Catégories
Uncategorized

Les tumeurs cérébrales préfèrent les hommes

Une protéine retrouvée chez la gent féminine constituerait l’explication des scientifiques. Plusieurs conditions médicales ont leur préférence quant au sexe du sujet qu’elles attaquent. Les tumeurs ne font pas exception, rapporte Science World Report.

Puisque les tumeurs au cerveau représentent la seconde principale cause de décès reliés au cancer chez les moins de 20 ans et les hommes de 20 à 39 ans, ces informations sont cruciales.

Une étude récente menée par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington à St. Louis a mis en lumière la raison pour laquelle certaines tumeurs cérébrales sont deux fois plus fréquentes chez les hommes.

La protéine du rétinoblastome (RB), une protéine qui aide à réduire les risques de cancer, est beaucoup plus active dans les neurones cérébraux de la femme.

« C’est la première fois que quiconque relate une différence reliée au sexe en ce qui a trait au risque de tumeur », a commenté Dr Joshua Rubin, responsable de la recherche.

Selon lui, cette avancée permettra désormais de s’attarder à l’efficacité des traitements selon le sexe du patient, mais pas uniquement en ce qui a trait aux tumeurs cérébrales. Il faudra élargir le champ de recherche aux autres cancers.

Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Journal of Clinical Investigation.

Catégories
Uncategorized

La mauvaise humeur augmente les risques d’AVC

Selon des chercheurs de l’Université du Minnesota, les gens stressés, agressifs ou déprimés courent autant de risques que les personnes qui fument, souffrent d’un taux élevé de cholestérol ou de tension artérielle de développer des accidents vasculaires cérébraux et des accidents ischémiques transitoires (AIT) (ou blocage temporaire du flux sanguin vers le cerveau) indique Santé Log.

Selon Susan Everson-Rose, professeure agrégée de médecine à l’Université du Minnesota et auteure principale, la population devrait – pour diminuer les risques – apprendre à s’adapter positivement à certaines situations, notamment le stress lié aux problèmes de santé personnels, aux problèmes de santé des proches, au travail, aux relations et à l’argent.

Publiés dans la revue Stroke de l’American Heart Association, les résultats de l’analyse effectuée auprès de 6700 candidats âgés de 45 à 84 ans pendant une période de 8 à 11 ans démontrent que des symptômes dépressifs élevés peuvent augmenter de 86 % les risques d’AVC ou d’AIT.

Quant au stress chronique, les chances passent à 59 % d’AVC ou d’AIT. Ces dernières seraient multipliées par deux lorsqu’il y a signes d’agressivité ou d’hostilité élevés.

Catégories
Uncategorized

La vasectomie liée à un risque plus élevé du cancer de la prostate

Avant de paniquer, dites-vous que plusieurs urologues qui n’ont pas participé à l’étude affirment que plus de recherches seront nécessaires pour déterminer si les résultats de cette étude représentent la réalité.

Quand même, la recherche a nécessité 24 ans de suivi auprès de plus de 49 400 hommes américains, et ce, depuis 1986. Pendant cette période, 6023 cas de cancer de la prostate ont été diagnostiqués, dont 811 ont été fatals.

Sur le total, 25 % des hommes avaient subi une vasectomie. Ceux-ci avaient un risque supérieur de 10 % de développer ce type de cancer, selon les résultats publiés dans le Journal of Clinical Oncology.

Cependant, cette augmentation n’était en rien reliée à un cancer léger. Les hommes vasectomisés étaient plutôt 56 % plus à risque d’un cancer de la prostate très agressif et mortel. Ce lien était encore plus fort chez les hommes ayant subi la vasectomie à un jeune âge.

Cependant, le risque absolu était minime, rapportent les scientifiques, soit 16 cancers mortels pour 1000 hommes.

Catégories
Uncategorized

Risque d’arrêt cardiaque pour les hommes qui mangent de la viande rouge transformée

Medical News Today rappelle que les viandes rouges transformées sont celles préservées à l’aide de la salaison, le séchage ou le fumage et l’ajout d’agents de conservation. Parmi celles-ci, on retrouve les viandes froides comme le salami et le jambon, le bacon et les saucisses à hot-dog.

« Les viandes rouges transformées contiennent habituellement du sodium, des nitrates, des phosphates et d’autres additifs », explique Alicja Wolk, professeure à la division d’épidémiologie nutritionnelle de l’Institut de médecine environnementale de Stockholm, en Suède.

Plus de 37 000 Suédois âgés de 45 à 79 ans ont été suivis de 1998 à 2010, ou avant s’ils recevaient un diagnostic d’insuffisance cardiaque ou décédaient. Les participants avaient tous rempli un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires et autres habitudes de vie.

Les hommes qui consommaient le plus de viandes rouges transformées avaient deux fois plus de risques de mourir d’une insuffisance cardiaque, et 28 % plus de risque de souffrir d’un arrêt cardiaque.

Pour chaque tranche additionnelle de 50 g (1 à 2 tranches de jambon) quotidiennement, le risque d’arrêt cardiaque augmentait de 8 %, et le risque de décès de 38 %

Catégories
Uncategorized

Les chicanes de couple sont dures pour la santé

Les femmes seraient plus à risque de problèmes de santé et de mort prématurée découlant des disputes et chicanes de couple, selon une nouvelle étude rapportée par Top Santé.

Selon des chercheurs universitaires américains basés à Pittsburgh, les chicanes de couple sont lourdes de conséquences pour la santé des gens qui les vivent, et chez les deux sexes, mais particulièrement chez les femmes.

Augmentation de la tension artérielle, risque accru de troubles cardiaques et d’AVC, décès prématuré, stress, anxiété, voilà autant de problèmes qui peuvent découler des disputes engendrées au sein d’une relation amoureuse.

C’est après avoir analysé les cas de plus de 1500 personnes âgées de 50 ans, soit en milieu de vie, que les chercheurs ont remarqué de tels impacts sur la santé, notamment chez les femmes.

« Les disputes ont donc plus d’importance à leurs yeux et ont un impact sur leur tension nerveuse », mentionne le chercheur Rodlescia Seed, qui croit que les femmes s’impliquent davantage que les hommes sur le plan émotif dans une relation.

Catégories
Uncategorized

Naissance prématurée plus à risque lors de grossesses rapprochées

Les résultats d’une nouvelle étude ont été publiés dans la revue spécialisée BJOG: An Interantional Journal of Obstetrics and Gynaecology.

On considère une grossesse prématurée lorsque l’enfant a 37 semaines ou moins de gestation. Pendant les dernières semaines, des développements importants surviennent chez le fœtus. Lorsqu’il est prématuré, l’enfant fait face à de nombreux risques intellectuels, cérébraux, respiratoires, visuels et digestifs, entre autres.

Les chercheurs ont analysé 454 716 naissances de femmes ayant eu deux grossesses ou plus dans une période de 6 ans. Comme l’indique Medical News Today, ils mesuraient le facteur d’intervalle entre les grossesses et ses conséquences.

Les femmes ont été séparées en 2 groupes. Le premier comprenait celles ayant eu un intervalle de grossesse de moins de 12 mois et le second, celles avec un intervalle se situant entre 12 et 18 mois.

Les deux groupes ont par la suite été comparés avec les femmes ayant un temps d’intervalle minimal optimal, soit 18 mois ou plus.

Il a été confirmé que plus l’intervalle entre les grossesses est réduit, plus le taux de naissances avant 39 semaines est élevé, et ce, surtout chez les femmes noires.

Catégories
Uncategorized

Le cancer de la peau gagne encore du terrain au Canada

Il semble que le cancer de la peau gagne toujours du terrain au Canada, rapporte Le Devoir, et se place maintenant à égalité au palmarès peu enviable des cancers les plus fréquents diagnostiqués sur notre territoire.

Au Québec seulement, on estime à 30 000 nouveaux cas à prévoir au cours de l’année 2014. Le plus inquiétant, et peut-être étonnant, est qu’il existe des méthodes de prévention et des causes connues pour ce type de cancer, à commencer par les rayons UV.

« Malheureusement, la mode du bronzage est encore présente, et les gens ont un peu perdu les consignes de sécurité. Ils s’exposent plus qu’avant et se protègent moins qu’il y a 20 ans. On voit qu’il y a encore de l’éducation à faire. Les jeunes bébés, les enfants, ça, les parents ont compris. C’est bien intégré dans les moeurs. Mais dès que l’adolescence arrive, les consignes de sécurité sont complètement mises de côté », explique le porte-parole de la Société canadienne du cancer (SCC), André Beaulieu.

Un retour en arrière qui expliquerait en partie cette hausse statistique des cas de cancer de la peau, selon la SCC, qui y va d’une vaste campagne de sensibilisation à l’aube de la saison estivale.

Les données et informations concernant le cancer de peau sont disponibles sur le site officiel de la SCC

Catégories
Uncategorized

Risque accru d’asphyxie du bébé lorsque la mère est obèse

Les risques d’éprouver des troubles d’oxygénation à la naissance augmentent chez les bébés nés de femmes en surpoids ou obèses.

C’est une étude en collaboration avec de chercheurs suédois et américains qui a mis cette information en lumière sur le site spécialisé PLoS Medicine.

Selon les spécialistes, considérant le problème mondial d’obésité, cette information ajoute à l’importance de sensibiliser les femmes en âge de procréer à prendre soin de leur santé, et ce, pour celle de leurs futurs enfants.

Les données regroupaient toutes les naissances en Suède entre 1992 et 2010. La totalité représentant plus de 1,7 million de bébés, indique Medical News Today.

La majorité des résultats sous la moyenne du test d’APGAR (qui mesure entre autres le déficit d’oxygène à la naissance) se situait chez les bébés de femmes de poids normal. Cependant, la proportion de bébés ayant eu un faible résultat à l’APGAR augmentait avec l’indice de masse corporelle (IMC) de la mère.

Avec un IMC entre 25 et 29,9, le risque d’un faible APGAR augmentait de 55 %, alors que pour les IMC d’obésité de grade I et II (30 à 39,9) il doublait, et puis triplait pour les femmes avec un IMC d’obésité de grade III (plus de 40).

Catégories
Uncategorized

De plus en plus de consommateurs veulent un étiquetage des OGM

Le New York Times rapporte une montée de la grogne chez les consommateurs avertis en matière d’alimentation, concernant les OGM et l’absence fréquente de toute indication sur les étiquettes des produits qui en contiennent.

Une hausse des demandes et des manifestations contre l’utilisation aveugle des OGM est observable, et il est permis de se demander comment il peut n’y avoir que si peu de règles dans un dossier si important et controversé.

Un sondage du New York Times révélait l’an dernier que 93 % des répondants désiraient un affichage clair des produits génétiquement modifiés, même si seulement la moitié d’entre eux affirment vouloir éviter d’en manger. Comme quoi l’information est la première source d’inquiétude des consommateurs, avant les OGM en soi.

L’État du Vermont, aux États-Unis, est maintenant un chef de file en la matière, devenant ce mois-ci le tout premier État à obliger l’étiquetage clair des produits renfermant des OGM. Le Connecticut et le Maine semblent vouloir aller dans la même direction.

Les producteurs d’OGM et de produits qui en contiennent mènent une guerre juridique à gros prix afin d’éviter de telles lois.

Voilà un débat qui n’est pas près de se terminer, et les consommateurs ont probablement raison de s’inquiéter du laxisme de certains gouvernements en la matière, alors que les effets à long terme des OGM demeurent peu connus et peu étudiés.

Catégories
Uncategorized

Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.