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À quel âge les jeunes joueurs de hockey devraient avoir droit aux mises en échec?

Depuis un certain temps, il y a un débat chaud concernant l’âge auquel les jeunes joueurs devraient avoir droit de faire des mises en échec au hockey.

Alors que plusieurs soutiennent que commencer à pratiquer les mises en échec tôt permettrait d’éviter des blessures à long terme, car les enfants apprendraient davantage à développer instinctivement leur capacité à se protéger, une étude de l’Université de l’Alberta affirme le contraire, disant que l’âge précoce ne change rien aux risques de blessures commises par des mises en échec.

Pour prouver leurs dires, les chercheurs ont analysé les taux de blessures de 8000 jeunes joueurs de hockey âgés de 9 à 15 ans. Les enfants ont été divisés en deux groupes. Le premier a joué de 1997 à 2002, et c’est à l’âge de 12 ou 13 ans qu’ils ont fait leurs premières mises en échec. L’autre groupe a joué de 2003 à 2010, et les jeunes ont commencé les mises en échec à 11 ou 12 ans.

Il s’est avéré qu’il n’y avait aucune différence significative en ce qui a trait au nombre de fractures ou de blessures au cou et à la tête parmi les joueurs les plus âgés dans les deux groupes. Tout comme il n’y avait aucune différence parmi les plus jeunes qui n’avaient encore jamais fait de mises en échec.

La seule manière efficace de réduire le risque de blessures pour les jeunes joueurs de hockey serait bien sûr d’interdire les mises en échec, lancent des spécialistes.

L’étude est parue dernièrement dans le Clinical Journal of Sport Medicine.

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Les produits chimiques augmentent les risques d’eczéma

Les phtalates utilisés dans les planchers de vinyles se retrouvent dans l’organisme de toutes les mères, selon une étude du Columbia Center for Children’s Environmental Health rapportée sur Eurekalert.org.

Le produit nocif, appelé BBzP, est utilisé aussi dans les cuirs artificiels et se disperse dans l’air des maisons.

« Malgré que des facteurs héréditaires, des allergènes et l’exposition au tabac soient reconnus pour contribuer à l’eczéma, notre étude est la première qui montre que l’exposition prénatale au BBzB est un facteur de risque », explique l’auteur de la recherche, Allan C. Just.

L’eczéma se caractérise par une peau sèche et rougie dans le visage, sur la tête ou sur les mains et les pieds des tout-petits. C’est une affection désagréable et très commune chez les enfants.

L’étude, effectuée sur des mères et des enfants afro-américains et dominico-américains, a permis de démontrer que les bébés des femmes afro-américaines étaient doublement susceptibles d’avoir de l’eczéma.

Rappelons que les scientifiques prétendent que les femmes enceintes qui prennent des huiles de poisson pendant la grossesse peuvent protéger leur futur bébé de l’eczéma.

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Les traitements contre l’infertilité sans risques de cancer

Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.

En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.

L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.

Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.

Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.

De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.

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Des risques très sous-estimés concernant le cannabis

La majorité des gens croient que fumer du cannabis est moins dommageable pour les poumons que fumer la cigarette. Pourtant, ce serait plutôt le contraire, selon un rapport de la British Lung Foundation.
 
En fait, le cannabis est 20 fois plus susceptible de causer le cancer que le tabac.
 
Des composés cancérigènes de la cigarette se retrouvent aussi dans le cannabis, et même jusqu’à 50 % plus. Un seul joint par jour équivaudrait à fumer 20 cigarettes en terme de dommages pour les poumons.
 
Ces nouvelles données remettent en cause de récentes études qui disaient qu’une consommation occasionnelle de cannabis n’avait pas d’effets néfastes sur la fonction pulmonaire.
 
Par contre, les chercheurs ne remettent pas en question l’usage de la marijuana à des fins thérapeutiques, notamment pour soulager les douleurs. Cette pratique est généralement encadrée par un suivi médical approprié.
 
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Moins de césariennes chez les mères adolescentes

En dépit d’un plus grand risque de complications obstétricales, il y a 82,7 % des jeunes femmes de moins de 16 ans qui donnent naissance naturellement, comparativement à 71,6 % chez les 16-35 ans, révèle une étude l’École de médecine de l’Université de Philadelphie.

Outre l’accouchement par voie vaginale, les mères adolescentes sont plus susceptibles de séjourner plus longtemps à l’hôpital après la naissance, de perdre plus de sang, de donner vie à des bébés prématurés et plus petits, d’être atteintes de prééclampsie et d’avoir un travail plus long.

Les chercheurs ont également remarqué que les jeunes mères réalisaient moins de visites prénatales, et leur première rencontre avec un médecin a souvent lieu vers le quatrième mois, comparativement au deuxième mois pour les femmes plus âgées.

Pour arriver à leurs conclusions, les auteurs de l’étude ont évalué un ensemble de données concernant plus d’un million de grossesses survenues entre 1997 et 2005.

Même si le taux de grossesse chez les adolescentes a diminué au cours des dernières années, les États-Unis détiennent encore l’un des plus hauts taux parmi les pays industrialisés.

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L’accouchement à domicile est-il plus dangereux?

Une étude américaine qui s’est concentrée sur les accouchements à domicile dans l’Oregon pendant une période de cinq ans a permis de constater que les accouchements à domicile ne sont pas dangereux en soi.

Par contre, même si de nombreuses femmes peuvent accoucher à la maison en toute sécurité, celles qui choisissent cette technique doivent reconnaître qu’il y a des risques pouvant être mieux contrôlés en milieu hospitalier.

Entre 2004 et 2008, les données de dossiers médicaux de 223 accouchements à domicile ont permis aux chercheurs de voir que parmi ceux qui ont dû être transportés d’urgence à l’hôpital, huit bébés sont décédés.

Deux de ces derniers se présentaient par le siège, quatre avaient des mères qui souffraient de prééclampsie, et deux sont nés après terme, à 42 semaines.

Sur les huit décès, un enfant avait des malformations congénitales, et toutes les femmes, sauf une, étaient assistées par une sage-femme professionnelle, révèle l’étude présentée à la réunion annuelle du Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG) à San Diego.

Bien que cette méthode représente moins de 1 % de toutes les naissances aux États-Unis, les accouchements à domicile ont augmenté de 29 % entre 2004 et 2009. Les femmes de race blanche seraient plus portées à accoucher chez elles (1 sur 90).

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La fécondation in vitro peut-elle nuire à la santé de bébé?

Est-ce la technique qui peut être remise en cause ou plutôt la possibilité que le spermatozoïde injecté contienne des anomalies?
 
Le professeur Olivennes s’est posé la question. « Il n’est pas exclu que le spermatozoïde injecté soit atteint d’anomalies génétiques non détectées qui seraient à l’origine de malformations, sans que la technique proprement dite soit en cause », cite Le Figaro.
 
Quoi qu’il en soit, une étude australienne parue dans le New England Journal of Medecine a démontré qu’avant qu’ils aient atteint l’âge de 5 ans, près de 10 % des enfants nés par fécondation avec micro-injection (ICSI) reçoivent un diagnostic pour malformation congénitale grave.
 
Pour le Dr Michael Davies, auteur de l’étude, il ne faut pas dramatiser la chose : « Si l’augmentation du risque est importante, ce dernier reste relativement faible dans l’absolu, car les malformations ont touché en fait 7,2 % des enfants nés par FIV et 5,8 % des enfants conçus naturellement ».
 
Pour arriver à ces conclusions, 6163 procréations artificielles obtenues selon 3 techniques différentes (la fécondation in vitro (FIV), la fécondation avec micro-injection (ICSI) et la stimulation ovarienne) ont été comparées à 308 974 grossesses classiques, entre 1986 et 2002.
 
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Perdre du poids réduirait les risques de développer un cancer

Selon une étude publiée dans le Cancer Research, perdre seulement une petite partie de votre poids pourrait réduire de façon significative l’inflammation dans votre corps et ainsi abaisser vos risques de développer différents types de cancer, dont celui du sein.

« Je crois que le principal problème du corps est le poids. Plus une personne a de gras, plus les cellules produiront de l’inflammation. Plus il y aura d’inflammation et plus cette inflammation ira dans le système sanguin », explique la directrice du Prevention Center du Fred Hutchinson Cancer Research Centre de Seattle, Anne McTiernan.

L’étude réalisée sur des femmes en surpoids ne consommant pas d’alcool ou de tabac a révélé que celles ayant perdu du poids durant l’expérience avaient des niveaux d’inflammation nettement inférieurs à celles n’en ayant pas perdu.

Par exemple, les niveaux de protéine C réactive, qui a été liée au cancer du côlon et du poumon, ont diminué de 41,7 % pour le groupe de femmes ayant fait de l’exercice.

Rappelons que l’obésité accroîtrait de plus de 70 % les risques d’avoir un cancer du rein, selon le Cancer Research UK.

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Les femmes prendraient moins de risques en présence d’un bébé

Contrairement aux hommes, qui ne réduisent pas les risques qu’ils prennent en présence d’un bébé, les femmes ont tendance à être significativement plus prudentes en présence d’un poupon ou d’un jeune enfant.

Les chercheurs de l’Université de Warwick et de l’Université de Basel croient que ce pourrait être un exemple de forces évolutives au travail.

« Notre attitude face au risque forme une grande part de notre personnalité et détermine nos gestes dans toutes sortes de domaines », selon le docteur au Département de psychologie de l’Université de Warwick, Thomas Hills.

En fait, les hommes seraient plus compétitifs et rechercheraient plus le risque, alors que la femme chercherait, par instinct maternel, à protéger ses enfants.

Une seconde étude a aussi démontré que les hommes prenaient encore plus de risques lorsqu’ils étaient en équipe avec d’autres hommes.

Cela vient confirmer que les hommes, une fois en couple ou avec une famille, sont moins portés à être en compétition entre eux.

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Le cari bon pour le coeur

Le pontage est effectué afin de permettre à plus de sang de se rendre au coeur. Cependant, le coeur peut être endommagé par l’absence de sang durant l’intervention, ce qui augmente les risques de crise cardiaque.

Or, une étude de la Chiang Mai University en Thaïlande a révélé que le cari agirait contre ces risques.

De plus, la curcumine, les pigments jaunes de l’épice, sont reconnus pour avoir des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.

Des recherches ont suggéré que l’inflammation jouait un rôle important dans le développement de plusieurs maladies, dont les maladies cardiaques. En fait, les consommateurs de curcumine auraient 65 % moins de chances de subir une crise cardiaque.

« La curcumine a été utilisée durant de nombreuses années afin de réduire l’inflammation, la toxicité de l’oxygène et le nombre de radicaux libres dans plusieurs expériences », explique une cardiologue de l’University of Arkansas for Medical Sciences, Jawahar Metha.

Toutefois, la cardiologue spécifie que le cari ne remplace pas la médication. De plus, le cari pourrait avoir des conséquences néfastes sur la santé s’il est pris en trop grande quantité.