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Le café contre le cancer de la prostate

Boire beaucoup de café réduit les risques de développer un cancer de la prostate.
 
Selon l’étude rapportée dans le Daily Mail, les hommes qui consomment six tasses de café et plus par jour diminuent leurs risques d’avoir la forme la plus mortelle du cancer de la prostate de 60 %. Pour toutes formes de cancer de la prostate confondues, les risques chutent de 20 %.
 
L’étude, menée à L’École de santé publique de Harvard sur 48 000 hommes pendant douze ans, dit également que boire une à trois tasses quotidiennement diminue aussi le risque de cancer de la prostate mortel du tiers.
 
« Peu d’études ont étudié en détail l’association entre la consommation de café et le risque de cancer mortel de la prostate. Notre étude est la plus importante, par son échantillon, à examiner si le café abaisse les risques de cancer de la prostate », mentionne l’auteure Loreli Mucci.
 
Notez qu’avec le café décaféiné, on obtient les mêmes résultats, donc les bienfaits se retrouvent plutôt dans les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires du café.
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La prise régulière de paracétamol augmente les risques de cancer du sang

Les personnes qui prennent du paracétamol, aussi appelé acétaminophène, la majorité des journées de la semaine doublent leur risque de développer une forme relativement rare de cancer du sang. Normalement, ce risque est de 1 %, mais ils passent à 2 % avec le médicament.
 
Ce sont des chercheurs américains qui arrivent à ces résultats après avoir suivi 65 000 personnes pendant six ans au Fred Hutchison Cancer Reasearch Centre à Seattle.
 
Selon le Telegraph, durant l’étude, 577 personnes (un peu moins de 1 %) ont développé un cancer du sang comme un lymphome ou un syndrome myélodysplasique. Ces personnes avaient majoritairement déclaré prendre du paracétamol régulièrement.
 
Dans le groupe où la grande majorité n’avait pas développé de cancer, 5 % disaient prendre l’analgésique moins de quatre fois par semaine. Cependant, ils étaient 9 % à prendre le médicament plus souvent dans le groupe des participants cancéreux.
 
Toutefois, d’autres recherches seront nécessaires pour valider les résultats, car certains chercheurs affirment qu’il n’existe aucun mécanisme connu liant le paracétamol au cancer du sang.
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Le sel ne serait pas aussi nocif qu’on le croyait

Une équipe de l’Université de Louvain en Belgique, dirigée par le Dr Jan Staessen, a découvert qu’une alimentation riche en sel ne serait pas aussi mauvaise pour la santé qu’on le croyait.
 
3 700 Européens ont été suivis pendant huit ans. Ils étaient séparés en trois groupes selon leur consommation de sel (grande, moyenne, faible). Aucun n’avait de maladie cardiaque au début de l’étude et les deux tiers avaient une pression artérielle normale.
 
Au terme de la recherche, on n’a remarqué aucune différence significative dans les trois groupes concernant les risques de maladies cardiaques ou de problèmes aux vaisseaux sanguins.
 
Ces nouvelles données sont plutôt controversées, car on insiste beaucoup dernièrement sur le fait que les gens devraient diminuer considérablement leur consommation de sel.
 
Bien que les chercheurs affirment que diminuer le sel pourrait tout de même être une bonne idée pour les personnes ayant déjà une pression artérielle élevée et des problèmes cardiaques, rien dans leur nouvelle recherche ne laisse supposer que le sel favorise l’apparition de ces problèmes.
 
Bien entendu, les recherches vont se poursuivre.
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Même un petit ventre double le risque de problèmes cardiaques et d’AVC

On l’a souvent dit, non seulement le gras corporel peut être nocif pour la santé, mais son emplacement sur le corps a également un impact considérable sur certaines maladies.
 
Encore une fois, le Journal of the American College of Cardiology publie une nouvelle étude effectuée sur près de 16 000 personnes avec une maladie coronarienne.
 
On a constaté que les personnes qui avaient plus de graisse autour de l’abdomen avaient deux fois plus de risques de mourir d’une maladie cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral (AVC), comparativement aux personnes dont la graisse se situe principalement ailleurs.
 
Par le passé, on avait mentionné que les femmes de forme pomme (graisse à l’abdomen) avaient plus de risques de graves problèmes de santé que celles de forme poire (graisse aux hanches et aux cuisses). Cette nouvelle étude confirme une fois de plus ces données.
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Un deuxième café n’affectera pas votre pression sanguine

Une étude américaine dévoile que la consommation de café ne serait pas liée à un risque accru d’hypertension, en dépit des préoccupations antérieures.
 
L’hypertension est liée aux maladies cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux et à une espérance de vie plus courte. Les experts disaient que prendre plus d’une tasse de café par jour augmentait la pression sanguine.
 
Toutefois, après avoir analysé six études regroupant 170 000 personnes, on affirme que cela n’affecterait pas la pression sanguine. Pour l’étude, on a même affirmé que trois tasses par jour n’auraient pas d’effet.
 
Par contre, les spécialistes précisent qu’ils ont besoin de plus de données pour présenter une conclusion ferme quant aux effets du café sur l’hypertension.
 
Selon Lawrence Krakoff, qui étudie l’hypertension au Mount Sinai Medical Center de New York, le café n’aurait pas de lien avec l’hypertension, mais si une personne consomme 12 tasses quotidiennement, cela risque de l’empêcher de dormir, ce qui pourrait affecter sa pression sanguine, rapporte The American Journal of Clinical of Nutrition.
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Plus de risques de caillot sanguin avec certaines pilules contraceptives

Une étude révèle que les femmes qui prennent les pilules contraceptives de nouvelle génération contenant de la drospirénone, comme Yasmin, auraient deux fois plus de risques d’avoir un caillot de sang que les femmes qui utilisent les contraceptifs plus anciens.
 
Selon le British Medical Journal, cette recherche de l’École de médecine de l’Université de Boston est contestée par plusieurs experts. Ils affirment qu’il serait faux de croire que certains contraceptifs sont plus sécuritaires que d’autres.
 
Selon eux, toutes les marques de pilules contraceptives augmentent légèrement le risque de formation d’un caillot sanguin pouvant conduire à une thrombose veineuse à la jambe, au bras ou provoquer un blocage de la circulation du sang vers les poumons.
 
De nombreux facteurs peuvent favoriser les caillots de sang, y compris les antécédents familiaux, le surpoids et le tabagisme. Par contre, on s’entend pour dire qu’il s’agit tout de même d’un événement rare associé à la pilule. Un caillot de sang a plus de chances d’être provoqué par une grossesse, soit 60 cas pour 100 000 grossesses.
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L’aspartame augmente les risques de cancer et d’accouchement prématuré

Depuis le début de 2011, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en Europe garde l’œil ouvert sur les effets néfastes de l’aspartame et les mesures à entreprendre pour diminuer sa consommation par les futures mamans. Une fois de plus, Magic maman nous met au parfum des derniers développements.

En janvier, on apprenait, à la suite des résultats de deux études menées sur les effets néfastes de l’aspartame, que la consommation de cet édulcorant artificiel favorisait la naissance prématurée des enfants et les risques de cancer.

Par la suite, en février dernier, une nouvelle étude renchérissait les conséquences négatives de l’aspartame en affirmant que la consommation régulière pouvait mener à des risques d’accident cardiovasculaire.

L’aspartame est l’édulcorant le plus utilisé mondialement (plus de 6000 produits). Il se retrouve entre autres dans les produits dits « légers », tels que les sodas et les yogourts. Ainsi, en Europe prochainement, la mention « Peut ne pas convenir aux femmes enceintes » devrait se retrouver sur tous les produits concernés.

Quant à savoir si cette étiquette sera apposée sur l’ensemble des produits mondialement, il en revient aux agences de santé d’y voir et d’encourager cette nouvelle norme, pour la santé des futures mamans et de leur progéniture.

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L’influence néfaste sur le foetus d’un régime pendant la grossesse

La prise de poids chez la future mère est une préoccupation commune lors d’une grossesse. Bien que l’exercice soit fortement recommandé, quoique de façon modérée, le régime ne constitue pas, pour sa part, une alternative à adopter.

Les résultats de l’étude du professeur Peter Gluckman de l’Institut Liggins, de l’Université d’Auckland, ont été confirmés hier (19 avril) à l’AFP. La corrélation entre le régime durant la grossesse et les risques d’obésité, de maladie cardiaque ou de diabète est si évidente que les chercheurs en sont demeurés sceptiques au début.

« C’est une découverte majeure parce que pour la première fois, nous disposons de données pour travailler sur le régime optimal pour une future maman », a déclaré Gluckman. Les scientifiques de Grande-Bretagne, de Nouvelle-Zélande et de Singapour ont effectué cette recherche relativement au nombre croissant de cas d’obésité chez les enfants de 6 à 9 ans.

Le phénomène, étudié sur le cordon ombilical de 300 bébés, consiste à démontrer l’influence de l’alimentation de la mère et de son impact sur l’ADN de l’enfant. Il s’agit d’un processus nommé « changement épigénétique ». 

En d’autres mots, le fœtus capte le manque de nutriments, dont les hydrates de carbone nécessaires pour l’énergie, et son métabolisme développe un mécanisme qui stocke les graisses plus facilement et conserve cette défense à la naissance.

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Augmentation du risque de trouble de déficit d’attention chez les nouveau-nés prématurés

Une étude de longue haleine menée à l’Institut Karolinska en Suède, sous la tutelle du Dr Anders Hjern, rapporte de nouvelles informations quant à l’apparition du trouble de déficit d’attention (TDA).

Les nouveau-nés prématurés seraient plus à risque de développer les symptômes, et ce, dans une proportion significative.
 
Medical News Today rapporte que même à 36 ou 37 semaines de grossesse, les risques sont plus élevés de 20 % par rapport à une grossesse menée à terme. Les résultats les plus probants se situent néanmoins chez les nouveau-nés ayant vu le jour entre la 23e et 28e semaine de grossesse, dont 15 sur 1000 prennent de la médication dès l’âge scolaire. Les probabilités s’accroissent considérablement pour les bébés prématurés qui ont survécu à l’unité néonatale de soins intensifs.
 
Les variables considérées dans cette étude sont entre autres l’historique familial (génétique), le statut de fumeuse pendant la grossesse, les facteurs périnataux ainsi que les facteurs socioéconomiques.

Les données ont été relevées auprès de plus d’un million d’enfants âgés de 6 à 19 ans. Parmi eux, plus de 7 500 ont reçu de la médication reliée au trouble de déficit d’attention.

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Des problèmes de santé plus fréquents chez les nouvelles mères âgées de 45 ans et plus

Selon une étude publiée dans le Reuters Health, de plus en plus de femmes souhaitent avoir un premier enfant après 45 ans. Une recherche a donc été menée en Israël, entre 2004 et 2008, auprès de 131 nouvelles mères âgées de 45 à 65 ans.

On apprend sur Babycenter que le nombre de femmes plus âgées et nouvellement maman a triplé dans la dernière décennie. Néanmoins, elles constituent une minorité dans le bassin général des naissances. Les résultats démontrent que la méthode de fécondation in vitro fait en sorte qu’un nombre grandissant de femmes de plus de 45 ans réalisent leur rêve de maternité, ce que les chercheurs désapprouvent.
 
Le Dr Richard Paulson, directeur du programme de fertilisation de l’Université de la Californie du Sud, affirme qu’il n’y a aucune politique selon laquelle une femme est trop âgée pour profiter de l’assistance médicale de fécondation. Cependant, les femmes ayant déjà des problèmes de santé ne peuvent entreprendre la procédure.

Considérant cette étude, 4 femmes sur 10 développent un diabète de grossesse et 20 % sont à risque de prééclampsie, une condition dangereuse pour la femme enceinte. De plus, le tiers des femmes de 45 à 65 ans donnent naissance à des enfants prématurés ou en deçà de 5 livres et demie et la majorité doit subir une césarienne. Ces risques sont d’autant plus significatifs pour les femmes dépassant 50 ans.