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L’aîné est plus à risque de maladies cardiaques et de diabète

Les chercheurs ont examiné 50 hommes premiers-nés en surpoids, âgés entre 40 et 50 ans. Ils ont comparé leur indice de masse corporel au deuxième fils de leurs familles. Même s’ils étaient comparables au niveau de la grandeur, les ainés étaient en moyenne plus lourds de 15 livres, avec un IMC plus élevé, augmentant le risque de maladies cardiaques.

De plus, la sensibilité à l’insuline était de 33 % inférieures chez les ainés que chez le 2e fils d’une même famille. En d’autres mots, le pancréas des premiers-nés était plus fragile et sujet à un plus haut risque de développer le diabète de type 2.

Selon Parent Society, la recherche suggère que le métabolisme et la composition du corps s’améliorent avec l’ordre de naissance des enfants. Pourtant, de nombreux facteurs culturels et socioéconomiques indiquent, au contraire, que l’ainé est simplement victime de la maladresse de ses parents.

Ceux-ci leur inculqueraient de mauvaises habitudes alimentaires qui les suivraient jusqu’à l’âge adulte.

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Le traitement précoce de la dépression réduit les risques d’AVC

Il existe un lien connu des spécialistes entre la dépression et un risque accru d’accident cardiovasculaire, rapporte The National Library of Medicine, et une nouvelle étude vient maintenant donner l’espoir de combattre le phénomène.

Ce sont des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, en analysant les impacts de deux types de traitement de la dépression sur la santé cardiovasculaire et les risques d’AVC.

235 personnes ont participé à l’étude, dont la moitié a bénéficié d’un traitement précoce de la dépression composé d’antidépresseurs et de psychothérapie. La deuxième portion du groupe a dû se contenter d’un traitement « standard » choisi par un médecin praticien.

En comparant les résultats après une période de suivi de huit longues années, les chercheurs de l’Indiana ont constaté une baisse significative des risques d’AVC liés à la dépression chez les patients du premier groupe.

« Ultimement, cette ligne de recherche pourrait produire une nouvelle approche en prévention des maladies cardiovasculaires », croit l’auteur de l’étude, Jesse Stewart.

L’étude initiale se voulait davantage une analyse des traitements contre la dépression, mais ses résultats pourraient contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire des patients qui en souffrent, en plus de celle des patients à la santé cardiaque fragile.

Ces résultats sont considérés comme préliminaires, mais ouvrent la porte à de nouvelles révélations et percées en matière de prévention des AVC et des maladies cardiovasculaires.

L’étude de Jesse Stewart a été publiée dans l’édition de janvier du Psychosomatic Medicine.

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Trouble anxieux chez l’enfant, gage de rechutes s’il est mal traité

La recherche a été menée aux États-Unis, sous le titre CAMELS (Child/Adolescent Anxiety Multimodal Extended Long-term Study), auprès de 288 volontaires âgés de 11 à 26 ans.

Les participants ont tous été traités pour troubles anxieux, à la suite d’une évaluation d’un spécialiste de la santé. Les notions de présence de troubles anxieux, de sévérité de l’anxiété et du fonctionnement quotidien global de l’individu ont été analysées.

Les jeunes ont été suivis à l’aide d’une thérapie cognitivo-comportementale, de la médication, une combinaison des deux, ou encore à l’aide d’un placébo. 

Les jeunes ont été réévalués 6 ans après le début des traitements. Si près de la moitié (46,5 %) étaient en rémission, il n’en demeure pas moins que 48 % des participants avaient subi un autre épisode de trouble anxieux nécessitant un traitement, les filles étant deux fois plus à risque de rechute.

Ceux ayant été traités à l’aide de médication étaient également plus à risque de vivre à nouveau de l’anxiété si le traitement n’était pas suffisamment long.

« Ce n’est pas parce qu’un enfant réagit bien à un traitement précoce que notre travail est fini, et que nous pouvons baisser la garde », explique la psychologue Golda Ginsburg, dans des propos rapportés par Top Santé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Jama Psychiatry.

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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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Une carence en vitamine D reliée au risque de prééclampsie sévère

Ce sont les chercheurs de l’Université Pittsburgh Graduate School of Public Health qui font état de cette découverte.

La prééclampsie, rappelle Medical News Today, peut apparaître après la 20e semaine de grossesse ou peu de temps après la naissance. Selon la Preeclampsia Foundation, 5 à 8 % des grossesses sont marquées par cette complication, qui peut mener à la mort dans les cas les plus graves.

Il a déjà été déterminé dans de précédentes recherches qu’une carence en vitamine D pendant la grossesse était souvent garante du diabète de grossesse, de diverses infections, d’accouchement par césarienne et d’un poids sous la moyenne des nouveau-nés.

Lors de cette recherche, les scientifiques ont analysé des échantillons de sang de 700 femmes qui avaient développé ce problème, puis 3000 autres échantillons de femmes qui n’avaient pas subi cette complication.

L’analyse a révélé d’une part que la carence en vitamine D dans les 26 premières semaines de grossesse augmentait de 40 % les risques de prééclampsie. D’autre part, ils ont conclu, comme tous les cas étaient sévères, que la vitamine D n’aurait aucun lien avec la prééclampsie légère.

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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

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Des tomates violettes canadiennes pour lutter contre les troubles cardiaques

Top Santé rapporte une percée toute canadienne en matière de nutrition et de santé cardiovasculaire, alors que des chercheurs ontariens seraient parvenus à créer une nouvelle tomate modifiée capable de faire chuter les risques de troubles cardiaques.

Ces tomates violettes, génétiquement modifiées, sont l’œuvre d’une équipe de chercheurs basée à l’Université de l’Ontario et s’avèrent riches en anthocyanosides.

En recueillant le jus de ces tomates, les chercheurs auraient créé une véritable mixture miracle pour la santé cardiovasculaire, selon les informations dévoilées.

1200 litres de ce jus de tomates canadien seront maintenant acheminés en Angleterre, là ou d’autres spécialistes devront juger de l’effet du produit sur la santé humaine à long terme.

« Nous allons étudier les effets d’un régime riche en anthocyanines sur le cancer, les maladies cardiovasculaires et d’autres maladies chroniques », confirme Jonathan Jones, du Centre John Innes, qui reprend maintenant le flambeau de ces recherches.

On croit que ce nouveau jus de tomates pourrait faire son apparition sur le marché au cours des deux prochaines années, si tout se passe bien.

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Glaucome : Maintenant deux fois moins de chances de perdre la vue

Il semble que les risques de cécité dus au glaucome, un problème de santé qui touche les yeux et qui apparait souvent avec l’âge, ont diminué de moitié au cours de la dernière génération, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance du Minnesota, aux États-Unis, qui dresse ce portrait beaucoup plus optimiste en la matière, et qui fait état de soins de santé qui se seraient globalement et constamment améliorés au cours des dernières années.

Si les statistiques concernant le glaucome et les chances de voir la maladie se développer n’ont pas vraiment bougé, il en va autrement du risque de perdre la vue à la suite de son diagnostic, relèvent les chercheurs en tête de l’étude.

« C’est un testament du talent et des efforts des chercheurs, des physiciens et des autres membres du personnel de santé qui ont travaillé aux soins des yeux au cours de cette période », lance le Dr Arthur Sit, ophtalmologiste à la Clinique Mayo et auteur en chef de l’étude.

Le Dr Sit et son équipe rappellent cependant que la meilleure façon de prévenir des problèmes aux yeux est de consulter le plus régulièrement possible.

Les conclusions de l’étude en question ont été publiées dans le journal Ophtalmology.

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La solitude favoriserait les troubles cardiovasculaires

Le fait d’être seul dans la vie n’est pas uniquement une triste réalité pour bien des gens, mais s’avèrerait également un important facteur de risque pour le cœur, selon les informations rapportées par Top Santé.

C’est la Fédération française de cardiologie qui s’est penchée sur le phénomène, et affirme que la solitude provoque une hausse des risques de maladie cardiovasculaire par deux fois.

Deux fois plus de chances, donc, pour une personne qui vit dans la solitude d’être victime d’un AVC ou d’un trouble cardiaque, mais il y a plus. Selon les chercheurs de la Fédération, la solitude gonfle aussi les statistiques d’obésité, de tabagisme, de stress, et d’hypertension. Ces deux derniers facteurs sont également des causes possibles de troubles cardiovasculaires.

Les gens seuls auraient aussi tendance à se nourrir moins sainement, ce qui ajoute à ce cocktail de risques pour le cœur.

« La prévention cardiaque est très centrée sur la lutte contre l’obésité, le tabac, le cholestérol. En revanche, peu de médecins interrogent leurs patients sur la qualité de leurs interactions sociales, et même s’ils le faisaient, ils ne pourraient pas les prescrire sur ordonnance. Faire du bien à un proche en l’appelant, échanger un simple sourire, exprimer sa reconnaissance à son entourage sont des moyens simples de rompre avec l’isolement. Donner également de son temps peut avoir un impact certain sur la santé mentale, sur l’humeur, et donc préserver le coeur en bonne santé », explique avec justesse le président de la Fédération, M. Claude Le Feuvre.

Une « prescription » fort importante, si l’on considère d’autant plus que les statistiques de solitude grimpent en flèche chez les aînés.

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Commotions cérébrales : un risque accru de décès prématuré

Une nouvelle étude vient jeter de l’huile sur le feu dans le dossier des commotions cérébrales, rapporte Santé Log, et ajoute au sentiment d’urgence dans cette affaire.

En provenance de l’Université d’Oxford et de l’Institut de Karolinska, les données et conclusions proposées révèlent et confirment que les personnes souffrant ou ayant souffert de commotions cérébrales au cours de leur vie sont à risque de voir baisser leur espérance de vie ou d’un décès prématuré, si vous préférez.

On parle d’un risque accru de décès prématuré parfois jusqu’à trois fois plus élevé que chez les autres personnes, selon les cas et leurs gravités, mais on précise que de « légères » commotions peuvent également avoir un impact sur la santé et la longévité, à long terme.

Pire encore, les commotions cérébrales augmenteraient jusqu’à deux fois les risques de suicides chez les sportifs qui en souffrent…

Ces conclusions en rajoutent donc, à l’heure où le débat entourant la violence dans le sport est à son comble, notamment en ce qui concerne le football et le hockey, et tendent à confirmer qu’il est urgent d’agir.