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Prééclampsie – cause de maladies cardiaques chez les femmes

Selon medpagetoday, il s’agit d’une étude qui a été réalisée en Norvège par le physicien Roly Skjaerven et ses collègues de l’Université de Bergen.

Les résultats démontrent clairement que les femmes ayant été aux prises avec la prééclampsie prénatale (et non postnatale) et n’ayant eu aucun autre enfant sont des sujets fréquents d’AVC. Elles sont également plus à risque de décès.

La recherche a été menée de longue haleine, soumettant les registres de naissance de 836 147 femmes de la Norvège ayant donné naissance à leur premier enfant entre 1967 et 2002. Lors du dernier suivi, en 2009, il s’est avéré que 4,2 % de ces femmes avaient souffert de prééclampsie prénatale.

En plus, parmi ces femmes, 3891 sont décédées de troubles cardiaques, incluant une défaillance du système circulatoire, une crise ischémique ou une maladie cardiovasculaire. Évidemment, il s’agissait principalement de femmes n’ayant eu qu’un seul enfant et ayant eu des troubles prénataux de prééclampsie.

Les mères ayant eu d’autres grossesses par la suite, bizarrement, avaient un taux pratiquement nul de développer des maladies cardiaques plus tard dans leur vie.

Le Dr Skjaerven, à la suite des résultats, affirme que cela aidera grandement à axer les suivis médicaux. « Plutôt que de revoir systématiquement toutes les femmes ayant souffert de prééclampsie et d’effectuer des suivis réguliers, nous devrions considérer celles n’ayant eu qu’une seule grossesse, surtout celles avec prééclampsie prénatale. »

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Grossesse et obésité – une prise en charge médicale adaptée

Une récente étude démontre que de 40 à 45 % des femmes de 25 à 35 ans, soit en âge de procréer, sont obèses en France. Aux États-Unis, c’est le tiers des femmes du même âge qui ont un problème lié à l’obésité.

Or, cela ne veut pas dire que la grossesse doit être évitée. Elle doit cependant être prise en charge adéquatement, puisque les risques inhérents sont plus importants.

Selon la gynécologue Julianne Berdah, de l’Hôpital de la Pitié Salpetrière à Paris, c’est le cas surtout lors d’un indice de masse corporelle (IMC) qui dépasse 35 kg/m2.

Medscape.fr rapporte que les risques « plus élevés d’hypertension, de prééclampsie, d’infections urinaires, de diabète gestationnel, ainsi qu’un risque de fausse couche multiplié par trois » sont les conséquences énumérées par la gynécologue.

D’autre part, il y a également de fortes chances de césarienne, puisque souvent, l’accouchement doit être provoqué.

Finalement, la future mère doit être consciente que l’obésité est aussi reliée à de plus nombreuses malformations foetales.

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L’obésité mettrait en danger le coeur des enfants

Les facteurs de risques menant à des problèmes cardiaques sont la haute pression sanguine, le haut taux de cholestérol et de sucre ainsi que l’épaississement des muscles du coeur.

Avec ces symptômes, le risque de maladie cardiaque augmente de 40 %.

Publiée dans le journal BMJ, l’étude est la preuve évidente pour les experts que l’on doit agir afin de prévenir l’obésité chez les enfants.

« Nous devons vraiment faire quelque chose pour l’obésité infantile dès le plus jeune âge des enfants. […] Nous avons prouvé que l’obésité n’est pas seulement une question d’apparence, mais peut avoir un effet à long terme sur la santé de l’enfant. En n’éradiquant pas complètement le problème, nous pourrions perdre le progrès qui a été fait dans le traitement des maladies cardiaques dans les dernières années », explique la chercheuse en chef derrière cette découverte, Claire Friedman.

Rappelons qu’à l’échelle sociale, plusieurs projets peuvent aider à contrer ce phénomène. Par exemple, une nouvelle étude de faisabilité démontre de façon probante qu’un programme d’intervention auprès des enfants obèses, accessible dans la communauté, faciliterait la perte de poids.

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L’exposition du foetus aux produits chimiques augmente les risques d’obésité

En fait, les femmes enceintes qui sont fortement exposées à des produits chimiques communs dans l’environnement, comme les PFC, auraient des bébés plus petits à la naissance et plus gros à 20 mois, selon une étude de la Rollins School of Public Health de l’Emory University. Les experts croient que cette tendance pourrait mener à l’obésité plus tard dans la vie.

Publiée en ligne dans l’Environmental Health Perspectives, l’étude explique que les PFC que l’on retrouve dans divers produits d’emballage, dans les meubles et dans le matériel de cuisine anti-adhésif ont été recensés dans le lait maternel, le sérum humain et le sang du cordon.

Les résultats de l’étude viennent confirmer ce que d’autres recherches sur l’exposition prénatale aux PFC avaient laissé présager.

« Nos découvertes confirment ces études et les preuves émergentes que les produits chimiques dans notre environnement contribuent à l’obésité et au diabète et démontrent que cette trajectoire est établie très tôt dans la vie des gens exposés », dit la scientifique en chef derrière la recherche, Michele Marcus.

Rappelons que les PFC ne constituent pas seulement un danger pour les bébés. Faire cuire la viande rouge dans des poêles à frire anti-adhésives à de hautes températures augmenterait le risque de développer un cancer de la prostate de 40 % chez les hommes.

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Les avortements à répétition augmenteraient les risques de naissances avant terme

Publiée dans le journal Human Reproduction, l’étude soutient que plus une femme pratique d’interruptions volontaires de grossesse (IVG), plus elle risque de donner naissance à un enfant avant terme.

En fait, les femmes qui ont subi trois avortements ou plus sont susceptibles d’avoir un bébé né avant 28 semaines, soit un bébé très prématuré.

Les chercheurs ont déterminé que sur 1000 femmes n’ayant jamais eu d’avortement, seulement trois bébés seraient susceptibles de naître très prématurément. Sur ces femmes, quatre naissances prématurées auraient lieu chez celles ayant eu un avortement ou plus, six auraient lieu chez les femmes ayant été avortées deux fois et onze auraient lieu pour celles en ayant eu trois ou plus.

Cela inquiète le professeur de médecine néonatale de l’Université de Bristol, Andrew Whitelaw, qui affirme que « la naissance avant 28 semaines expose l’enfant à un risque considérablement accru de décès, de lésions cérébrales et d’invalidité permanente ».

Rappelons que l’avortement répété est en hausse depuis le début des années 2000. Il concerne surtout les femmes de 35 ans et plus.

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Manger des noix durant la grossesse pour éviter l’asthme chez bébé

« Nous avons découvert que la consommation d’arachides et de noix à écailles chez la mère une fois ou plus par semaine durant la grossesse diminuait le risque de maladies allergiques durant l’enfance », écrit Ekaterina Maslova dans le Journal of Allergy and Clinical immunology.

En fait, les enfants des femmes qui mangent des arachides une fois par semaine durant leur grossesse étaient moins susceptibles à 21 % de développer de l’asthme à 18 mois et 33 % moins susceptibles à l’âge de sept ans.

Ces résultats démontrent que les noix ont un effet bénéfique pour le système immunitaire.

Toutefois, les femmes ayant des antécédents familiaux en matière d’allergies violentes ne devraient pas consommer de noix durant leur grossesse, et celles qui ont des doutes sur la question devraient consulter leur médecin.

Rappelons que les noix ont aussi bien d’autres vertus. Une consommation régulière de noix réduit les risques de maladies cardiaques, de certains cancers et de diabète de type 2. Les noix contiennent de bons gras et ne font pas prendre de poids.

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Les enfants uniques plus à risque de devenir obèses

Les enfants uniques seraient en fait deux fois plus susceptibles de devenir obèses que les enfants qui ont des frères et soeurs.

L’étude a évalué l’indice de masse corporelle de 12 700 enfants européens de deux ans jusqu’à neuf ans pour en arriver à cette conclusion.

Selon les chercheurs, ce risque accru pourrait venir du style de vie différent des enfants uniques.

« Les enfants uniques jouent moins dehors, vivent souvent dans des ménages ayant un faible niveau d’éducation et sont plus susceptibles d’avoir des télévisions dans leur chambre », expliquent les auteurs.

Les chercheurs envisagent de mener une seconde étude qui permettra de cibler les causes exactes de ce risque élevé.

Rappelons que l’obésité dérèglerait l’horloge circadienne du corps — reliée aux cycles du sommeil —, entraînant une puberté précoce. L’obésité en début de puberté peut affecter le pancréas, le foie et d’autres glandes endocrines.

Il existe une corrélation entre la puberté précoce et les cancers des organes reproducteurs ainsi que le diabète, entre autres.

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Les enfants obèses plus susceptibles d’avoir des calculs biliaires

Les auteurs de l’étude, publiée dans le Journal of Pediatric Gastroenterology & Nutrition, affirment que les enfants très obèses sont six fois plus à risque d’avoir des calculs biliaires, tandis que les enfants modérément obèses sont quatre fois plus à risque, et que les enfants obèses ont deux fois plus de risques.

Cela a de quoi inquiéter les experts, qui soulignent que ce problème de santé est habituellement décelé chez les adultes plutôt que chez les enfants.

Les calculs biliaires sont des pierres ou des grumeaux qui s’accumulent dans les voies biliaires ou dans la vésicule biliaire.

Ceux qui en souffrent ressentent de la douleur sous les côtes, au côté droit du corps. Ils transpirent, vomissent, ont mal au dos et à l’épaule droite. Ils peuvent même avoir des coliques biliaires, une infection de la vésicule biliaire, une jaunisse et une pancréatite.

Rappelons toutefois que lorsque vient le temps de perdre du poids, il faut être prudent. Certains régimes réduisent la masse osseuse, augmentant donc les risques de fractures et de calculs biliaires.

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Plus de risques d’infections après une césarienne

 

 

En fait, l’étude démontre que 9,6 % des femmes ayant subi une césarienne ont souffert d’infections reliées à la manoeuvre médicale par rapport à 6,6 % chez les femmes ayant subi une hystérectomie.

Les experts s’inquiètent, puisque plus d’une naissance sur quatre entraîne une césarienne. De plus, le fait d’être âgée de moins de 20 ans, d’avoir un surplus de poids et d’être opérée par un jeune médecin augmente les risques.

Toutefois, la plupart de ces infections ne sont pas très graves tandis que seulement 7 % d’entre elles ont nécessité un séjour prolongé à l’hôpital.

L’auteure principale de la recherche, Dr. Catherine Wloch, croit que ces infections, même si elles sont mineures, représentent un fardeau pour le système de santé.

« Les femmes qui développent des infections postnatales sont plus susceptibles de se sentir moins capables de s’occuper de leur bébé et prendront plus de temps à se remettre sur pied après la naissance », ajoute Gail Johnson, duRoyal College of Midwives.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont également plus susceptibles de devenir obèses et de souffrir d’asthme.

 

 

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Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.