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Risques du téléphone cellulaire pendant la grossesse

Une femme enceinte qui parle souvent au téléphone cellulaire augmente les risques de troubles de comportement de son enfant, selon une récente étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Sous forme d’un sondage, les habitudes de 29 000 femmes et enfants ont fourni des détails quant à leur mode de vie, leur alimentation et leur milieu.

Ainsi, en étant exposé à ce type d’appareil durant la grossesse, un enfant a 30 % plus de risques d’avoir des problèmes de comportement lorsqu’il aura 7 ans.

Il semble donc que pour un enfant qui utilise un téléphone cellulaire à un jeune âge, les risques de présenter un trouble du comportement s’élèvent à 50 %.

Le même taux revient pour ceux qui étaient exposés avant et après la naissance. Finalement, les enfants qui utilisaient un tel téléphone sans avoir été exposés durant la grossesse couraient un risque de 20 % d’avoir des problèmes de ce genre.

Certains scientifiques demeurent toutefois sceptiques quant aux résultats de cette étude californienne. Selon eux, des facteurs liés au mode de vie pourraient être plus fortement en cause que le téléphone cellulaire.

Malgré tout, l’étude en question nous poussera à redoubler de prudence quant à l’utilisation de tels appareils durant la grossesse et par les enfants.

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Chute du nombre de naissances prématurées

Le nombre de naissances prématurées a chuté après des années d’augmentation, nous apprend USA Today.

Selon une analyse américaine, le taux est passé de 12,8 % en 2006 à 12,3 % en 2008, et ce, après une hausse continue durant 30 ans.

Le nombre de grossesses de 34 à 36 semaines a en effet diminué et cela pourrait être dû en partie à l’état de santé des mamans d’aujourd’hui.

Les facteurs de risque sont intimement liés à la santé de la future mère, comme la haute pression sanguine, tous les types de diabète et les anomalies utérines.

Ces données sont très encourageantes, car la naissance prématurée peut entraîner de nombreux problèmes de santé chez le bébé. Parmi ceux-ci, nous comptons une déficience intellectuelle et des pertes auditives ou visuelles.

De plus, la naissance prématurée demeure la première cause de mortalité chez les bébés.

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L’aspirine et l’ibuprofène seraient dangereux pour le foetus

Une étude parue dans Le monde.fr pointe du doigt l’aspirine, l’ibuprofène et le paracétamol comme des facteurs de risque durant la grossesse.

En effet, après avoir étudié le cas de 2 300 mères danoises et finlandaises, des chercheurs sont arrivés à une conclusion des plus inquiétantes.

Il semble que les garçons dont la mère avait pris des antalgiques de ce genre durant sa grossesse présentaient plus souvent des malformations congénitales.

L’absence de descente des testicules dans le scrotum, aussi appelée la cryptorchidie, s’était produite dans un plus grand nombre de cas.

Ce phénomène a été observé chez les mères ayant pris plus antalgiques durant leur deuxième trimestre de grossesse.

Pour l’instant, aucun risque encouru par la prise de ces médicaments n’a été relevé chez les filles.

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Trop couvrir bébé augmente le risque de mort subite

Des experts de l’Institut national de la santé infantile et du développement humain, aux États-Unis, ont émis des mises en garde publiques quant à ce syndrome.

La majorité des cas de mort subite se produisent lorsque le poupon est âgé de deux à quatre mois.

Nous pouvons lire dans Health Day l’explication de cette sortie. Le Dr Alan Guttmacher, directeur de l’Institut, rappelle de ne pas trop habiller le bébé et de laisser sa chambre à une température confortable pour un adulte.

Il rappelle, d’autre part, que la meilleure façon d’abaisser le risque de mort subite est de coucher le poupon sur le dos durant ses siestes et pendant la nuit.

En plus de ces mesures de prévention, il suggère fortement aux parents de placer l’enfant sur un matelas bien ferme et approuvé pour sa sécurité. Il faut aussi retirer du lit tous les coussins, oreillers et jouets.

Bien sûr, le Dr Guttmacher demande aux parents de ne jamais fumer en présence de l’enfant.

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Les risques de cancer du sein diminués avec la vitamine D

Le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention rapporte qu’une forte présence de vitamine D dans le sang réduirait les risques de développer un cancer du sein de 25 %.
 
C’est ce qu’a découvert une équipe de l’Inserm, en France, lors d’une enquête épidémiologique effectuée auprès de 100 000 femmes nées entre 1925 et 1950 qui ont été suivies depuis 1990. Elles devaient transmettre leur mode de vie et leur bilan de santé tous les deux ans.
 
Bien que ces premiers résultats soient encourageants, on doit maintenant non seulement les confirmer par de nouvelles études, mais surtout déterminer la dose exacte qui aura le plus de bénéfices contre le cancer du sein.
 
La vitamine D se retrouve dans certains poissons gras, les œufs et certaines viandes, mais c’est surtout le soleil qui en est la principale source.
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Un verre de vin par jour double le risque de cancer du sein

Une équipe du Fred Hutchinson Cancer Research Center à Seattle s’est penchée sur le lien entre le vin et le cancer du sein.
 
Selon le Daily Mail, les chercheurs réitèrent les informations disant que la consommation d’alcool augmente les risques de développer la maladie. En fait, après avoir étudié les habitudes de consommation de 90 000 femmes ménopausées, ils concluent qu’un verre de vin par jour ou plus augmente les risques de développer le cancer du sein de 1,82 fois.
 
Par contre, cette recherche ne s’est intéressée qu’au cancer adénocarcinome lobulaire, soit le plus rare de tous qui représente 10 à 15 % des cas.
 
Le plus fréquent des cancers du sein, l’adénocarcinome canalaire, n’est pas concerné par cette étude. Toutefois, on remarque aussi pour cette forme que la consommation d’alcool favorise son apparition.
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Accoucher à la maison est plus risqué pour le bébé

De plus en plus, les femmes choisissent d’accoucher dans le confort de leur foyer, à l’aide d’une sage-femme. Toutefois, sachez que cela est beaucoup plus risqué, rappellent des médecins britanniques.

Selon ce que rapporte la revue The Lancet, les médecins affirment que l’enfant a le droit d’être en bonne santé et de recevoir les meilleurs soins dès sa naissance, et que pour cette raison, ce droit doit prévaloir sur le choix de l’endroit de l’accouchement.

Une nouvelle étude révèle que l’accouchement à domicile est trois fois plus risqué qu’à l’hôpital, pour le bébé.

On mentionne que cette option ne devrait se faire uniquement que dans les cas de grossesses sans aucun risque de complications comme l’hypertension artérielle ou l’hémorragie, par exemple.

Bien qu’il s’agisse d’un choix personnel, on mentionne que toutes les femmes devraient être bien informées des risques encourus d’un accouchement à domicile, et que si elles optent pour cette alternative, une sage-femme doit les accompagner tout au long de leur grossesse.

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Les personnes ayant survécu à un cancer infantile sont plus à risque une fois adulte

Les personnes qui ont survécu à un cancer durant leur enfance ont plus de chances de développer un deuxième cancer et ont un taux de moralité supérieur à celui de la population en général.
 
C’est ce que dévoile deux études, une du Journal of the American Medical Association (JAMA) et une autre du Journal of the National Cancer Institute (JNCI).
 
Après avoir étudié les données de 18 000 enfants de moins de 15 ans qui ont survécu pendant au moins 5 ans après un diagnostic de cancer, on constate que le taux de mortalité de ces survivants est supérieur de onze fois à celui de la population en général. Le taux diminue en vieillissant, mais même 45 ans après le diagnostic, le taux de mortalité est trois fois supérieur à la normale.
 
Les rechutes, les maladies cardiovasculaires et un deuxième cancer sont les principales causes de décès. De plus, on ajoute que le risque de développer un deuxième cancer devient plus élevé avec l’âge, et ce, jusqu’à 30 ans après le diagnostic du premier.
 
Les chercheurs attribuent tous ces inconvénients aux traitements de chimiothérapie et de radiothérapie reçus lors d’un premier cancer.
C’est pourquoi les personnes ayant combattu la maladie durant leur enfance devraient avoir un suivi médical à très long terme ensuite.
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Les 10 facteurs de risques pour les AVC

La revue The Lancet publie les dix facteurs qui représentent 90 % des risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC).
 
Ce sont les résultats obtenus après la vaste étude d’Interstroke effectuée dans 22 pays auprès de 6 000 personnes (3 000 ayant eu un AVC et 3 000 cas témoins) entre 2007 et 2010. 
 
Les facteurs sont :
 
La pression artérielle élevée (supérieure à 160/90 mmHg);
Le tabagisme;
L’obésité abdominale;
Le régime alimentaire;
La sédentarité;
Les lipides;
Le diabète;
La consommation d’alcool;
Le stress et la dépression;
Les troubles cardiaques.
 
80 % des AVC sont ischémiques, c’est-à-dire qu’un vaisseau se bloque dans le cerveau. Ces AVC sont liés à l’ensemble des facteurs.
 
Pour le reste, ce sont des AVC hémorragiques qui se produisent lorsqu’un vaisseau se rompt. C’est surtout l’hypertension, le tabagisme, l’obésité abdominale, le régime alimentaire et la consommation d’alcool qui y sont le plus associés.
 
L’hypertension représente à elle seule le tiers des risques de faire un AVC. Le tabagisme représente quant à lui une chance sur cinq.
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Les facteurs de risque associés au diabète

Une recherche publiée dans Archives of Internal Medicine nous apprend que plusieurs habitudes de vie peuvent augmenter l’incidence de diabète chez les personnes âgées.

Des chercheurs américains ont analysé cette association en travaillant pendant 10 ans avec 4 883 adultes âgés de plus de 65 ans. Ils ont plus particulièrement observé les effets de l’activité physique, de l’alimentation, de la consommation de tabac et d’alcool et de l’indice de masse corporelle.

Ils en concluent qu’une alimentation saine et de l’exercice physique diminuent de 46 % le risque de diabète. Si, en plus, les participants ne fumaient pas et consommaient modérément de l’alcool, l’incidence chutait de 82 %.

Par ailleurs, la combinaison de la sédentarité, du tabagisme et de mauvaises habitudes alimentaires fait augmenter le risque de diabète de 89 %.