un impact sur les risques de cancer. Nous enquêtons maintenant sur les autres composantes du régime alimentaire qui peuvent influencer les risques de cancer », explique la Dre Custodia Garcia-Jimenez.

Les chercheurs de l’Université Rey Juan Carlos rappellent que l’on ignorait jusqu’à quel point les taux de sucre, ainsi que l’obésité due au sucre, pouvaient augmenter les risques de cancer.

On croit qu’un cancer sur trois pourrait être prévenu grâce à une amélioration du régime alimentaire et à l’activité physique.

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Les viandes transformées peuvent mener à la tombe de façon prématurée

Manger un bon hot-dog est toujours agréable, mais ce délicieux repas pourrait bien vous mener à votre tombe beaucoup plus tôt que prévu, rapporte The National Library of Medicine.

Bien entendu, vous aurez compris qu’une seule saucisse ne vous tuera pas sur-le-champ, mais la consommation excessive des viandes transformées et/ou séparées mécaniquement enlèverait bel et bien des années à l’espérance de vie.

L’étude proposée par l’Université de Zurich est exhaustive, compilant les données recueillies auprès de 450 000 personnes, rien de moins. Les conclusions rapportées sont terrifiantes : 40 % plus de risques de mourir jeune chez les gens qui consomment fréquemment ces viandes (comme les saucisses, entre autres).

« Notre recommandation est de limiter sa consommation de viandes transformées à moins d’une once par jour. Nous connaissons certains mécanismes potentiels qui contribuent probablement au phénomène », lance Sabine Rohrmann de l’Université de Zurich.

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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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Prendre son coeur en main

La Presse publie des statistiques inquiétantes en matière de santé cardiaque au Canada, mais ajoute qu’il est possible de renverser la situation.

Selon les chiffres proposés par Statistique Canada, les maladies cardiovasculaires talonnent de près le cancer, qui demeure en première place dans le classement des causes de mortalité au pays.

Les Canadiens sont eux-mêmes responsables, selon ce que l’on comprend des données avancées, puisque ces statistiques sont directement liées au style de vie de citoyens canadiens.

Ces derniers ont donc l’occasion de corriger le tir et de faire baisser significativement les risques de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire une crise cardiaque, en devenant plus responsables envers leurs corps et leur santé.

Malgré toutes les campagnes et les informations sur le sujet, les spécialistes se désolent que les Canadiens ne prennent pas au sérieux les recommandations. Ceux-ci rappellent du même coup que les femmes sont aussi à risque que les hommes.

Au Canada, neuf personnes sur dix présenteraient des comportements qualifiés de facteurs de risque en ce qui concerne les troubles cardiovasculaires. Une situation qu’il faudra rapidement corriger.