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L’exposition aux produits chimiques sur les lieux de travail inquiète

Certains spécialistes s’inquiètent de la surexposition aux produits chimiques que doivent vivre plusieurs employés et employeurs sur leur lieu de travail, rapporte Top Santé.

C’est le cas des experts de l’Organisation internationale du travail (OIT), qui y vont d’un plaidoyer au lendemain de la Journée mondiale de la sécurité au travail, et qui publient un rapport sur le phénomène souvent méconnu par plusieurs.

On découvre d’abord dans ce rapport que la plupart des gens sont effectivement exposés à certaines matières chimiques au boulot, et que certains travailleurs se retrouvent plus à risque qu’il n’y parait.

Ce serait le cas des coiffeurs et coiffeuses, des employés de salon de manucure, du personnel de bureau et, bien sûr, des ouvriers.

« Tous les lieux de travail ont recours aux produits chimiques, et de fait, de nombreuses catégories de travailleurs sont potentiellement exposées », mentionne le rapport de l’OIT.

L’Organisation croit que près de 160 millions de personnes développent une maladie quelconque, même non mortelle, en lien avec leur travail annuellement.

On invite donc les travailleurs et employeurs à la prudence, à se renseigner et à trouver des pistes de solution afin de garantir la sécurité des membres de leur équipe.

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La consommation de fer peut augmenterait les risques de maladies cardiaques

Une étude vient renforcer le lien établi entre la consommation de viande rouge et la hausse des risques de maladies cardiaques, rapporte MedicalNewsToday.

Se concentrant sur la consommation de fer, l’étude en provenance de l’Université de l’Indiana trace un parallèle évident entre celle-ci et les risques de décès à la suite d’un problème coronarien ou cardiovasculaire.

On parle même d’un risque accru de 57 % chez les grands consommateurs de viande, rapporte cette même source, alors que l’on peine à établir un tel parallèle avec le fer retrouvé dans les sources végétales.

Il est également étonnant d’apprendre que le fer se stocke dans le corps de telle manière qu’il est presque impossible de l’éliminer. Donner du sang serait l’une des seules options possibles. La consommation de café pourrait cependant empêcher ou ralentir l’absorption du fer dans le sang.

L’étude confirme donc une nouvelle fois que la consommation de viande rouge doit être modérée, et qu’il est préférable de se tourner vers des options végétales dans les choix alimentaires

Cette nouvelle étude a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Une variante génétique vulnérable aux viandes transformées

De nombreuses études ont confirmé certains dangers pour la santé liés à la consommation de viandes transformées. On sait maintenant qu’il est important de limiter l’achat et la consommation de ces produits usinés, même s’ils se retrouvent souvent partout et dans un grand nombre d’options au supermarché.

Cependant, certaines personnes mangent littéralement ce qu’elles veulent au cours de leur vie et ne semblent pas trop en souffrir.

Une nouvelle étude jette un peu de lumière sur ce phénomène, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs de la Cancer Research Center’s Public Health Sciences Division viennent de lier une variante génétique à une vulnérabilité accrue aux viandes transformées.

Cette vulnérabilité fait augmenter les risques de cancer colorectal chez les consommateurs de viandes transformées, s’accordent pour dire les spécialistes.

La variante rs4143094 serait observable chez au moins une personne sur trois, selon la Dre Jane Figueiredo, qui présente l’étude.

« Nos résultats, si reproduits dans d’autres études, pourraient procurer une meilleure compréhension de la biologie du carcinogène colorectal. La possibilité que des variantes génétiques puissent modifier le risque individuel d’une maladie basé sur le régime alimentaire n’a pas encore été étudiée de façon concrète, mais représente une information importante dans le développement de certaines maladies », explique Dre Figueiredo.

Une étude intéressante qui pave la voie à de nouvelles découvertes, en somme. Les résultats ont été publiés dans la revue PLOS Genetics.

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Le revers de la médaille du surpoids

Le surpoids, voire l’obésité, est-il une condition qui permettrait d’augmenter les chances de survie dans certaines situations données?

C’est la question que pose et sur laquelle se penche une nouvelle recherche du Baker IDI Heart and Diabetes Institute, des travaux rapportés par Top Santé.

Le professeur John Dixon dirige la recherche et croit que le surpoids permet en effet de diminuer les risques de décès dans certains cas, une affirmation qui peut sembler plus qu’étonnante.

« Ce phénomène est réel et certifié chez les personnes âgées qui sont protégées par leur surpoids, en particulier celles qui souffrent de maladies graves. Les personnes avec un IMC entre 23 et 33 vivraient plus longtemps que les personnes ayant un IMC dans l’extrémité inférieure du poids normal (entre 18,5 et 23) », affirme le professeur Dixon, citant quelques autres études.

Un autre professeur de l’Université de Melbourne, Joseph Proietto, abonde dans le même sens. Un individu à l’IMC bas a plus de risques de mourir d’une crise cardiaque à cause d’un taux élevé de cholestérol qu’un obèse. Comme son IMC ne révèle pas son taux de cholestérol, il sera probablement moins bien diagnostiqué que l’obèse et donc sûrement pas traité. »

Le phénomène porte même un nom, soit celui du « paradoxe de l’obésité ». Un paradoxe qui pourrait donner de l’espoir à ceux qui souffrent de surpoids, même si cette condition mène souvent en premier lieu à de sérieux problèmes de santé potentiels.

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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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L’utilisation de Viagra pourrait augmenter les risques de cancer de la peau

Les hommes qui consomment du Viagra sur une base régulière pourraient courir davantage de risques de développer un cancer de la peau, selon des informations rapportées par Top Santé.

C’est une nouvelle étude américaine en provenance du Rhode Island qui propose ces conclusions inquiétantes, alors que des chercheurs de l’Université Brown estiment qu’une hausse remarquable des risques de cancer de la peau est observable chez les consommateurs de Viagra.

Un risque qui augmenterait même de 84 %, un nombre qu’on ne peut négliger, chez certains sujets mâles.

« Mais comme nous n’en sommes qu’aux études préliminaires, il est encore trop tôt pour suggérer aux hommes de cesser de prendre du Viagra », mentionne le Dr Abrar Qureshi de l’Université Brown.

L’étude propose cependant des résultats préliminaires inquiétants, obtenus à la suite de l’analyse de 26 000 sujets américains.

D’autres recherches seront effectuées afin de confirmer ces premiers résultats et décider si une campagne d’avertissement doit être lancée par la suite.

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Troubles alimentaires : Les hommes font souvent fi des symptômes

Si les troubles alimentaires peuvent aussi toucher les hommes, il semble que ces derniers s’en préoccupent souvent peu ou pas du tout, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

La recherche en provenance de l’Angleterre analysait 29 femmes et 10 hommes diagnostiqués avec des troubles alimentaires. Du nombre des maladies ou problèmes reconnus comme des troubles alimentaires, on retrouve la boulimie, l’anorexie et la consommation chronique de nourriture (binge eating).

Les hommes sondés par l’étude ont tous affirmé n’avoir reconnu les symptômes de leur problème que très longtemps après leur apparition. L’une des principales raisons qui expliquent le phénomène serait tout bonnement que les hommes croient trop souvent que les troubles alimentaires ne touchent que les femmes.

Les symptômes communs des troubles alimentaires reconnus vont du calcul obsessif des calories à l’entraînement excessif, un comportement de plus en plus répandu chez les hommes.

Les chercheurs britanniques en tête de l’étude appellent la gent masculine à faire preuve de prudence dans ses comportements alimentaires et dans ses activités physiques, et à se renseigner sur le sujet.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine BMJ Open.