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Les noix réduiraient le risque de cancer du sein

Le Nutrition and Cancer nous apprend que les risques de cancer du sein sont significativement réduits si les noix font partie intégrante de l’alimentation.
C’est ce qui a été observé sur des souris génétiquement programmées pour développer un cancer du sein.
 
L’étude a comparé les effets d’une alimentation incluant les noix (l’équivalent de deux onces pour l’humain) et d’une alimentation typique, et ce, dès la conception, pendant le sevrage et dans la nourriture par la suite.
Le groupe de souris ayant consommé des noix avait développé moins de cancers. Le nombre et la taille des tumeurs étaient réellement plus petits que chez le groupe ayant eu une alimentation typique.
 
Les ingrédients des noix auraient influencé l’activité de plusieurs gènes liés au cancer du sein.
 
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Percée technologique pour l’imagerie cardiaque chez les enfants

Selon Science Daily, une étude a été présentée du 14 au 17 juillet à la réunion scientifique annuelle de la Société de tomodensitométrie cardiovasculaire à Denver. Il s’agit d’une percée technologique de l’imagerie coronarienne.

Chez les jeunes enfants, les risques encourus lors de l’imagerie des artères sont très nocifs. « Traditionnellement, les patients qui ont besoin d’imagerie des artères coronaires ont subi un cathétérisme cardiaque, impliquant une forte dose de rayonnement, qui nécessite sédation ou anesthésie pour tous les patients », explique la Dre Kelly Han, cardiologue pédiatrique à Minneapolis.
 
La recherche de Han vise la diminution des risques pour les enfants. Le projet d’étude a débuté en juin 2007 et s’est terminé en 2011. Le nouveau scanneur mis en place dégage infiniment moins de radiation que les 2 générations précédentes (de 4 à 7 fois moins). D’autre part, les enfants âgés de 7 ans et plus n’auront plus besoin de sédatifs.
 
La difficulté habituelle, avec les enfants, est que le cœur bat trop rapidement pour obtenir une image claire. Cette fois-ci, avec la combinaison de médication diminuant le rythme cardiaque et la nouvelle génération de scanneur, les risques sont grandement diminués et les enfants ayant des anomalies coronariennes pourront être détectés beaucoup plus facilement.
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L’allaitement diminue les risques de mort subite du nourrisson

Babycenter.com révèle que l’édition de juillet de la revue Pediatrics contient une nouvelle étude sur la corrélation entre le syndrome de mort subite du nourrisson et l’allaitement. Ainsi, les mères qui donnent le sein à leur enfant, même sur une courte période, réduisent les risques de mort subite.

Ce syndrome, largement étudié à travers les différents corps médicaux et scientifiques, demeure en partie énigmatique.
 
Néanmoins, à la suite de l’analyse de 18 études complètes sur le sujet, le D. Hauck et son équipe ont été en mesure d’établir la relation directe entre l’allaitement et les risques de mort subite du nourrisson. Les éléments contenus dans le lait maternel renforcent naturellement le système immunitaire du bébé.
 
Les données consultées proviennent d’une multitude de pays et comprennent une grande variété de populations et de contextes socioéconomiques. Ce syndrome mystérieux se retrouve en majeure partie chez les bébés de 2 à 4 mois.
 
Ainsi, les spécialistes recommandent fortement que la mère offre le lait maternel jusqu’à 6 mois et, idéalement, fasse ainsi la première année de vie de l’enfant en évitant toute autre sorte de lait. Il va de soi que d’autres facteurs connus, comme la fumée secondaire, les matelas trop mous ou la prématurité, sont à considérer.
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Le mariage réduit les risques de cancer

On ignore exactement pourquoi, mais le mariage réduirait les risques de cancer, selon ce que révèle une étude parue dans le Cancer Epidemiology.
 
Des patients atteints du cancer du côlon ont participé à la recherche et 14 % des personnes qui étaient mariées ont réduit leur risque de mortalité des suites de la maladie.
 
On croit que les personnes mariées seraient plus motivées à récupérer, mais elles recevraient aussi souvent des traitements plus précoces. Un conjoint peut s’avérer être un infirmier informel, mais surtout être d’un grand soutien pendant les traitements de la maladie.
 
« La clé lorsqu’un cancer est détecté est de contrôler la progression de la maladie. Avoir un partenaire aide les patients à prendre des décisions plus rapidement, de sorte que la maladie est traitée plus vite », explique l’auteur de l’étude, Sven Wilson.

La recherche n’a pas examiné si les personnes mariées étaient en meilleure santé que les célibataires, mais dans les cas de cancer, le mariage aide à combattre la maladie.

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Même un demi-verre d’alcool augmente les risques de cancer du sein

Il est reconnu que l’abus d’alcool accroit les risques de développer un cancer. Une étude britannique de l’Université Oxford, effectuée auprès d’un million de femmes, démontre que même en respectant les limites de consommation recommandées, les risques de maladie demeurent présents.
 
En fait, même avec un seul demi-verre de vin par jour, on augmente les risques de cancer du sein de 10 %. Il n’y aurait donc pas de limite sécuritaire.
 
Toutefois, on admet que les risques sont tout de même minimes et que les femmes devraient se fier à leur jugement.

Selon le Daily Mail, celles avec de forts antécédents familiaux de cancer du sein devraient peut-être tourner le dos à l’alcool afin de réduire le plus possible leurs chances de développer la maladie.

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C’est confirmé : la viande rouge augmente les risques de cancer colorectal

Dans le cadre du Continous Update Project, qui a débuté en 2007 et qui compile 749 études sur des liens entre l’alimentation, l’activité physique, le poids et le cancer du côlon, les chercheurs confirment les résultats précédents dans la plus complète des études jusqu’à présent.
 
La consommation de viande rouge augmente les risques de développer un cancer colorectal. On recommande donc de diminuer la consommation de viande rouge et même de se limiter à 500 g par semaine.
 
De plus, le communiqué du Continous Update Project mentionne aussi que l’alcool et un taux de graisse important autour de la taille augmentent les risques de développer la maladie.
 
Toutefois, une alimentation riche en fibres et l’activité physique ont l’effet contraire et font chuter les risques de la maladie.
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Le risque de maladie cardiaque chez l’enfant qui passe la majeure partie de son temps devant un écran

Dès l’âge de 6 ans, un enfant peut développer des problèmes cardiaques et de haute pression à long terme, simplement parce que ses parents lui permettent de passer de trop longues périodes devant un écran.

Le Daily Mail fournit les détails inquiétants de cette recherche, menée de front par le Dr Bamini Gopinath et son équipe à l’Université de Sydney. Les données ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire sur les heures consacrées aux activités telles que les jeux vidéo, la télévision ainsi que l’activité physique et les sorties en plein air.

À la suite de la compilation des données, les scientifiques ont pris des photographies numériques des vaisseaux sanguins rétiniens de chaque enfant et ont calculé leurs dimensions. Les résultats démontraient clairement un rétrécissement associé aux plus férus de l’écran.

La recherche a déterminé qu’en moyenne, un enfant passe 1,9 heure par jour à regarder la télévision ou à jouer sur l’ordinateur, comparativement à 36 minutes d’activité physique quotidienne. Par contre, les enfants qui faisaient une heure d’activité physique par jour obtenaient des résultats beaucoup plus encourageants, puisque leur santé générale s’en trouvait améliorée.

Le Dr Gopinath lance l’avertissement aux parents : « Remplacer une heure par jour de télévision par de l’activité physique pourrait être suffisant pour enrayer les effets néfastes ».

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Des tests génétiques pour dépister les risques de maladies chez les enfants

Les recherches sur la génétique ne cessent de progresser. De plus en plus de parents considèrent les tests de dépistage aux risques potentiels de maladies chez leurs enfants comme un bienfait. Néanmoins, si cela peut sembler rassurant, les pédiatres et psychologues affirment que ces tests comportent des risques.

Selon ce que révèle le journal Pediatrics, certains de ces tests sont vendus directement aux consommateurs par une multitude de compagnies. Les instances professionnelles se rallient contre cette méthode de propagation de l’information. 
 
Les résultats démontrant qu’un enfant est à risque d’une maladie cardiaque peuvent encourager, chez le parent, des méthodes préventives comme l’exercice régulier et une saine alimentation. Cependant, certains tests dépistent des maladies incurables et l’impact psychologique sur les parents peut être dévastateur.
 
Kenneth P. Tercyak, psychologue à la Faculté de médecine de l’Université de Georgetown, est celui qui a mené de front cette étude et est du même avis. « La prudence est de mise quant à la distribution de ces nouveaux tests, surtout parce qu’il s’agit d’informations cruciales sur la santé de nos enfants », dit-il.
 
Les 219 parents qui ont participé à l’étude persistent à croire que les bienfaits surpassent le potentiel impact négatif. Les résultats portaient alors sur l’identification des risques, entre autres, de maladies du côlon, de cancers de la peau et des poumons ou encore de diabète de type 2.
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Messieurs, votre index peut en dire long sur vous

Il semblerait que chez les hommes, un index plus petit, comparativement aux autres doigts, signifierait un taux élevé de testostérone avant la naissance, mais surtout la tendance à prendre des risques dans la vie, soit dans les loisirs, dans la société ou au niveau financier.
 
Ce sont des chercheurs de l’Université Concordia qui se sont penchés sur la question. Par le passé, il avait été établi qu’un taux élevé de testostérone était synonyme d’une plus grande réussite financière.
 
On a voulu évaluer si le taux de testostérone influençait la prise de risques. À la lumière des résultats, publiés dans la revue Personality and Individual Differences, il existe bel et bien un lien entre la testostérone et la tendance à prendre de plus grands risques.
 
De plus, les femmes sont normalement attirées vers les hommes en bonne santé, confiants et fortunés. Tout ceci résulterait d’une exposition à la testostérone avant la naissance.
 
« Plus il y en a dans l’utérus de la mère, plus l’enfant sera plus tard porté à s’exposer au risque sur une patinoire, dans un bar ou sur le parquet de la bourse », mentionnent les auteurs de l’étude.
 
Une exposition à la testostérone avant la naissance influence le développement du cerveau du bébé à naître, mais ralentit également la croissance de l’index comparativement aux autres doigts (exception faite du pouce). Un index moins long serait donc synonyme d’une plus grande réussite.
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L’aspirine peut réduire les risques de cancer du côlon

Après avoir analysé quatre essais cliniques qui se sont échelonnés sur 20 ans auprès de 14 000 personnes, les scientifiques mentionnent qu’une petite dose d’aspirine, soit l’équivalent d’un comprimé ordinaire ou allégé pris quotidiennement, réduit les risques de cancer du côlon de 24 % et les risques d’en mourir de 35 %, rapporte The Lancet.
 
Auparavant, des études affirmaient que 500 mg par jour prévenaient la maladie, mais cette dose comportait trop d’effets secondaires. D’ailleurs, ces derniers (saignements et douleurs à l’estomac) demeurent tout de même inquiétants, voilà pourquoi on recommande aux personnes qui ne sont pas à risque d’avoir un cancer du côlon de s’abstenir de prendre de l’aspirine si c’est seulement à titre préventif.
 
Toutes les personnes devraient consulter leur médecin avant de prendre des comprimés d’aspirine quotidiennement, rappellent les experts.
 
Éventuellement, l’aspirine pourrait mener à de nouvelles thérapies, car on croit qu’elle freine la production d’une enzyme liée aux cancers du sein, de l’estomac de l’œsophage et du côlon.