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Les garçons plus à risque d’être prématurés que les filles

L’étude a été menée par l’équipe dirigée par Dre Joy Lawn, de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, en collaboration avec 50 chercheurs de 35 instituts.

La cause de cette disparité est due au développement intra-utérin plus rapide des fœtus de sexe féminin. « Dans le cycle du développement, les filles sont toujours un peu en avance sur les garçons. Les fillettes marchent avant les garçons, elles parlent avant les garçons, et c’est aussi vrai au niveau du développement dans l’utérus », a rapporté la Dre Lawn au journal Wall Street.

Cependant, selon Science World Report, les chercheurs se demandent encore quelle est la raison qui prédispose les filles à moins de problèmes à la naissance. D’ailleurs, même lorsque les garçons naissent à terme, ils sont plus à risque que les filles de complications, entre autres des troubles infectieux ou la jaunisse.

Plusieurs théories ont été évoquées par les spécialistes, mais l’une d’entre elles prévaut. Selon la Dre Marianne Legato, les chercheurs croient que la femme développe une réponse auto-immune lorsqu’elle porte un garçon. Les tissus mâles causeraient une inflammation au placenta, entraînant un plus faible apport nutritionnel et une diminution de l’oxygène.

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Les quarantenaires qui se mettent à l’exercice intensif doivent demeurer prudents

Le Daily Mail (UK) rapporte la croissance d’un phénomène récent qui peut s’avérer potentiellement dangereux pour certains hommes, en plus de nous apprendre un nouveau terme qui a de quoi faire sourire.

Baptisé MAMIL (Middle-Aged Men In Lycra, ou encore « homme d’âge moyen en lycra »), le phénomène en question décrit ces hommes qui se décident à se mettre à l’exercice de façon intensive et obsessive, passé un certain âge.

Menés par des exemples comme Gordon Ramsay et Hugh Jackman, également mentionnés dans l’article, ces hommes aux bonnes intentions pourraient cependant mettre leur santé et leur vie en péril, selon plusieurs spécialistes et études publiées sur le sujet.

La plus récente parle même de risques accrus de crise cardiaque chez ceux qui en font trop une fois la quarantaine passée, et fait état d’un point de fracture. Ce point, une fois dépassé, n’aide pas davantage à la santé d’un individu, mais pourrait plutôt le mener directement vers certains problèmes de santé.

Si on ne déconseille bien sûr pas l’activité physique aux quarantenaires, les spécialistes tiennent à mettre en garde de façon claire les hommes qui voudraient suivre l’exemple de leurs vedettes préférées, elles-mêmes n’étant d’ailleurs pas à l’abri de ces effets retours.

On suggère de toujours consulter un ou plusieurs spécialistes avant d’opérer un changement de vie radical et soudain, et d’éviter de pousser la machine inutilement lors des entraînements.

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Certaines huiles végétales seraient aussi néfastes pour la santé cardiaque

Coup de théâtre dans le monde de l’alimentation et de la nutrition, alors qu’une nouvelle analyse trace un bilan pas toujours reluisant de certaines huiles végétales en matière de santé cardiaque, rapporte MedicalNewsToday.

La recherche, effectuée et publiée par le CMAJ (Canadian Medical Association Journal), croit que Santé Canada devrait revoir les étiquettes de certaines huiles végétales qui affirment que celles-ci sont bonnes pour la santé du cœur ou encore qu’elles réduisent les taux de cholestérol.

Selon les spécialistes en cause, certaines huiles fortes en oméga-6, mais faibles en oméga-3, n’auraient pas l’impact escompté en matière de santé cardiaque. Ce serait le cas, notamment, de l’huile de maïs et de carthame, dont les effets bienfaiteurs seraient loin d’être vérifiables.

On veut donc, du côté du CMAJ et de certaines universités canadiennes, que Santé Canada révise sa politique d’affichage sur ces produits, en vigueur depuis 2009, et qui permet aux compagnies productrices d’afficher ces prétendues vertus.

On attend maintenant la réponse de Santé Canada à la suite de ces révélations. 

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Les immunosuppresseurs sans danger au premier trimestre de grossesse

La recherche est la première à se pencher sur le sujet. Elle a été menée de front par William Cooper au centre médical de la Venderbilt University.

Il souhaitait mesurer les risques associés à la prise d’immunosuppresseurs chez la femme enceinte souffrant des maladies auto-immunes chroniques suivantes : l’arthrite rhumatoïde et psoriasique, la spondylarthrite ankylosante, le lupus, la sclérodermie et la maladie inflammatoire de l’intestin.

La médication sert à diminuer la réponse immunitaire de la personne et l’expose ainsi plus librement aux virus et bactéries. Mais il semble que le fœtus, lui, ne soit pas concerné, du moins en début de grossesse.

Cooper explique dans la revue Arthritis and Rheumatism : « Cette étude est importante, puisqu’elle touche 4,5 millions de personnes aux États-Unis, incluant nombre de femmes en âge de procréer ». Comme le chercheur le mentionne, beaucoup de femmes tombent enceintes sans même le savoir, et poursuivent donc leur médication.

Les données ont été récoltées à partir de 3 régimes d’assurances (Medicaid, Kaiser Permanente Northern California et Southern California). Ils ont relevé les prescriptions et les dates de grossesses dans 608 cas. Sur ceux-ci, 437 fœtus avaient été mis en contact avec la médication.

Les résultats démontrent que le lien entre les immunosuppresseurs et les complications probables au fœtus n’était pas statistiquement significatif.

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L’acétaminophène et l’alcool ne font vraiment pas bon ménage

On sait depuis longtemps qu’il ne faut pas mélanger médicaments et alcool, la plupart du temps, mais cette règle s’applique également aux médicaments retrouvés en vente libre et qui semblent de prime abord inoffensifs.

Du coup, rapporte The National Library of Medicine, plusieurs personnes consomment régulièrement ou quotidiennement du Tylenol pour de multiples raisons, et boivent tout de même quelques verres d’alcool à l’occasion.

Or, selon une étude récemment publiée, la quantité d’acétaminophène ou d’alcool ingurgitée ne serait pas gage de sécurité. Selon des chercheurs américains, qui présentaient leurs conclusions lors de la rencontre annuelle de l’American Public Health Association à Boston, une posologie normale de Tylenol et une faible quantité d’alcool sont suffisantes pour causer de sérieux problèmes de santé.

Notamment aux reins, rapportent les chercheurs impliqués dans l’étude en question, alors que les risques de déficience ou d’insuffisance rénale augmenteraient de 123 % dans ces circonstances données.

Les chercheurs s’inquiètent d’autant plus que les statistiques de consommation d’acétaminophène et d’antidouleurs sont en hausse depuis quelques années. 

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La carotte et ses nombreuses vertus

À lire la série de bienfaits de la carotte mentionnée dans la liste proposée par Top Santé, il y a de quoi donner envie d’en manger tous les jours.

Car si on connaissait certaines vertus de la carotte, plusieurs autres demeurent inconnus, alors que certains semblaient carrément relever du mythe.

On pense entre autres à cette affirmation qui dit, depuis des lunes, que « la carotte est bonne pour les yeux ». Loin d’être un remède de grand-mère ou un proverbe ancestral, il appert plutôt que la carotte et son précieux bêta-carotène permettraient réellement de protéger les cellules de l’œil et de la rétine.

Il semble que manger des carottes trois ou quatre fois par semaine soit une posologie acceptable pour protéger les yeux, mais aussi pour faire baisser les risques de certains cancers, notamment du poumon, parfois de 40 %!

Dans le cas des accidents vasculaires, la consommation régulière de carottes ferait baisser les risques de 60 % en protégeant les parois des vaisseaux sanguins, notamment grâce aux antioxydants que la carotte contient aussi.

Globalement, la carotte permet donc de ralentir la dégénérescence due à l’âge à plusieurs niveaux, et peut grandement contribuer à une vie en pleine santé.

Elle est également bien sûr fortement conseillée pour les enfants.

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Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes. 

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Les gauchers plus à risque de développer des troubles comme la schizophrénie

Les personnes qui écrivent de la main gauche sont-elles plus à risque de développer certains problèmes de santé mentale ou neurologiques, comme la schizophrénie?

C’est ce qu’avance une nouvelle étude sur le sujet rapportée par Top Santé, qui fait état des variations qui s’opèrent au cerveau des gauchers. Celles-ci pourraient paver la voie au développement de maladies comme la schizophrénie, par exemple.

L’étude américaine, parue dans l’édition d’octobre de SAGE Open, analysait les données et réactions observables chez 107 patients. Elle trace un parallèle entre le fait d’être gaucher et les risques de schizophrénie.

« Le cerveau humain se développe de façon asymétrique, de sorte que certains processus cognitifs surviennent principalement du côté gauche ou droit. Il a été suggéré que les variations de cette latéralité contribuent à certaines formes de maladies mentales, comme la schizophrénie », résument les chercheurs américains.

Seule bonne nouvelle, ces mêmes gauchers seraient moins sujets aux troubles de l’humeur et de la santé psychologique, comme la dépression.

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Les passe-temps et activités physiques simples sont aussi bénéfiques pour votre santé

On vante sans relâche les bienfaits de l’activité et de l’exercice physique, avec raison, mais on oublie souvent l’impact d’une multitude d’autres « petites » activités sur l’organisme et sa santé.

Car après tout, une vie active implique quantité de gestes et d’activités, et ne se limite pas à trois joggings par semaine ou à un entraînement en salle.

C’est précisément ce que rapporte Top Santé, qui fait état d’une nouvelle étude ciblant les impacts des activités dites « non sportives », par exemple les arts visuels (bricolage, peinture, etc.), le fait de jardiner ou encore de simplement laver sa voiture ou faire le ménage.

L’étude suédoise, initialement publiée dans le British Journal of Sports Medicine, a déterminé les effets de ces passe-temps ou activités plus simplistes sur des personnes plus âgées, en analysant les réactions et les taux de mortalité d’un groupe de plus de 4000 personnes, toutes âgées de plus de 60 ans, sur une période de 12 ans.

Les résultats sont clairs : la pratique d’activités non sportives permet de réduire les risques d’infarctus et d’AVC de près du tiers (27 %).

« Une vie quotidienne généralement active, indépendamment du fait de pratiquer ou non de l’exercice régulièrement, est associée à la santé cardiovasculaire et à la longévité à ces âges », résume l’équipe de chercheurs qui dirige les travaux.

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Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.