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L’hormonothérapie de remplacement réduirait les risques de troubles cardiaques

Une nouvelle recherche, rapportée par www.nlm.nih.gov, prétend que les femmes qui suivent un traitement d’hormonothérapie de remplacement pourraient bien améliorer également leur santé cardiaque.

Lorsqu’entamé en début de ménopause, ce traitement pourrait réduire les risques de crises cardiaques et d’autres problèmes similaires. Les bénéfices de l’hormonothérapie de remplacement viendraient de plus sans revers de médaille, c’est-à-dire qu’ils ne feraient pas grimper les chances de développer un cancer ou une autre maladie.

C’est un débat qui dure depuis longtemps qui pourrait être sur le point d’être tranché. En effet, l’hormonothérapie de remplacement inquiète les spécialistes, qui hésitent parfois à le recommander, justement à cause de risques potentiels au niveau du cœur.

Cette étude danoise pourrait calmer le jeu. Cependant, d’autres études contredisent celle-ci, et deux médecins affirment qu’elle n’est pas concluante. Ils suggèrent de traiter à petites doses et de commencer très tôt dans le processus de ménopause.

Un débat qui demeure ouvert, donc, et qui devrait se poursuivre. Les spécialistes prennent la chose très au sérieux, puisque les femmes sous-estiment souvent les risques de problèmes cardiaques, selon plusieurs statistiques.

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Le diabète et son régime

Le site topsanté.com a tenté de répondre à cette question, et il semble que plusieurs mesures alimentaires peuvent être observées afin de réduire les risques de développer cette maladie.

Bien sûr, comme pour la plupart des maladies graves, l’hérédité est un facteur important. Bien que l’on ne puisse changer sa ligne d’ADN, on peut néanmoins être doublement vigilant lorsque vient le temps de s’alimenter. Et les autres ne sont pas en reste, car il est bien sûr conseillé à tout un chacun de bien manger.

D’abord, on parle de « sucres lents ». Il semble que contrairement aux perceptions de la population, le sucre retrouvé dans les aliments ne provoque pas toujours le diabète de la façon qu’on pourrait le croire. Certains sucres, les lents, sont à favoriser. On les retrouve notamment dans les pâtes de blé dur et les légumineuses.

Pour ce qui est des pâtes traditionnelles, du riz et du pain, auxquels on accolait le terme « sucre lent », il semble que cela dépende de la façon dont ils sont apprêtés.

Pour le reste, des tests de dépistage sont conseillés, que vous soyez à risque de façon héréditaire ou non.

Les trois autres principaux éléments de risque concernant le diabète sont l’âge (plus de 45 ans), le surplus de poids et l’hypertension.

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Une petite quantité d’alcool suffit pour augmenter les risques de cancer

Jusqu’à maintenant, les études se sont penchées sur une consommation excessive d’alcool et ses impacts pour accroître les risques de certains cancers comme, ceux de l’oropharynx, de l’œsophage et du sein.
 
Après une méta-analyse de 222 publications totalisant 150 000 participants, on constate que même une légère consommation d’alcool augmente légèrement, mais de façon significative les risques de développer le cancer.
 
Cette étude, bien qu’elle ait besoin d’être approfondie, apporte une nouvelle compréhension des effets de l’alcool sur le développement du cancer.
 
Par contre, on ne note pas de lien significatif pour un risque accru du cancer du foie, colorectal et du larynx avec une faible consommation d’alcool.
 
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Enfant unique, enfant obèse?

Menée auprès de 12 700 enfants de 2 à 9 ans, et ce, dans 8 pays européens, cette recherche à grande échelle affiche des résultats sans équivoque. Ceux-ci, selon santelog.com, sont publiés dans la revue Nutrition and Diabetes.

De plus, le surpoids et l’obésité chez les enfants uniques ne présentaient aucune corrélation avec le mode de vie de l’enfant, et c’est ce qui préoccupe les chercheurs. Ainsi, malgré le questionnaire soumis aux parents, relativement à l’activité physique, le sexe, le poids de naissance, etc., ce ne sont que les enfants seuls qui présentaient un risque accru d’obésité de 50 %.

« Être un enfant unique est donc un facteur de risque de surpoids indépendant des autres facteurs explicatifs », note une chercheuse de l’Université de Göteborg, Monica Hunsberger.

Cette étonnante constatation pousse les responsables à vouloir effectuer de nouvelles recherches, mais cette fois concentrées uniquement sur les familles ayant un enfant unique. La raison est simple : plus de 22 millions d’enfants en Europe présentent un surpoids, et les familles ont de moins en moins d’enfants.

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Quelques trucs pour prévenir les risques de mort subite du nourrisson

Myhealthnewsdaily.com propose quelques trucs pour prévenir ou diminuer les risques du syndrome MSN, question de rassurer les nouveaux parents.

La mort subite du nourrisson est la principale cause décès chez les jeunes enfants de 1 mois à 1 an. La plupart des cas répertoriés se situent entre le 2e et le 4e mois de vie du bébé. Sur les 2200 cas de MSN aux États-Unis uniquement, plus de 80 % sont causés, apparemment, par des positions de sommeil inadéquates.

Les conseils aux nouveaux parents sont les suivants :

· Les jeunes enfants devraient être placés sur le dos pour dormir. Évitez de les laisser sur le côté, puisqu’ils pourraient rouler sur le ventre.

· Assurez-vous que le bébé dort sur un matelas ferme, sans oreiller ou couverture, encore moins avec une peluche.

· N’emmenez pas bébé avec vous dans le lit, vous augmentez ainsi les risques de mort subite de 40 fois.

· Les recherches démontrent que la suce réduit le risque de mort subite. Elle encouragerait les nourrissons à demeurer sur le dos et aiderait à maintenir la voie respiratoire dégagée.

· Ne surchauffez pas la chambre du bébé et ne l’habillez pas trop chaudement.

· Finalement, évitez tout contact de l’enfant avec la fumée du tabac, qui augmente considérablement le risque de MSN.

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Aspartame : réévaluation des risques reportée à mai 2013

(Relaxnews) – La Commission européenne a accepté la demande de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) de prolonger le délai de réévaluation complète des risques associés à l’aspartame.
 
Initialement prévue en 2020, puis plus récemment en juillet 2012, la réévaluation complète des risques et de la dose journalière admissible (DJA) de l’aspartame sera finalement réalisée d’ici mai 2013.
 
« Cela laissera aux experts scientifiques de l’EFSA suffisamment de temps pour l’examen de nouvelles données et la finalisation de leur évaluation détaillée des risques, ainsi que pour une consultation publique sur leur projet d’avis avant son adoption finale », explique l’autorité européenne.
 
L’aspartame est un édulcorant artificiel, dont la dose journalière admissible est en ce moment fixée à 40mg/kg de poids corporel.
 
Deux études scientifiques, publiées en janvier dernier, ont mis en cause l’aspartame, notamment accusé de provoquer des cancers et des naissances prématurées.
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Une mère plus âgée n’affecte pas la santé de l’enfant

En contrepartie, les enfants nés de mères âgées de 20 à 24 ans se révèlent être beaucoup plus à risque de maladies lorsqu’ils arrivent entre la quarantaine et la cinquantaine.

Le chercheur principal de l’étude, Mikko Myrskylä, du Max Plank Institute for Demographic Research en Allemagne, précise : « En respectant le facteur de l’âge lors de la grossesse, l’accouchement de femmes plus jeunes se révèle plus dangereux pour les enfants que celui des femmes plus âgées ».

Malgré tout, myhealthnewsdaily.com révèle que la réalité demeure quant au risque plus élevé de fausse couche ou de trisomie 21 pour les mères au-delà de 35 ans.

À première vue, les résultats démontraient la même chose que ceux d’autres études sur le sujet. Par contre, lorsque les chercheurs ont pris en compte le niveau d’éducation de la mère ainsi que l’âge auquel elle décédait, les données ont pris cette tournure inattendue.

L’étude, menée auprès de 18 000 enfants américains et leur mère, a été publiée dans le journal Demography.

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2 h 30 de ménage par jour réduisent les risques de cancer du sein

L’International Journal of Cancer rapporte que 2 h 30 de ménage par jour peuvent réduire de 6 % les risques de cancer du sein chez les femmes.
 
Les plus ferventes du ménage peuvent en faire pendant 6 h par jour pour faire chuter leurs risques de 13 %.
 
Cette étude démontre une fois de plus que l’activité physique est bénéfique pour prévenir le cancer. Seulement, on démontre aussi qu’une activité modérée peut être suffisante pour avoir un impact positif.
 
Même 2 h 30 de marche quotidienne ou 3 h de jardinage auront autant de bienfaits.
 
L’étude a été réalisée auprès de 257 805 femmes européennes. 8039 nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués sur les 11 ans de l’étude. On a évalué le tout selon différents facteurs, dont le poids, la consommation d’alcool et le niveau d’activité physique.
 
On constate que plus une femme fait de l’exercice, plus ses risques de développer un cancer du sein sont réduits.
 
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Les femmes fondant leur famille après 35 ans sont jugées égoïstes

Sa plus récente recherche, rapportée par le site ScienceDaily, fait la lumière sur la pression sociale que vivent les femmes de nos jours. C’est lors du congrès organisé par la British Psychology Society que Budds a présenté sa dernière étude.

Les futures mères de 35 ans et plus sont jugées égoïstes, d’une part, puisqu’elles priorisent apparemment leur carrière avant de fonder une famille. D’autre part, elles sont accusées de prendre des risques inutiles en mettant leur vie et celle de l’enfant à naître en danger.

Or, les résultats de l’étude démontrent qu’il en est autrement dans la majorité des cas. Les femmes choisissent principalement de fonder une famille lorsqu’elles jugent avoir le bon conjoint ainsi que la situation financière adéquate.

En d’autres termes, elles choisissent simplement de mettre au monde un enfant pour lequel elles seront en mesure de subvenir aux besoins. Rien d’anormal dans cette « stratégie ». Il ne s’agit même pas d’être plus mature pour élever son enfant, puisque la recherche démontre que ces femmes vivent le même stress et les mêmes difficultés que les mamans plus jeunes.

Ainsi, la psychologue affirme que « ces femmes qui sont accusées de “tout vouloir” avant de fonder une famille recherchent simplement de façon responsable la meilleure situation pour élever leurs enfants ».

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Les gros buveurs de café peuvent réduire de 39 % leur risque d’avoir un cancer du côlon

Alors que de récentes études associaient la consommation de café à un risque moindre de cancer de la peau ou de l’utérus, on a aussi découvert des effets protecteurs contre le cancer du côlon.
 
L’étude réalisée auprès de 489 706 personnes de 50 à 71 ans démontre qu’une consommation de plus de 6 tasses de café par jour peut réduire de 39 % les risques de cancer du côlon, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Pour ceux qui prennent trois tasses et moins par jour, on ne remarque aucun effet protecteur. Avec 4 à 5 tasses quotidiennement, on réduirait les risques de cancer de 15 % et avec au moins six tasses, on parle d’une réduction de 26 %.
 
Pour le café contenant de la caféine, avec six tasses ou moins par jour, on peut réduire les risques de 17 %, mais avec 4 ou 5 tasses de décaféiné, on réduit les risques de 21 %.
 
Toutefois, l’envers de la médaille est qu’une grande consommation de café peut mener à de l’agitation, de l’insomnie et de la déshydratation.
 
De plus, les femmes enceintes devraient limiter leur consommation de café à 1 à 2 tasses maximum.