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Les enfants non vaccinés mettraient leurs camarades à risque

En fait, la santé des enfants qui ne peuvent être vaccinés en raison d’allergies ou d’un système immunitaire compromis dépend de l’« immunité du groupe », selon les experts. Leur protection contre les maladies passe par l’impossibilité des enfants vaccinés de la contracter, et donc de leur donner.

Toutefois, les enfants dont les parents s’opposent à la vaccination peuvent les contracter.

« [Les vaccins] nous protègent contre des maladies qui tuaient régulièrement des centaines de milliers d’enfants aux États-Unis et continuent d’en tuer des centaines de milliers mondialement. Ce n’est pas juste important pour un enfant d’être vacciné, c’est important pour la population d’avoir un haut taux de protection », explique l’une des scientifiques derrière la recherche, Alison M. Buttenheim.

Plus de 20 États américains autorisent les enfants à fréquenter des écoles publiques sans être vaccinés, dont la Californie.

Dans le but d’encourager les parents à faire vacciner leurs enfants, les auteurs de la recherchent planifient de mener plusieurs interventions dans les écoles.

Rappelons qu’un enfant sur cinq (20 %) n’aurait pas ses vaccins dits de « base ». Pour éviter des milliers de décès, l’OMS désire lancer une campagne pour l’égalité des vaccins.

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Les mères dévouées risquent d’être plus déprimées

En fait, les mères qui cherchent trop à être parfaites auprès de leurs enfants ont tendance à être moins heureuses que les autres mères, selon une étude de l’Université de Mary Washington, publiée dans le Journal of Child and Family studies.

Durant le sondage réalisé par les chercheurs, 23 % des mères qui mettent trop d’efforts dans leur rôle parental étaient déprimées et stressées.

De plus, ils ont aussi mentionné chez certaines femmes le paradoxe de la parentalité, qui veut qu’en devenant mères, elles se fixent des objectifs qui sont en grande partie irréalisables.

Le bon équilibre, selon le pédopsychiatre Stéphane Clerget, qui a parlé à RTL.be, consiste d’abord pour la mère à reconnaître ses défauts. Puis, elle devrait déléguer à papa certaines tâches et ne pas oublier de continuer sa vie de femme en passant quelques fois du temps sans ses enfants.

L’enfant, dans cette situation, pourra s’ouvrir aux autres et développer des liens d’amitié avec autrui.

Rappelons, d’autre part, que de trop chouchouter votre enfant pourrait entraîner chez lui la dépression ou d’autres problèmes d’ordre mental.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La paternité tardive risquée pour le bébé

 

Publiés dans la revue Nature, les résultats démontrent que ce ne sont pas que les mères plus âgées qui peuvent transmettre involontairement des problèmes à leur bébé en les ayant à un âge avancé.

«Souvent, la mère est montrée du doigt dans les couples ayant un enfant souffrant d’une pathologie d’ordre génétique. Ce n’est pas juste. Aujourd’hui, il existe suffisamment de données pour dire aux hommes que passé un certain âge, il n’est pas très raisonnable d’avoir des enfants, car le risque génétique est tout aussi accru pour eux», explique le chef du service de génétique de l’hôpital Necker de Paris, Stanislas Lyonnet.

De plus, le père transmettrait quatre fois plus de mutations génétiques que la mère à cause de la division cellulaire des spermatogonies. 

L’étude a démontré que les hommes de 40 ans et plus avaient six fois plus souvent des enfants atteints d’autisme que les plus jeunes pères. Cette maladie est due à une mutation génétique dont le père est en partie responsable.

Rappelons toutefois qu’avoir un bébé après 30 ans permettrait de réduire les risques de cancer de l’endomètre chez la femme. Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.

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Les enfants qui jouent dehors moins à risque de devenir myopes

En fait, passer plus de temps dans la lumière naturelle assurerait une meilleure vision à l’adolescence, selon les chercheurs de la Bristol University.

Les enfants qui passent plus de temps à l’extérieur avant l’âge de huit et neuf ans sont à moitié moins à risque de devenir myopes, selon l’étude publiée dans le journal Investigative Ophtalmology & Visual Science.

« Nous ne sommes pas encore certains de la raison pour laquelle le plein air est bon pour les yeux des enfants, mais avec les autres bénéfices qu’on lui connait pour la santé, nous devrions encourager les enfants à passer plus de temps dehors », explique l’auteure principale de la recherche, Cathy Williams.

La myopie est un trouble de la vision très commun auprès des jeunes. Entre 25 % et 50 % des jeunes occidentaux souffrent de la myopie tandis que ce chiffre s’élève à 80 % chez les jeunes du sud-est de l’Asie.

Plus du tiers des adultes dans cette condition doivent porter des lunettes afin de distinguer les objets plus loin d’eux. Ce chiffre a doublé durant les 30 dernières années.

Rappelons que la période de l’année durant laquelle un enfant naît influence les risques de myopie pendant l’adolescence. Ainsi, les enfants nés en été auraient plus de chances d’être myopes que ceux nés en hiver.

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Les enfants indisciplinés plus à risque de développer des dépendances

 

De plus, ceux atteints de symptômes d’inattention seraient particulièrement à risque de devenir dépendant à la nicotine, selon les chercheurs du Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine, à Montréal. Les résultats de cette recherche ont été publiés dans le Molecular Psychiatry.

L’étude a démontré qu’à l’âge de 21 ans, 13,4 % des enfants dans l’une ou l’autre de ces situations abusaient ou étaient dépendants à l’alcool tandis que ce chiffre s’élevait à 9,1 % pour le cannabis et 2 % pour la cocaïne. Le problème le plus commun était la dépendance au tabac, présente chez plus 30,7 % d’entre eux.

« En prenant en compte l’unique effet de l’inattention et de l’hyperactivité, qui ont rarement été considérés séparément auparavant, nous en sommes venus à réaliser que le lien entre les symptômes du TDAH durant l’enfance étaient surestimés. De même, l’hyperactivité ne semble pas, dans cette étude, les prédisposer pour des dépendances ultérieures », a expliqué l’auteur principal de la recherche, Jean-Baptiste Pingault.

Les résultats démontrent que le sexe n’a aucune incidence sur la susceptibilité de développer ces dépendances. Toutefois, les filles consommeraient davantage de cigarettes tandis que les garçons consommeraient du cannabis et de l’alcool.

Rappelons que les enfants susceptibles de développer de telles dépendances montreraient déjà des signes d’instabilité avant la maternelle, selon une précédente étude néo-zélandaise.

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Des faits à connaître sur les sodas diètes

Avec les sodas dits diètes, les gens ont l’impression de faire un choix plus santé. Pourtant, il y a de quoi se méfier tout autant, rappelle Fit Sugar.
 
Parmi les effets négatifs des sodas diètes, notons qu’ils peuvent augmenter les risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral de 44 %.
 
De plus, la caféine vous rendra nerveux, augmentera votre pression artérielle, provoquera des troubles du sommeil et augmentera les risques d’ostéoporose. La caféine peut aussi causer une déshydratation.
 
Les édulcorants utilisés pour sucrer les boissons, bien que beaucoup moins caloriques, peuvent causer des troubles. L’aspartame, par exemple, peut entraîner des migraines, et l’acésulfame K peut causer des nausées et augmenter les chances de développer un cancer.
 
Donc, réduisez aussi votre consommation de sodas diètes.
 
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Pas plus de risque de décès pour les obèses

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of American Board of Family Medicine remet en cause la croyance populaire qu’un surplus de poids est synonyme d’un plus grand risque de décès.
 
En fait, l’obésité ne devient plus « meurtrière » que si elle est accompagnée de diabète ou d’hypertension. Sans ces deux facteurs, les chercheurs vont même jusqu’à dire que les personnes en surplus de poids ont moins de risques de décès que les personnes ayant un poids normal.
 
Attention, l’étude ne dit pas que l’obésité est l’idéal et n’affecte pas la santé. Elle demeure tout de même une menace qui affecte la qualité de vie. Elle a une incidence sur la santé et peut aussi causer de l’apnée du sommeil, des maladies cardiaques, de l’arthrose et autres.
 
Cependant, les données recueillies sur 51 000 personnes ayant de 18 à 90 ans, suivies pendant 6 ans, démontrent qu’un surplus de poids n’entraîne pas automatiquement plus de risques de décès.
 
« Durant les 6 années de suivi de l’étude, nous avons constaté que seule une obésité sévère a été associée à un risque accru de décès, en raison de ses comorbidités », déclare le professeur Anthony Jerant.
 
L’étude dévoile également que peu importe la présence de diabète ou non, les personnes trop maigres doublent par contre leur risque de décès.
 
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Les jumeaux plus à risque de mourir dans la première année

En fait, ces poupons nés en même temps ont cinq fois plus de chances de décéder durant l’année suivant leur venue au monde.

Le taux de mortalité chez les jumeaux en Angleterre et au Pays de Galle était de 20,1 pour 1000 naissances en 2009, tandis que ce chiffre grimpait à 34,9 pour 1000 pour les triplets. Toutefois, ce taux pour les bébés nés seuls n’était que de 4 pour 1000.

Aussi, les jumeaux et les triplets ont plus de chances de naître prématurément, d’être trop petits à leur naissance, d’avoir des troubles du développement et de souffrir de paralysie cérébrale.

De plus, la hausse de la demande de fécondation in vitro a augmenté le nombre de naissances de jumeaux. Lors de ces interventions, les médecins transplantent plus d’un embryon dans le ventre de la mère, c’est pourquoi plus d’un bébé y croît souvent.

Rappelons que l’administration de progestatifs pour prévenir la prématurité chez les jumeaux a peu d’avantages, sauf chez les mères qui ont un col de l’utérus plus court que la moyenne.

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Quatre tasses de thé ou plus par jour réduisent le risque de diabète

Une nouvelle étude dévoilée par le Daily Mail rapporte que les grands consommateurs de thé auraient une forme de protection contre le diabète de type 2 à un âge moyen.
 
En fait, une consommation quotidiennement de quatre tasses de thé ou plus réduirait les risques de développer le diabète de type 2 de 20 %.
 
Toutefois, cette protection ne semble s’appliquer qu’avec une consommation élevée, puisqu’on ne note aucun effet bénéfique sur l’apparition du diabète de type avec de 0 à 3 tasses de thé par jour.
 
On croit que le thé agirait sur la digestion du glucose ainsi que sur son absorption. De plus, en raison des polyphénols qu’il contient, le thé protégerait les cellules bêta des radicaux libres.
 
Déjà, le thé est reconnu pour ses bienfaits sur la santé en raison de ses antioxydants, notamment le thé vert auquel on associe de nombreux bienfaits.

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Trop de vitamine D augmente le risque de mortalité

Des chercheurs danois viennent de faire une découverte pour le moins étonnante.
Selon le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, un niveau excessif de vitamine D augmente les risques de mortalité.
 
L’équipe de l’Université de Copenhague a constaté avec surprise qu’un niveau trop élevé de vitamine D était aussi nocif pour la santé qu’un niveau trop bas.
 
Après avoir analysé 247 574 échantillons sanguins, on constate que le taux de décès était de 40 % pour les personnes ayant un niveau trop élevé de la vitamine.
 
La vitamine D est essentielle au système immunitaire, à la santé des os, des dents et à l’absorption du calcium. Une carence est liée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, au diabète de type 2, à certains cancers, aux maladies auto-immunes et à des os fragiles.
 
La majorité des gens ont une carence en vitamine D, car la principale source de ce nutriment est le soleil, mais il est bon de faire surveiller le niveau de vitamine D dans son sang.