Catégories
Uncategorized

La peur de l’accouchement augmente le risque de dépression post-partum

La recherche a été entreprise auprès de 500 000 mères. Les chercheurs ont déterminé que le taux de dépression suivant la naissance était plus élevé chez les femmes ayant leur premier enfant et chez celles ayant un historique dépressif.

D’autre part, les mères avec un historique de dépression sont 3 fois plus susceptibles de subir un épisode de dépression post-partum. Les autres facteurs en cause les plus préoccupants sont l’accouchement par césarienne, la naissance prématurée et les malformations congénitales chez le bébé.

Comme l’indique The Bump, le baby blues et la dépression post-partum sont deux choses distinctes. La dépression a des symptômes plus sévères, persistants, qui disparaissent rarement sans traitement.

Selon les données, 50 à 80 % des nouvelles mamans souffrent de baby blues. Mais seulement de 10 à 15 % subiront une réelle dépression.  

Les chercheurs de cette étude espèrent que les résultats encourageront les spécialistes de la santé à être plus attentifs aux signes précurseurs lorsque la femme craint l’accouchement. Celles-ci devraient être mieux encadrées avant et après la naissance.

Catégories
Uncategorized

Les avantages et les risques du tourisme médical

Le tourisme médical est une notion de plus en plus réelle et populaire à travers le monde, et se définit par le fait d’effectuer une visite en sol étranger pour recevoir des soins de santé plus adéquats ou plus rapides.

Les CDC américains parlent d’une hausse des cas de citoyens américains qui s’inscrivent dans les cas de tourisme médical, soit maintenant près de 750 000 annuellement. Même chose du côté du Québec, alors que le système de santé ralenti et mal en point donne de plus en plus l’envie à certaines personnes de tenter l’expérience de soins à l’étranger.

Mais si la manœuvre comporte certains avantages incontestables, elle comprend aussi certains risques.

Les CDC mettent d’abord en garde contre les problèmes de communication qui peuvent survenir entre le médecin ou le personnel médical et vous, si vous ne parlez pas la même langue.

Certains pays n’ont pas les mêmes normes de stérilité ou d’hygiène que partout ailleurs, ce qui peut faciliter la transmission de maladies ou le développement d’infections. Même chose pour les stocks de sang, qui sont parfois offerts par des donneurs payés, et non testés de façon systématique.

Les médicaments et traitements approuvés ne sont pas les mêmes partout, un fait qui peut s’avérer un avantage, mais aussi un inconvénient, notamment au niveau des risques et des effets secondaires.

On suggère donc de s’informer massivement sur la destination, les lieux, la langue, le centre médical et les lois auxquels vous devrez faire face une fois en sol étranger, et ne rien laisser au hasard.

Catégories
Uncategorized

Les adolescents avec un poids santé ont moins de risques éventuels de crise cardiaque

La recherche a porté plus particulièrement sur les hommes. L’analyse se base sur 743 498 Suédois. Les chercheurs, Gabriel Hogstrom et Anna et Peter Nordstrom de l’Université Umea, s’entendent pour dire que les risques de crise cardiaque sont plus élevés chez les adolescents en surpoids ou obèses, même s’ils sont en pleine forme.

Les jeunes hommes participants, nés entre 1969 et 1984, étaient tous âgés de 18 ans au moment de leur premier test. On mesurait leur degré de forme physique en 3 étapes lors d’un exercice de vélo sur place. Ceux-ci étaient par la suite suivis pendant environ 34 ans, ou jusqu’au 1er janvier 2011.

 « Le risque cardiaque a été réduit d’environ 35 % parmi les hommes en forme et ceux qui présentaient un poids normal à la fin de leur adolescence », rapporte Peter Nordstrom.

Il s’agit de la première étude qui analyse la corrélation entre la forme physique pendant l’adolescence et les risques de crise cardiaque à l’âge adulte. Les résultats se retrouvent, comme l’indique Science World Report, dans la revue European Heart Journal.

Catégories
Uncategorized

Les bébés nourris à la cuillère plus à risque d’obésité infantile

L’étude, menée par les chercheurs de l’Université Swansea, avait pour objectif la comparaison du style d’alimentation en rapport avec le poids des enfants. Ceux qui étaient nourris à la cuillère par le parent étaient plus enclins à l’obésité que les bébés qui utilisaient eux-mêmes la cuillère ou leurs mains.

L’analyse des habitudes alimentaires de 298 bébés a été effectuée. Lors de la première phase, les chercheurs évaluaient le bébé et la méthode d’introduction de la nourriture solide entre 6 et 12 mois. Les mêmes enfants étaient âgés de 18 à 24 mois dans la seconde phase, où on évaluait le poids et le comportement lors des repas.

Bien que les facteurs tels que l’historique maternel, l’allaitement et le poids à la naissance aient été considérés, les résultats ont tout de même démontré que les bébés qui se nourrissaient eux-mêmes avaient pris l’habitude de cesser de manger à satiété. Quant à ceux nourris à la cuillère, ils avaient tendance à prendre plus de poids, puisqu’ils mangeaient trop.

« Cela indique qu’un bébé est en mesure de gérer son appétit, ce qui pourrait avoir un effet bénéfique à long terme sur son poids et son habitude alimentaire durant toute l’enfance », a indiqué Amy Brown, responsable de la recherche, dans un communiqué.

Science World Report mentionne que l’étude se retrouve dans la revue Pediatric Obesity.

Catégories
Uncategorized

L’allaitement lié à une diminution du risque d’arthrite rhumatoïde

Les résultats fournis par les 7000 femmes de 50 ans et plus, toutes d’origine chinoise, ont démontré que celles qui avaient donné le sein étaient moitié moins susceptibles de développer cette maladie.

Si, au départ, l’allaitement présente surtout des avantages notables pour l’enfant, plus d’une étude se penchent désormais sur les bienfaits octroyés à la mère. L’étude menée par le professeur Peymane Adab en fait ainsi la preuve.

Les données récoltées concernaient entre autres la durée d’allaitement, le nombre de naissances pour chaque femme et la prise de pilule contraceptive. L’âge moyen de la première grossesse se situait à 24 ans, puis le diagnostic d’arthrite rhumatoïde, en moyenne à 47,5 ans. Le nombre de cas diminuait en proportion avec l’augmentation de la durée de l’allaitement.

Des recherches supplémentaires doivent être effectuées. Les détails de l’étude peuvent être consultés dans la revue Rheumatology.

Catégories
Uncategorized

Les conducteurs ne regardent pas la route 10 % du temps

Les National Institutes of Health publient des statistiques éloquentes en matière de sécurité routière, et confirment que les distractions sont si nombreuses au volant que la grande majorité des conducteurs ne regardent plus la route une fois sur dix.

10 % du temps de conduite serait donc accordé à « autre chose » qu’à conduire, selon l’étude proposée, des statistiques démontrées par une équipe de chercheurs des NIH et de Virginia Tech.

Les chercheurs en sont arrivés à cette moyenne après avoir testé des conducteurs au volant sur une période donnée, à l’aide de technologies comme la vidéo et des capteurs sensoriels.

Du nombre des activités préférées des conducteurs, on retrouve le fait de texter, composer un numéro, manipuler divers objets et manger, et cela affecte d’une manière ou d’une autre l’acuité au volant.

On note que les dangers sont plus élevés lorsqu’il s’agit de jeunes conducteurs moins expérimentés, mais les conclusions touchent l’ensemble des automobilistes présents sur les routes, semble-t-il.

Les adolescents ont tout bonnement plus de risques de causer un accident en effectuant les mêmes actions que leurs aînés, en raison d’un manque d’expérience et de routines de conduite moins établies.

Catégories
Uncategorized

Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

Catégories
Uncategorized

La vitamine D est-elle indispensable pour le cerveau?

Alors que plusieurs débats et polémiques fusent concernant la vitamine D et son réel effet sur le corps humain, mais surtout en ce qui concerne les impacts d’une carence sur l’organisme, une nouvelle étude américaine affirme cette fois qu’une telle condition peut s’avérer dangereuse pour la santé cérébrale.

Ainsi, selon une équipe de chercheurs basée à l’Université du Kentucky, des carences en vitamine D pourraient paver la voie aux maladies dégénératives et à la démence, en provoquant certains dommages au cerveau.

Top Santé, qui rapporte ces plus récentes conclusions, rappelle une étude précédente sur le sujet, qui vantait les mérites d’une supplémentation en vitamine D pour éviter de tels dégâts. Or, la promotion des suppléments de vitamine D est précisément au cœur du débat opposant les observateurs et spécialistes du domaine de la santé.

Les chercheurs américains en tête de cette récente étude, par ailleurs étayée par de multiples essais sur des souris, ne vantent pas les mérites des compléments alimentaires, mais prônent plutôt des apports de vitamine D par une alimentation équilibrée, tout simplement.

Ils confirment cependant qu’un manque de cette vitamine peut effectivement mener à une hausse des risques de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui ne sera pas pour rassurer les plus craintifs, qui risquent de bondir vers une boîte… de suppléments.

Catégories
Uncategorized

Mangez des noix, vivez plus longtemps

Une nouvelle étude vient cristalliser l’impact de la consommation de noix sur la santé, rapporte The National Library of Medicine, et affirme qu’il est maintenant possible de tracer un lien direct entre les noix et la longévité

En clair, mangez des noix et vous vivrez plus longtemps, voilà comment on pourrait résumer les conclusions de l’étude proposée par des spécialistes de l’Institut Dana-Farber de Boston.

Pour ces derniers, manger une once de noix par jour, peu importe le type, pourrait signifier un gain moyen en terme de longévité, mais surtout un risque moins grand de mortalité précoce sur une période de trente ans.

« Ceci est une étude observationnelle, alors ce n’est pas absolu en termes de preuves. Mais, des études précédentes suggèrent aussi des bénéfices pour la santé… », résume le Dr Charles Fuchs, de chez Dana-Farber.

Il est vrai que cette étude corrobore toutes les autres sur le sujet, comme quoi il n’existe plus d’excuses pour ne pas se tourner vers les noix dans le choix d’une collation.

Une once de noix, la portion quotidienne recommandée par l’étude, équivaut à une vingtaine d’amandes, entre 15 et 20 cachous, ou encore plus de 30 arachides.

Catégories
Uncategorized

Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.