Catégories
Uncategorized

Aucun risque lié à la somatropine?

Selon la Food and Drug Association, la somatropine ne serait pas liée avec des risques de décès, pouvons-nous lire sur Internal Medicine News.

Rappelons que la somatropine est une hormone de croissance. Son administration est entre autres employée dans le traitement du nanisme.
 
Les analyses se poursuivent, afin de cerner les effets à long terme sur la santé de ce traitement. Une cohorte de 30 000 enfants traités avec la somatropine a été établie dès 2010 aux fins de la recherche.
 
En plus des risques de mortalité, on tentera de prouver s’il y a risque de développement d’un cancer en prenant cette hormone.
 
Pour l’instant, la FDA affirme que le lien entre la somatropine et un risque de décès ne peut être confirmé.
 
Catégories
Uncategorized

Les risques du cancer du côlon se multiplient

En une trentaine d’années, les cas de cancer du côlon ont explosé. Selon des statistiques présentées dans le British Journal of Cancer, les risques de développer un tel cancer, pour un homme, ont doublé en une seule génération.

Si, en 1975, 1 homme sur 29 risquait d’en souffrir, il s’agit aujourd’hui de 1 sur 15. Une augmentation a aussi été remarquée chez la femme, quoiqu’elle soit moins radicale : on parlait de 1 cas sur 29 et on passe maintenant à 1 sur 19.

Les raisons en seraient l’épidémie d’obésité, la plus forte consommation d’alcool ainsi que la baisse de l’activité physique. De plus, nous vivons plus vieux : le cancer du côlon tend à être une maladie liée à la vieillesse.

D’un autre côté, les gens survivent de plus en plus au cancer du côlon. Les diagnostics se font de plus en plus tôt et les traitements augmentent en efficacité.

Catégories
Uncategorized

Poisson au menu pour une diminution des risques de prématurité

Magicmaman rapporte les résultats d’une étude publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology. La consommation de poisson pendant la grossesse diminue jusqu’à 40 % les risques d’accoucher avant terme.

Lorsque vient le temps de choisir un type de poisson chez l’épicier, les choix ne manquent pas. Du saumon à la morue, en passant par le doré ou le tilapia, peu importe la façon dont vous le cuisinez, le poisson est une excellente source d’oméga-3 et qui plus est, il est faible en gras.
 
Une récente recherche américaine s’ajoute aux diverses études menées pour diminuer les sources potentielles de prématurité. Les femmes ayant participé ont rempli un formulaire sur leurs habitudes alimentaires. L’objectif de l’étude consistait à déterminer la corrélation entre la consommation d’acides gras oméga-3 entre la 16e et la 22e semaine et les risques d’accoucher avant terme.
 
Les chercheurs ont obtenu des résultats probants, si l’on considère la diminution du risque de prématurité atteignant 40 % lors d’une consommation régulière de différents poissons, soit au moins 3 fois par semaine.
 
Cette habitude en est une à transmettre à bébé éventuellement, puisque cela contribue également à la diminution des risques d’asthme chez l’enfant.
 
À noter que la dépression est reliée entre autres au manque d’oméga-3 dans le cerveau. Ainsi, maman aura tout avantage à poursuivre elle aussi afin de diminuer les chances de dépression post-partum.
 
Catégories
Uncategorized

Peut-être n’êtes-vous pas à l’abri d’une grossesse inopinée

Si vous utilisez un contraceptif, quel qu’il soit, c’est pour éviter une surprise qui se pointerait au mauvais moment de votre vie. Il est donc capital de connaître les limites des méthodes contraceptives employées, afin d’avoir du plaisir sans être préoccupé.
 
Par exemple, la pilule contraceptive est reconnue pour son efficacité, mais selon la marque prescrite, les délais de protection en cas d’oubli varient. Selon e-sante.fr, il se peut que pour une marque spécifique, après quelques heures d’oubli, vous soyez déjà à risque d’une grossesse.
 
La pilule du lendemain, de plus en plus utilisée, ne garantit pas non plus la retombée à zéro du risque de grossesse. Elle est efficace au maximum 3 à 5 jours après la relation sexuelle à risque, selon la marque, et les résultats demeurent à 80 % de réussite uniquement. C’est pourquoi il faut en tout temps passer un test de grossesse à la suite de la prise d’une pilule du lendemain.
 
De même, utiliser un lubrifiant inadéquat avec les préservatifs les rendra poreux et donc moins efficaces.
 
Pour celles qui refusent cette méthode ou toute autre et qui préfèrent la voie arrière pour éviter la grossesse, détrompez-vous, le sperme qui coule se fraie un chemin jusqu’à l’entrée vaginale et quelques spermatozoïdes plus athlétiques peuvent facilement entraîner une grossesse.
 
Quant au coït interrompu, qui est encore utilisé de nos jours malgré son inefficacité, dans 30 % des cas, c’est la cigogne qui se pointe 9 mois plus tard.
 
Catégories
Uncategorized

Une intervention chirurgicale à risque après la grossesse

On apprend dans le L.A. Times que la Food and Drug Administration (FDA) a mis à jour un rapport qui fait la lumière sur les risques sérieux encourus par les femmes ayant recours à l’implant chirurgical de mailles visant à raffermir les muscles vaginaux relâchés.

Cette intervention a surtout lieu chez les femmes ayant eu une ou plusieurs grossesses et pour lesquelles ce relâchement musculaire, au niveau des tissus vaginaux, entraîne des conséquences telles que l’incontinence ou l’affaissement d’organes pelviens (vessie, utérus, rectum).
 
Les complications, bien que rares, ont des conséquences graves. Les manufacturiers de l’industrie estiment que 100 000 femmes ont été traitées pour cette affection en 2008, dont 75 % par implantation vaginale. Or, plus d’un millier de manufacturiers ont rapporté des complications entre 2005 et 2008, sans pour autant réviser leurs produits.
 
Depuis, les statistiques n’ont fait que s’aggraver, ajoutant l’érosion des tissus périphériques et la contraction de l’implant, menant au rétrécissement du vagin. La FDA a été grandement critiquée par les instances gouvernementales de la santé, accusée de compromettre volontairement la sécurité des patientes avec des produits dangereux.
La FDA affirme cependant « qu’il n’est pas nécessaire de retirer ces produits pour l’instant. Il s’agit, pour les médecins, d’effectuer un choix plus judicieux du produit utilisé ».
 
Catégories
Uncategorized

De nouvelles statistiques alarmantes pour les futures mamans fumeuses

Le Daily Mail rapporte les récents résultats d’une étude menée à partir de 172 documents de recherche publiés dans les 50 dernières années.
 
Une fois de plus, les scientifiques se sont penchés sur les effets néfastes du tabac sur les nouveau-nés. Les documents analysés comprenaient un total de 174 000 cas de malformations de toutes sortes, qui ont été comparés, puis compilés selon différents facteurs.

Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.

D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.

Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.

Catégories
Uncategorized

Des antiviraux réduisent les risques d’infection au VIH

Deux études menées en Afrique sur des personnes hétérosexuelles démontrent que la prise quotidienne d’antiviraux réduit considérablement les risques d’infection au VIH.
 
Cela avait été démontré sur les homosexuels, mais il restait à voir si c’était aussi le cas chez les hétérosexuels.
 
La première étude des Centers for Disease Control and Prevention aux États-Unis, effectuée sur 1 200 personnes non infectées au Botswana, montre qu’un comprimé de ténofovir/emtricitabine, une fois par jour, réduit les risques d’infection de 63 %, comparativement au groupe qui a reçu un placebo.
 
Pour la deuxième étude de l’Université de Washington, qui a suivi 4 758 couples hétérosexuels dont un des conjoints était infecté, au Kenya et en Ouganda, la prise seule de ténofovir réduit les risques de 62 %, mais avec l’emtricitabine, les risques chutent de 73 % comparé au groupe avec placebo.
 
« Cette percée scientifique majeure reconfirme le rôle essentiel que le traitement antirétroviral doit jouer dans la réponse au sida. Ces études peuvent nous aider à franchir un seuil dans la réponse à l’épidémie », dit Michel Sidibé.
 
Il est donc clair maintenant que la prise d’antiviraux en prévention est tout indiquée et jumelée à l’utilisation de préservatifs, c’est encore plus efficace.

 

Catégories
Uncategorized

La césarienne augmente le risque de dépression post-partum

Le Dailymail rapporte que les risques de dépression postnatale augmentent considérablement à la suite d’une césarienne. Une recherche a été effectuée auprès d’un échantillon de 1 000 nouvelles mamans à l’Université nationale de Yang-Ming, à Taiwan.

Ainsi, l’étude démontre que les femmes ayant accouché naturellement diminuent le risque de dépression de plus de 30 %. La raison associée à la dépression post-partum après une césarienne est constituée principalement d’un sentiment d’échec de la mère quant à l’accouchement naturel. Bien entendu, il y a aussi le facteur de rémission, qui est beaucoup plus lent lorsque l’enfant naît par césarienne.

Outre ce fait, il semblerait que la césarienne planifiée a plus d’impact négatif que celle qui est pratiquée pour urgence médicale. Sur le groupe d’étude des femmes ayant expérimenté ladite césarienne, les données recueillies démontrent que la moitié de celles qui avaient prévu cette méthode avaient subi une dépression post-partum.

Selon les chercheurs de l’Université de Yang-Ming, une mère sur 10 donne naissance à son enfant par césarienne planifiée, surtout pour des raisons médicales, mais aussi par crainte de l’accouchement naturel ou à la suite d’une précédente naissance qui a été difficile.

Catégories
Uncategorized

Dormez du bon côté avant d’accoucher

Les futures mères prendront certainement le temps de s’installer comme il faut en allant se coucher. Tout porte à croire que la dernière nuit de sommeil avant d’accoucher est décisive.

Selon une recherche de l’Université d’Auckland, une femme qui ne dort pas sur le côté gauche durant sa dernière nuit de grossesse court deux fois plus de risques de vivre une mortinatalité tardive. Ce risque de mort pour le foetus passe de 1,96 à 3,93 sur 1 000, ce qui demeure faible.
 
Une autre corrélation a pu être établie dans le cadre de cette étude qui a porté sur 155 femmes ayant accouché entre juillet 2006 et juin 2009.
 
Il semble que celles qui vont plusieurs fois aux toilettes durant leur dernière nuit de grossesse sont moins enclines à vivre une mortinatalité tardive.
 
Il ne faut toutefois pas prendre cette corrélation trop à la lettre et penser que l’on met son bébé en danger avec la façon dont on dort ou le fait de ne pas aller aux toilettes durant la nuit.

Les chercheurs affirment malgré tout que ces résultats pourraient représenter plus sur une grande échelle, mais que d’autres études devront suivre avant de donner des avis publics. Les résultats complets de l’étude sont parus dans BMJ.

Catégories
Uncategorized

Prescriptions pour enfants : mise en garde

On se questionne quant aux médicaments prescrits aux enfants. Avec la montée en flèche des avancées médicales et des technologies de pointe, on oublierait trop les risques encourus pour les jeunes patients.

C’est ce que l’on retient, entre autres, d’une révision parue dans Pediatrics et intitulée Principles of Pediatric Patient Safety : Reducing Harm Due to Medical Care.
 
On peut y lire les conclusions de nombreuses études sur ce sujet, lesquelles convergent vers le besoin de resserrer les règles quant aux médicaments que l’on donne aux enfants.
 
Par exemple, dans l’une de ces études, on a démontré que pour 1 000 prescriptions accordées à des enfants, pas moins de 100 représentaient des erreurs. Une autre étude a dénombré 7 échecs quand on avait souhaité éviter l’aggravation clinique chez 100 enfants hospitalisés.
 
Finalement, dans le cadre d’une autre recherche, pour 100 enfants vus en clinique, 3 événements fâcheux et pouvant être évités ont été relevés.
 
Il est donc primordial que nous nous questionnions quant à la pratique médicale actuelle afin de mieux éviter les erreurs quant aux médicaments administrés aux enfants.

La prescription de médicaments devrait être mieux encadrée et faite en visant l’élimination des risques possibles pour la santé des jeunes patients.