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Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

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Pourquoi les femmes sont-elles plus susceptibles de décéder d’un infarctus?

Deux articles publiés successivement, qui se basent sur une étude canadienne, soulèvent en résumé une seule question plutôt inquiétante : les femmes sont-elles plus susceptibles de décéder d’un infarctus que les hommes, et si oui, pourquoi?

D’abord, Le Devoir nous explique que oui, les femmes ont plus de risques de mourir des suites d’un infarctus, et nous apprend que celles-ci attendraient plus longtemps aux urgences que leurs confrères masculins dans une situation similaire.

Le quotidien révèle que les hommes attendraient en moyenne 15 minutes à l’urgence pour subir un électrocardiogramme, alors que le temps d’attente des femmes oscillerait plutôt autour de 21 minutes. La norme pour assurer la sécurité des patients serait pourtant de 10 minutes d’attente avant un électrocardiogramme.

Plusieurs stéréotypes pourraient expliquer le phénomène, par exemple que les femmes se « plaindraient moins » ou ressentiraient peut-être moins de douleur évidente à la poitrine comme les hommes.

Top Santé, du côté de la France, va plus loin en interprétant que plusieurs médecins pourraient confondre les symptômes d’infarctus avec de l’anxiété ou une crise de panique.

Quoi qu’il en soit, il s’agit de révélations coup de poing, non seulement envers les femmes, mais aussi envers tous les patients qui se présentent à l’urgence la peur au cœur.

Ces conclusions sont celles d’une équipe de chercheurs de l’Université McGill à Montréal.

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Garder son téléphone près du lit serait une bien mauvaise idée

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude intéressante sur les impacts et effets sur la santé du simple fait de garder son téléphone cellulaire près de son lit durant la nuit.

Quelques études précédentes avaient déconseillé une telle habitude, expliquant notamment que la luminosité de l’écran pouvait nuire au sommeil et faciliter les problèmes d’insomnie.

Cette nouvelle étude, qui prend la forme d’un sondage, révèle que huit personnes sur dix gardent leur téléphone allumé durant les périodes de sommeil, et que la moitié d’entre nous utilise cet appareil comme réveille-matin.

Un comportement qui nuit gravement au sommeil et à la qualité de ce dernier, s’accordent pour dire plusieurs spécialistes qui commentent l’étude.

D’abord parce que l’émission d’ondes et d’énergie perturbatrice par nos appareils mobiles nous garde en état d’hyper-vigilance, et s’avère susceptible de nuire à la qualité du sommeil.

Des nuits moins réparatrices donc, et souvent moins longues, qui peuvent même mener à de l’insomnie et à d’autres troubles connexes. Des maux de tête, des nausées et des étourdissements peuvent aussi être observables chez ceux qui conservent leur téléphone à portée de main, même la nuit.

L’étude sondage a été réalisée par la firme Ofcom, en Angleterre.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine

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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.

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Une crise de colère augmente les risques de crise cardiaque

Apprendre que le fait de piquer une colère peut causer une crise cardiaque n’est pas une nouvelle qui en surprendra plusieurs, mais il est intéressant de savoir qu’il existe encore un risque accru au cours des heures suivant une colère.

Ces observations sont celles publiées dans une étude en provenance de Harvard (School of Public Health), menée par l’équipe de la Dre Elizabeth Mostofsky.

Cette dernière explique que même si les risques de crise cardiaque causée par un seul épisode isolé de colère demeurent faibles, il est important de savoir que ces risques demeurent plusieurs heures après l’incident. Et plus une personne est colérique, plus elle serait sujette à ce type d’accident cardiovasculaire.

L’arythmie cardiaque peut aussi devenir un problème chez les personnes colériques, et on estime le pic de risque de crise cardiaque à environ deux heures suivant un épisode de colère intense, rapporte The National Library of Medicine.

Dre Mostofsky croit qu’il est somme toute important de questionner les patients sur leurs émotions et leur relation avec la colère, afin de prévenir les risques chez les patients plus colériques ou stressés.

Les observations de l’étude ont été publiées dans l’European Heart Journal.

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Un test qui détermine l’espérance de vie

Si on vous donnait la chance de connaître vos chances de survivre aux cinq prochaines années, voudriez-vous vraiment le savoir?

C’est un peu la question morale qui se pose lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Santé Log, informant qu’un test de « dépistage de l’espérance de vie » pourrait bientôt être développé et mis en marché.

Selon cette source, des chercheurs européens et américains seraient parvenus à créer un test préliminaire capable d’identifier l’espérance de vie au cours des cinq années suivantes, à l’aide de multiples facteurs.

Avec ce test s’effectuant grâce à un prélèvement sanguin et à une analyse des biomarqueurs d’un individu donné, les spécialistes croient être en mesure d’identifier les chances de celui-ci de survivre aux cinq prochaines années.

Les chercheurs semblent satisfaits et un peu surpris du haut taux de succès de ce premier test, qui pourrait mener à de nouvelles façons de faire en médecine et en prévention de certaines maladies et des décès prématurés.

Les conclusions et résultats en lien avec ce test ont été publiés dans le magazine PLoS Medicine.

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L’obésité est maintenant aussi un phénomène européen

L’Amérique du Nord et les États-Unis n’ont plus le « monopole » de l’obésité, semble-t-il, alors que le phénomène semble maintenant s’étendre jusqu’en Europe.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui reprend un rapport de l’OMS sur la santé des Européens et sonne l’alarme alimentaire sur le territoire du vieux continent.

Le rapport de l’OMS parle de « nouvelle norme » en matière de poids pour l’Europe, statuant que le surpoids est maintenant plus une moyenne qu’une exception, à l’image des Américains.

L’alimentation des citoyens des 53 pays analysés ferait très souvent largement défaut, ce qui fait augmenter les statistiques de surpoids chez les plus jeunes. 33 % des jeunes 11 ans seraient près de l’obésité, pour 27 % des adolescents, toujours en Europe.

« L’obésité gagne du terrain pour deux raisons. Un trop peu d’activité physique et une surconsommation de produits riches en sucre, en sel et en graisse. Cette combinaison de facteurs est mortelle, d’autant que le phénomène n’étonne plus », lance la directrice de l’OMS en Europe, Zsuzsanna Jakab.

Outre la sédentarité, il ne faudrait peut-être pas oublier de mentionner le phénomène « d’américanisation » observable un peu partout dans le monde, qui comprend ses avantages, mais aussi ses inconvénients.

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La vitamine E et le sélénium augmenteraient les risques de cancer de la prostate

Des apports trop élevés en vitamine E et en sélénium pourraient être hautement dangereux pour certains hommes, selon ce que rapporte Top Santé.

Ce sont les conclusions proposées dans une étude se basant sur les premiers essais du programme Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial (SELECT) et mettant en doute les bienfaits des suppléments de vitamine E chez certains hommes.

L’étude en provenance du Fred Hutchinson Cancer Research Center avance des chiffres stupéfiants en la matière, considérant que les essais effectués avaient pour but de déterminer la réduction des risques de cancer liée à une prise de suppléments en vitamine E et en sélénium.

Au lieu de cela, on estime une hausse de 91 % des risques de cancer de la prostate chez les hommes consommateurs de suppléments de sélénium. La hausse des risques liée aux suppléments de vitamine E serait quant à elle de 63 %.

« Prendre des suppléments de sélénium sans carence peut devenir toxique. Les hommes qui prennent ce type de suppléments doivent arrêter. Les effets des suppléments simples à forte dose sont imprévisibles, complexes et souvent nuisibles. Les niveaux optimaux sont souvent ceux liés simplement à une alimentation saine », croit l’équipe de chercheurs en tête de l’étude.

Ces inquiétants résultats ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.

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Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.