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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

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Un gène pourrait être lié à la dépendance à l’alcool et au binge drinking

Santelog.com nous apprend que des chercheurs croient pouvoir affirmer qu’ils ont trouvé un gène qui serait à l’origine de certains comportements en lien avec l’alcool, dont le binge drinking.

Le binge drinking est un phénomène récent qui s’avère terriblement dangereux. Il se décrit comme le comportement d’une personne qui boit énormément d’alcool par séquences, s’arrête, puis recommence.

Le concept avait été mis à l’avant-plan de l’actualité à la suite de la mort de la chanteuse Amy Winehouse, qui était familière avec ce comportement.

Des chercheurs du King’s College de Londres ont publié une étude dans les Actes de l’Académie américaine des Sciences (PNAS) pour signifier l’importance du gène RASGRF2 dans la susceptibilité d’une personne de développer un problème d’alcool grave.

Toutefois, on rappelle que même si une personne est génétiquement plus sujette à ce type de dépendance, le gène n’explique et n’excuse pas tout le processus qui mène au passage à cet acte d’autodestruction.

On confirme simplement que le binge drinking peut avoir un effet plus intense chez certaines personnes que d’autres, en vertu de leurs gènes. Cela place certains individus devant une prédisposition à l’alcoolisme plus importante que chez les autres.

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Une boisson gazeuse par jour pourrait mener au cancer de la prostate

Si une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, il semble que ce soit tout le contraire en ce qui concerne les boissons gazeuses.

En effet, radio-canada.com rapporte une étude qui prétend qu’une boisson gazeuse par jour pourrait suffire à mener au cancer de la prostate.

L’étude suédoise, très sérieuse, a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et relate les observations effectuées par les chercheurs de l’Université Lund, Isabel Drake en tête.

Cette dernière parle même d’un risque de cancer de la prostate accru de 40 % chez les hommes qui consomment fréquemment des boissons de ce genre. Ce sont les conclusions qu’elle tire à la suite de tests effectués sur 8000 hommes âgés de 45 à 73 ans, évalués sur une période de 15 ans.

Aussi au banc des accusés : les régimes alimentaires de riz et de pâtes ainsi que les déjeuners forts en sucres et sucres ajoutés.

Difficile, d’ailleurs, de ne pas tracer un lien entre cette étude et celle parue récemment qui taxait le sucre d’être « toxique » pour l’organisme. Il semble que ce soit l’ennemi à abattre et, dans ce cas-ci, les boissons gazeuses.

Pour corroborer le tout, des études en Asie démontrent que les Asiatiques qui résident aux États-Unis (plus grand consommateur de boissons gazeuses dans le monde) développent plus de cancers de la prostate que leurs compatriotes demeurés en Asie.

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Le pamplemousse et les médicaments : un danger réel

Ce qui semble au départ être une blague étrange devient vite inquiétant, alors que les sources qui confirment la dangerosité du pamplemousse, lorsque combiné à certains médicaments, se multiplient.

Au tour du Devoir de rapporter la nouvelle, parlant même de « cocktail explosif ».

Étrange tout de même de devoir considérer le pamplemousse comme un ennemi, mais le Dr David Bailey (Lawson Health Research Institute, Ontario) et ses collègues croient que le public n’est pas assez informé sur le sujet et qu’il doit l’être.

Ils ont d’ailleurs publié un article dans le Journal de l’Association médicale canadienne afin de sensibiliser tout le monde, y compris les spécialistes de la santé et les praticiens.

Le Dr Bailey explique que bon nombre de médicaments qui sont prescrits couramment et qui sont absolument nécessaires dans le traitement de maladies communes ou graves pourraient mettre les patients en danger lorsque combinés avec des agrumes, surtout le pamplemousse.

On parle de pas moins de 85 médicaments répertoriés qui réagiraient en présence de l’agrume. Du nombre, 43 pourraient avoir des conséquences aussi graves que le décès.

« Je ne crois pas que cette interaction soit connue aussi bien qu’elle le devrait, d’autant plus qu’il y a tellement de nouveaux médicaments qui apparaissent sur le marché et qui ont le potentiel d’engendrer des effets graves », conclut le Dr Bailey.

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Diminuer le nombre de cigarettes fumées par jour aurait bel et bien un impact

En cette ère moderne où le tabagisme est l’ennemi numéro un à abattre, on prône constamment l’importance d’arrêter de fumer. Il n’y a plus de demi-mesure dans les campagnes de publicité ou de sensibilisation : soit vous fumez, soit vous arrêtez.

Mais qu’en est-il de ralentir le rythme? Baisser le nombre de cigarettes consommées par jour ne peut-il pas déjà être un bon début? Si la communauté scientifique est réticente à cautionner ce genre de raisonnement, une nouvelle étude viendrait corroborer la théorie.

Santelog.com rapporte en effet que selon une étude israélienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology, réduire le nombre de cigarettes permet d’augmenter son espérance de vie ainsi que de faire baisser significativement les risques d’accident cardiovasculaire (15 % moins de risque de décès).

Les spécialistes en tête de l’étude, ainsi que plusieurs autres praticiens à travers le monde, s’entendent pour dire que plusieurs patients ne semblent pas être capables d’arrêter de fumer complètement.

Lorsque la dépendance est trop forte ou que l’habitude est ancrée depuis trop longtemps dans les habitudes d’une personne, se concentrer sur le ralentissement (en nombre) de la consommation pourrait bien être mieux que rien.

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Un probiotique pour contrer le mauvais cholestérol

La prise quotidienne, à deux reprises, d’un probiotique ferait dramatiquement baisser le taux de LDL (mauvais cholestérol) dans le sang.

C’est ce qu’annonce l’American Heart Association, par l’entremise du site www.newsroom.heart.org. La technique permet de réduire le nombre de molécules responsables de plaques obstruant les artères, réduisant ainsi considérablement les risques d’un ACV.

Le probiotique en question est un micro-organisme réagissant lorsque retrouvé dans l’estomac, et il est tout à fait naturel. On retrouve des probiotiques, par exemple, dans le yogourt et certains produits laitiers.

Présentée lors de l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2012, l’étude dont il est question confirme que ce probiotique permet non seulement d’abaisser le taux de LDL, mais aussi le total du cholestérol néfaste pour l’organisme. Il a été élaboré à la suite du traitement de 127 patients adultes aux prises avec des problèmes de cholestérol.

L’auteur en chef de l’étude créée à Montréal, le Dr Mitchell L. Jones de l’Université McGill, raconte : « Ce genre de traitements attire l’attention de la communauté médicale et scientifique de plus en plus, alors qu’on découvre comment l’augmentation de la bactérie de l’estomac avec probiotique peut jouer un rôle pour contrer certaines maladies chroniques et cardiaques ».

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Plus de risques de mélanome pour les roux

Pas de répit pour les gens qui ont les cheveux roux, alors qu’une nouvelle étude suggère (et confirme) que les roux et les gens qui ont la peau claire ont effectivement plus de chances de développer un cancer de la peau ou un mélanome.

Même chose s’ils se protègent du soleil, indique l’étude américaine rapportée par topsante.com. En effet, les risques demeurent plus élevés chez ce type de personne que chez les autres, même sans exposition au soleil.

C’est une divergence du fonctionnement des cellules de la peau qui crée ce facteur de risques plus élevé. Une concentration plus massive de phéomélanines (pigmentation) est à l’origine de la fragilité de la peau, de son incapacité à bronzer et des risques de cancer.

Ceci n’est cependant pas une raison pour arrêter de se protéger des rayons UV et de ne plus appliquer de crème solaire, préviennent les chercheurs de Yale à l’origine de l’étude.

Ces derniers ont testé leur théorie sur des souris rousses, noires et albinos. Elle a été confirmée, mais les chercheurs veulent nuancer en expliquant que la causalité chez l’humain demeure à confirmer hors de tout doute raisonnable.

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.