Catégories
Uncategorized

Des doubles mastectomies souvent inutiles

Il y a déjà un an, l’actrice Angelina Jolie annonçait sa décision de subir une double mastectomie pour contrer de sombres statistiques en matière de cancer du sein. Voilà qu’une nouvelle étude vient jeter une douche froide aux partisans de la manœuvre.

Angelina Jolie avait non seulement stupéfait l’industrie et ses fans avec une telle annonce (ses médecins estimaient ses chances de développer un cancer du sein à près de 90 %), mais avait aussi par le fait même lancé un profond débat sur le sujet.

Beaucoup de femmes ont suivi son exemple, et l’opération a gagné en visibilité.

Or, selon une étude de l’Université du Michigan, plusieurs doubles mastectomies seraient pratiquées inutilement. Le problème, c’est que 70 % des femmes qui prennent cette décision n’auraient pas besoin de le faire, même après un diagnostic de cancer du sein qui n’en touche qu’un seul, rapporte Radio-Canada.

« Chez les femmes, c’est apparemment la crainte d’une résurgence de leur cancer qui les conduites à décider d’une mastectomie prophylactique, ce qui est absurde, car le fait d’enlever le sein non malade ne réduit en rien le risque de réapparition de la tumeur dans le sein touché », explique la Dre Sarah Hawley, qui dirige l’étude.

Cette dernière a analysé les dossiers de près de 1500 femmes.

Catégories
Uncategorized

La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

Catégories
Uncategorized

Aucun lien démontré entre la prise de calcium et le risque cardiaque chez la femme

Les femmes qui consomment des suppléments de calcium pour prévenir ou traiter l’ostéoporose ou la détérioration des os ne seraient peut-être pas aussi à risque de troubles cardiovasculaires que le croyaient les spécialistes.

Une nouvelle étude, rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il n’est pas possible actuellement d’établir un lien entre la consommation de calcium et ce type de risque, à la suite des analyses qui s’avèrent inconsistantes.

Ce sont des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (BWH) qui tirent ces conclusions, après avoir analysé le dossier de près de 75 000 femmes sur une période de 24 ans, rien de moins.

« Notre étude possède plusieurs forces comparativement aux études précédentes, notamment le nombre vaste de participantes et la durée du suivi », croit l’auteure de l’étude, Julie Paik.

Cette dernière admet toutefois que d’autres recherches exhaustives du genre seront nécessaires afin d’invalider définitivement le risque associé à la prise de suppléments de calcium chez la femme.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

Catégories
Uncategorized

Certains bienfaits du vin remis en question

Une nouvelle étude remet en question certaines propriétés bienfaitrices du vin alléguées dans de précédentes recherches, rapporte MedicalNewsToday.

Ces nouvelles révélations contradictoires proviennent d’une étude menée par des chercheurs de la Johns Hopkins University School of Medicine, et mettent en doute les impacts du resvératrol, un antioxydant, sur la bonne santé des consommateurs de vin.

Le resvératrol est présumément capable de prévenir les risques de maladie cardiovasculaire, en plus de certains types de cancer. Or, selon le Dr Richard D. Semba qui dirige l’étude en question, rien ne serait certain.

« L’histoire du resvératrol s’annonce comme un autre cas de produit qui reçoit beaucoup d’attention pour des bienfaits sur la santé qui ne résistent pas à l’épreuve du temps », lance le Dr Semba, cinglant.

C’est après avoir observé et analysé 783 sujets féminins et masculins âgés de plus de 65 ans que les chercheurs ont pu constater les effets limités du vin et du resvératrol sur la santé.

L’étude propose donc une nouvelle réflexion et invalide toute « certitude » concernant le vin. D’autres recherches seront donc probablement conduites afin d’en savoir davantage sur le sujet.

Les conclusions du Dr Semba et de son équipe ont été publiées dans le JAMA Internal Medicine.

Catégories
Uncategorized

Une étude établit un lien réel entre le téléphone et le risque de tumeur

Les téléphones intelligents et cellulaires sont soupçonnés depuis longtemps de hausser les risques de développer une tumeur, notamment au cerveau.

Une nouvelle recherche semble vouloir confirmer ces craintes, rapporte Top Santé, alors qu’une étude française propose des statistiques sur le sujet.

Selon la recherche menée par des chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’Université de Bordeaux, les personnes qui utilisent constamment leur téléphone portable pour parler avec leurs proches ou pour affaires seraient effectivement plus à risque. On estime qu’un temps moyen minimum d’utilisation de trente minutes par jour peut constituer un risque bien réel de développer une tumeur cérébrale.

« Le risque de contracter un gliome est multiplié par deux pour les utilisateurs de longue durée d’un portable », estime la Dre Annie Sasco, Galement épidémiologiste.

On suggère donc l’utilisation d’oreillette ou d’un système comme le Bluetooth, d’éviter de téléphoner dans des zones de mauvaise réception ou encore de téléphoner lorsque s’on se déplace à grande vitesse, tous des facteurs qui pourraient contribuer au risque.

Les conclusions des chercheurs européens ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

Catégories
Uncategorized

Quelques bières pour contrer l’arthrite chez la femme

Quelques bières consommées hebdomadairement pourraient s’avérer bénéfiques pour les femmes qui souhaitent ralentir ou réduire le risque de développement de l’arthrite rhumatoïde, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance de Harvard qui suggère les bienfaits de la bière chez la femme et qui en arrive à des conclusions étonnantes.

« La consommation modérée d’alcool à long terme pourrait aider à réduire le développement de l’arthrite rhumatoïde chez la femme », lance le Dr Bing Lu, auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs de l’équipe du Dr Lu, la consommation générale d’alcool, de façon modérée, permettrait une réduction d’environ 21 % des risques d’arthrite chez la femme, alors que la bière porterait la statistique à 30 %.

Attention cependant, on estime une consommation de bière modérée à trois ou quatre consommations par semaine.

L’étude s’étire depuis plusieurs années et se base sur l’analyse des dossiers médicaux de plus de 100 000 infirmières qui se prêtées au jeu et qui devaient répondre à des questions concernant leur santé et leurs habitudes de consommation chaque deux ans.

Les résultats de l’étude du Dr Lu ont été publiés dans l’édition printanière du magazine Arthritis & Rheumatism.

Catégories
Uncategorized

L’OMS s’inquiète grandement de la propagation de poliomyélite

C’est avec grande inquiétude que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce un état d’urgence à grande échelle dans le dossier de la poliomyélite, qui semble prendre de plus en plus d’ampleur.

La poliomyélite, ou « polio », est une maladie ancienne qui reprend de la vigueur depuis quelque temps, notamment dans certains pays comme l’Afghanistan, la Guinée équatoriale, l’Éthiopie, l’Irak, Israël, la Somalie et le Nigeria.

Les « foyers potentiels de pandémie » se retrouveraient du côté du Pakistan, du Cameroun et de la Syrie, selon ce que rapporte Le Devoir.

« Si elle n’est pas contrôlée, la situation pourrait mettre en échec l’éradication globale d’une des maladies les plus graves que l’on puisse empêcher par la vaccination », explique l’OMS par voie de communiqué.

L’Organisation mondiale de la santé presse donc les autorités en place d’y aller de vastes campagnes de vaccination, notamment chez les voyageurs.

La « polio » avait pourtant perdu le combat depuis 1988, avec une baisse des cas de 99 %. L’OMS souhaite donc à tout prix éviter un retour de cette agressive maladie.

Catégories
Uncategorized

Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

Catégories
Uncategorized

Les fibres seraient de précieuses alliées santé à la suite d’une crise cardiaque

Une nouvelle étude vante de nouveau les mérites des fibres sur la santé cardiovasculaire, plus spécialement en ce qui concerne les patients qui ont survécu à une crise cardiaque.

Les chercheurs en tête de l’étude estiment que les patients ayant subi un incident cardiaque qui mangent leur part de fibres par la suite vivent plus longtemps que les autres.

Les fibres les plus bénéfiques seraient par ailleurs celles des grains entiers, que l’on retrouve dans l’avoine et dans certains pains et céréales, révèle l’étude.

Ce constat est le fruit d’une analyse des dossiers de 4000 adultes américains qui ont subi une première crise cardiaque, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’aucune cause à effet ne soit établie, les spécialistes de Harvard derrière la recherche n’hésitent pas à conseiller vivement l’ajout de fibres au régime alimentaire de ce type de patients.

« Les survivants d’une crise cardiaque devraient considérer la consommation de plus de produits à haute teneur en fibres, incluant les grains entiers, les fruits et les légumes », résume le professeur Eric Rimm.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition virtuelle de BMJ.