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Les fans de téléréalité seraient plus enclins à se faire bronzer

Une étude rigolote propose la théorie suivante : les amateurs de téléréalité se feraient bronzer plus que les autres.

C’est ce qui ressort de la recherche effectuée par des chercheurs américains, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui souligne le fait que ces émissions ne sont pas toujours de bons exemples en matière de santé.

Ce serait particulièrement le cas en ce qui a trait au bronzage, croient les chercheurs, parce que les protagonistes envoient souvent une image très « soleil », avec des bronzages éclatants et irréalistes.

« Les émissions de télévision ne réalisent pas qu’elles envoient le mauvais message et font de la mauvaise promotion en mettant en vedette toutes ces personnes attirantes et bien bronzées », croit Joshua Fogel, du programme City University de New York.

Il pense également que les médecins devraient interroger leurs jeunes patients concernant leurs habitudes de bronzage, particulièrement ceux qui sont avides de ce genre d’émissions de télé.

Un sondage parallèle à l’étude dévoile que 61 % des étudiants questionnés avouent aimer les émissions de téléréalité et de beauté, et presque la moitié de ce nombre affirme posséder ou utiliser une lampe de bronzage hebdomadairement.

Les risques associés au bronzage sont de plus en plus reconnus et décriés par les spécialistes.

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Les enfants savent prendre des décisions qui maximisent leur profit

Le journal scientifique PLoS ONE publie les résultats d’une étude ayant porté sur des enfants âgés de 3 à 9 ans, auxquels on présentait un biscuit. Les enfants se faisaient ensuite offrir de garder leur biscuit ou de l’échanger contre une tasse d’un lot de six identiques qui contenaient d’autres biscuits.

Pour rendre la décision moins évidente, la taille du biscuit pouvait être différente au sein des tasses : plus petite que le biscuit déjà remis aux enfants, de taille égale ou plus grande, avec différentes combinaisons. Avant de prendre leur décision, les chercheurs disaient aux enfants combien de tasses contenaient des « combinaisons gagnantes ».

Les plus jeunes enfants, de 3 et 4 ans, n’arrivaient pas vraiment à bien comprendre que leur profit potentiel pourrait être plus grand que leur profit existant.

À partir de 5 ans toutefois, les enfants assimilaient plus le concept des chances de gagner et prenaient des décisions qui étaient affectées par la possibilité de perdre. Ils tenaient même compte des précédents « gains » et « pertes ».

Les plus vieux du groupe présentaient une aversion à la perte semblable à celle des adultes.

L’auteure de l’étude, Valérie Dufour, a noté que les résultats suggéraient que notre processus de prise de décisions commence très tôt dans la vie, à partir de 5 ans, selon Science Daily.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.

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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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Les grains entiers réduisent les risques de prédiabète

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui donne de bonnes notes aux grains entiers en matière de prévention du diabète. Plus précisément, on parle ici de prédiabète, une condition qui se caractérise par une hausse massive des taux de sucre dans le sang et qui précède souvent le diabète.

Les chercheurs suédois en tête de ces recherches ont fait la preuve de cette affirmation en analysant les résultats obtenus sur deux groupes de personnes. Le premier groupe a reçu des doses importantes de grains entiers (50 grammes et plus) durant la période d’essai, et le deuxième groupe en recevait moins de 30 grammes par jour.

Au final, les chercheurs sont convaincus : ajouter des grains entiers à son alimentation peut réduire les risques de prédiabète jusqu’à 27 %.

« Ceci est d’une grande importance, parce que les statistiques concernant le prédiabète sont en hausse. Près d’un quart des gens aux prises avec une condition de prédiabète développeront le diabète dans leur vie », explique Tina Wirström, de l’Hôpital Universitaire Karolinska.

Il appert également que ce « régime de grains entiers » fonctionne mieux chez l’homme que chez la femme, en vertu des résultats obtenus.

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Rapport alarmant concernant la salmonelle et les animaux d’élevage

Radio-Canada rapporte que des inspecteurs alimentaires canadiens s’inquiètent de la présence de la salmonelle dans les aliments servis aux animaux d’élevage au pays.

Malgré une politique qui ne tolère aucun pourcentage d’erreur en la matière, il est surprenant d’apprendre que 13 % de la nourriture d’animaux en élevage pourrait présenter des traces de salmonelle.

Évidemment, les spécialistes s’interrogent et s’inquiètent des risques de contamination chez l’humain.

L’histoire débute à Winnipeg, alors qu’une équipe de Radio-Canada est allée inspecter elle-même des sacs d’aliments pour animaux d’élevage. Ils ont ensuite laissé les sacs aux fins d’analyses au professeur Rick Holley, de l’Université du Manitoba.

Le professeur conclut que deux sacs (17 % du total) étaient bien contaminés par la salmonelle. Il rappelle que ce constat est alarmant, puisque la nourriture contaminée est d’abord ingérée par les animaux, puis éliminée dans ce qui deviendra plus tard de l’engrais pour les terres agricoles. Celles-ci produiront à leur tour des aliments consommés par la population.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) soutient ces conclusions et croit que des mesures doivent être mises en place immédiatement.

Il faut cependant rappeler que l’Agence a fait un excellent travail jusqu’à présent concernant la salmonelle et la sécurité civile.

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Certaines compagnies offrant la chirurgie au laser contre la myopie sont blâmées

La FDA américaine (Food and Drug Administration) vient d’émettre des blâmes à l’endroit de certaines compagnies qui proposent le service de chirurgie corrective des yeux par le laser, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est que selon l’association américaine, plusieurs marchands ne dévoilent pas tous les détails concernant cette opération, à commencer par certains facteurs de risque.

Au box des accusés notamment, certains praticiens offrant le service LASIK, qui gagne de plus en plus en popularité en Amérique du Nord.

« Les publicités proposées par beaucoup de professionnels qui pratiquent la chirurgie corrective des yeux par le laser donnent l’information nécessaire aux patients afin qu’ils fassent un choix éclairé. Par contre, ceux qui ne respectent pas les règles et qui ne présentent pas les risques tels qu’ils sont vont découvrir aujourd’hui que la FDA est très sérieuse à leur endroit et concernant la protection du consommateur », lance Steve Silverman, l’un des directeurs de la FDA.

Les compagnies et centres de santé ou d’ophtalmologie qui ne respectent pas les règles seront soumis à de sérieuses amendes et pourraient même voir leur matériel être saisi.

Des lettres ont déjà été envoyées à certains commerces fautifs.

 
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La malbouffe et les grignotines augmenteraient les risques de cancer du côlon

Ne jetez pas vos sacs de croustilles à la poubelle tout de suite, car ce qui suit concerne en premier lieu les gens qui sont déjà à risque de développer un cancer du côlon dans leur vie.

Les résultats de l’étude qui suit peuvent également s’appliquer à tout le monde et envoient un autre signal d’alarme concernant la malbouffe et les collations composées de grignotines mauvaises pour la santé.

C’est que selon l’étude rapportée par www.nlm.nih.gov, des chercheurs des Pays-Bas ont réussi à déceler un risque accru de cancer du côlon chez les gens qui ont déjà des prédispositions envers cette maladie, génétiquement ou via un syndrome comme celui de Lynch, par exemple.

On explique qu’en suivant 486 patients prédisposés à ce type de cancer, les chercheurs concluent que les risques de développer cette maladie en ne mangeant pas sainement et en consommant des collations malsaines augmentent drastiquement… parfois même jusqu’à 50 %.

« Nous avons remarqué chez les patients atteints du syndrome de Lynch qui avaient de mauvaises habitudes alimentaires (croustilles, aliments frits, etc.) un risque accru de 50 % de développer un cancer du côlon que chez ceux qui s’alimentaient bien », confirme Akke Botma, de l’Université Wageningen.

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Les carottes en vedette pour la prévention du cancer du sein

Topsante.com rapporte une étude américaine qui met l’accent sur les carottes pour prévenir le cancer du sein.

Les propriétés anti-cancer des légumes, notamment en matière de cancer colorectal, sont bien connues. Mais plus encore, il appert que les légumes à forte teneur en caroténoïdes seraient encore plus efficaces. Et où retrouve-t-on de fortes doses de caroténoïdes? Oui, dans les carottes.

Les chercheurs américains en tête de l’étude ont démontré clairement les effets d’une diète forte en caroténoïdes, en analysant les dossiers de plusieurs milliers de patientes, dont presque la moitié étaient atteintes d’un cancer du sein.

Les patientes qui avaient un taux de caroténoïdes plus élevé dans le sang ont vu les risques de développer un cancer du sein diminuer radicalement, et encore plus chez les non-fumeuses.

Les résultats de cette étude, menée par des chercheurs de l’Université Harvard, ont été publiés récemment dans le Journal of the National Cancer Institute.

Les caroténoïdes ne se retrouvent pas que dans les carottes! On note que pour retrouver ces nutriments en forte dose, il faut miser sur les fruits et légumes colorés, ou foncés si vous préférez.