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Le cancer du sein relié à la pollution automobile

La pollution automobile augmenterait les risques d’un diagnostic de cancer du sein, selon une étude commune des chercheurs des Universités McGill et de Montréal.
 
L’étude, publiée dans le journal Environmental Health Perspectives, démontre que les femmes qui résident en ville, où la circulation automobile est plus intense, ont plus de risques de développer la maladie.
 
Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont utilisé des cartes de la pollution atmosphérique de Montréal émises en 1986 et en 1996 et les ont comparées aux lieux de résidence des femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer du sein et qui ont participé à l’étude entre 1996 et 1997. L’incidence de cancer était nettement supérieure chez les femmes vivant dans les zones les plus polluées.
 
« Nous constatons, depuis quelque temps, que les taux de cancer du sein augmentent. Personne ne sait véritablement pourquoi et seulement un tiers des cas sont associés à des facteurs de risque connus », mentionne le Dr Mark Golberg du CUSM.
 
Toutefois, le Dr Golberg rappelle que ces résultats doivent être considérés avec précaution. L’étude ne dit pas que le dioxyde d’azote produit par les voitures cause le cancer, mais il peut en augmenter les risques.
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Un régime strict deux fois par semaine diminue les risques de cancer du sein

Des chercheurs britanniques affirment que les femmes qui suivent un régime faible en calories deux jours par semaine divisent en deux l’hormone qui cause le cancer du sein.
 
Après avoir examiné 100 femmes en surpoids, les chercheurs ont demandé à la moitié d’entre elles de ne manger que 650 calories deux jours par semaine. Le reste de la semaine, elles pouvaient manger ce qu’elles voulaient. L’autre moitié des femmes a adopté le régime méditerranéen.
 
Chez les deux groupes, les risques de cancer du sein ont été grandement diminués après six mois. Celles qui avaient le régime strict deux fois par semaine ont vu la leptine, une hormone à l’origine du cancer, être diminuée de 40 %. Pour les femmes ayant suivi le régime méditerranéen, ce taux de leptine était à la baisse de 36 %.
 
De plus, chez les deux groupes, le taux d’insuline était réduit jusqu’à 25 % et les protéines inflammatoires jusqu’à 15 %, mentionne l’International Journal of Obesity.
Cette méthode pourrait être une option pour celles qui ne souhaitent pas suivre un régime 7 jours par semaine. En plus de réduire les risques de cancer, cela les aiderait à perdre du poids.
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4 tasses de café par jour réduisent les risques de goutte chez la femme

Boire plus de quatre tasses de café quotidiennement permettrait de réduire de 57 % les risques de souffrir de la goutte chez les femmes.
 
Celles qui boivent de 2 à 4 tasses quotidiennement réduisent de 22 % les risques, alors qu’une tasse diminue l’incidence de 3 % seulement.
 
La goutte affecte habituellement plus les hommes que les femmes et est toujours associée à l’excès de certains aliments et boissons. Elle se produit lorsque l’acide urique n’est pas éliminé correctement par l’organisme.
 
Une attaque peut durer quelques semaines. L’articulation du gros orteil se gonfle et devient si douloureuse que même une feuille posée dessus provoque des douleurs insupportables.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, on s’explique encore mal pourquoi le café a cet effet contre la maladie.
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Les médicaments contre l’insomnie et l’anxiété augmentent les risques de mortalité

Les médicaments contre l’anxiété et l’insomnie augmenteraient de 36 % les risques de mortalité, selon une étude québécoise d’une équipe de chercheurs de l’École de psychologie de l’Université Laval.
 
La Revue canadienne de psychiatrie mentionne que ces médicaments affectent la coordination et la vigilance, augmentant du même coup les risques d’accidents, de chutes ou de fractures chez les personnes âgées et de difficultés respiratoires plus importantes chez les personnes qui ont des problèmes pulmonaires.
 
Les travaux ont été effectués sur 14 000 Canadiens âgés de 18 à 102 ans et suivis de 1994 à 2007.
 
« Les médicaments pour traiter l’insomnie et l’anxiété ne sont pas des bonbons et il ne faut pas croire qu’il est anodin d’en consommer », mentionne la professeure Geneviève Belleville.
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Un faible taux de vitamine D chez les bébés double le risque de schizophrénie plus tard

Les Archives of General Psychiatry publient les résultats de travaux scientifiques du Queensland Bran Institute qui mentionnent que la vitamine D serait liée à la schizophrénie.
 
En fait, les chercheurs ont récolté des échantillons de sang de nouveau-nés et ont comparé leur concentration de vitamine D à celle de bébés ayant développé la schizophrénie plus tard. On remarque qu’un faible taux de vitamine D chez les nouveau-nés double le risque de développer la maladie à l’âge adulte.
 
La vitamine D provient surtout du soleil et est absorbée par la peau, mais certains poissons gras en contiennent également. Elle est importante pour la santé des os et la croissance du cerveau.
 
On constate que les bébés nés en hiver sont également plus susceptibles de devenir schizophrènes plus tard, certainement attribuable au fait que le soleil est plus rare en cette saison froide.
 
Parmi les symptômes de la schizophrénie, on note des délires et le fait d’entendre des voix.
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L’ablation préventive des seins et des ovaires peut éliminer les risques de cancers

Les femmes qui sont prédisposées génétiquement aux cancers du sein ou des ovaires peuvent avoir recours à l’ablation préventive pour augmenter leurs chances de survie.
 
La Dre Virginia Kaklamani et son équipe de l’Université Northwestern ont suivi près de 2 500 femmes pendant 20 ans pour en arriver à ces conclusions.
 
Les femmes qui ont des mutations génétiques aux gènes BRCA1 ou BRCA2 ont de 56 % à 84 % plus de risques de développer un cancer du sein ou des ovaires. Les participantes à l’étude avaient toutes ces variantes génétiques. Celles qui ont subi une ablation préventive des seins ou des ovaires ont éliminé les risques de développer la maladie dans les trois ans de suivi médical, alors que de chez celles qui n’ont pas eu recours à cette intervention, 7 % ont eu un cancer.
 
« C’est la première étude qui prouve que ces interventions chirurgicales préventives prolongent la vie des femmes ayant ces prédispositions génétiques », dit Virginia Kaklamani.
 
Il est donc important, selon le Journal of the American Medical Association, de subir un test génétique lorsqu’il y a des antécédents familiaux de cancers précoces afin de vérifier si nous possédons ces prédispositions au cancer.
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L’allaitement diminue les risques de diabète

L’American Journal of Medicine rapporte une étude disant que l’allaitement offre une protection aux mères contre le diabète de type 2.
 
Après avoir étudié 2 233 femmes de 40 à 78 ans, on conclut que les mères qui ont allaité leur enfant ont deux fois moins de risques de développer le diabète de type 2 que celles qui n’ont pas allaité. Chez les participantes à la recherche, 27 % de celles qui n’ont pas allaité ont développé la maladie quelques années plus tard.
 
L’allaitement favorise la réduction de la masse graisseuse logée autour du ventre, elle qui joue justement un rôle dans le développement de certaines maladies et favorise le diabète de type 2 notamment.
 
Que celles qui ont opté pour le biberon se rassurent, une bonne alimentation et de l’exercice physique régulier garderont le diabète de type 2 à distance également.
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Une basse température augmente les risques d’infarctus

Des chercheurs britanniques ont établi un lien entre le froid et un risque d’infarctus accru.
 
Selon ce que rapporte le British Medical Journal, une diminution d’un seul degré de la température ambiante augmenterait de 2 % les risques de faire un infarctus dans les 28 jours suivants.
 
Ce sont les résultats auxquels parviennent les chercheurs après avoir examiné l’origine de 84 010 cas d’infarctus du myocarde entre janvier 2003 et décembre 2006.
 
Ils ont remarqué qu’une baisse de température était fortement liée à un risque accru d’infarctus.
 
Les plus vulnérables aux effets du froid sont les personnes âgées de 75 à 84 ans souffrant de cardiopathie. Par contre, on affirme que les personnes qui prennent de l’aspirine auraient quant à elles une protection contre ce risque.
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Les grossesses précoces présentent plus de risques pour la mère et le bébé

Les grossesses précoces présentent plus de risques pour la mère et le bébé, rapporte Le Point.
 
Les États-Unis sont les plus touchés par le phénomène, puisque 4 % des adolescentes tombent enceintes entre 15 et 19 ans. En 2006 et 2007, on a enregistré 42,5 accouchements pour 1 000 adolescentes.
 
C’est pour ces grossesses que l’on retrouve le plus haut taux de mortalité maternelle et néonatale. De plus, la majorité du temps, les jeunes mères voient leur vie sociofamiliale se détériorer grandement.
 
Les grossesses précoces comportent de nombreuses complications comme l’hypertension, l’anémie, une infection, des naissances prématurées et des dépressions.
 
On évoque également que les naissances prématurées chez les adolescentes sont souvent dues au fait que les soins prénataux sont inexistants pour la jeune mère. Une récente étude faite auprès de 30 000 femmes de moins de vingt ans, qui ont accouché dans l’État de Washington entre 1995 et 2006, mentionne que le taux des naissances prématurées était de 7 %.
 

Les experts affirment que le manque de soins prénataux multiplie par sept les risques de ne pas mener sa grossesse à terme.

 
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Un test de dépistage prénatal de la trisomie 21 est contesté

De nombreux médecins québécois protestent contre un nouveau test de dépistage prénatal de la trisomie 21 qui est maintenant offert gratuitement dans la région de Québec et le sera éventuellement dans d’autres régions, mentionne Yoopa.
 
Malgré les contestations des médecins envers le ministère, les autorités ont permis ce test qui consiste en deux prises de sang, une entre les 10e et 13e semaines de grossesse et la deuxième entre la 14e et la 16e semaine de grossesse. On devrait détecter ainsi 75 % des cas. Si un test est positif, on doit le confirmer par une amniocentèse.
 
Selon les médecins, il existe toutefois des moyens plus efficaces au privé, notamment avec l’échographie où on évalue la clarté nucale. Cette méthode est grandement utilisée en France et au Danemark et détecte 96 % des cas.
 
Le nouveau test de dépistage donne un taux de faux résultats positifs de 4,8 % et la norme canadienne acceptable est de 3 %. Donc, on craint que cela augmente les amniocentèses chez les femmes ainsi que le nombre de bons bébés que l’on risque de perdre. Les risques de fausse couche après une amniocentèse étant de 0,25 à 0,5 %.
 
Rappelons que plus la femme est âgée lors de sa grossesse, plus elle a de chances d’avoir un bébé trisomique. Ainsi, à 20 ans, les chances d’avoir un enfant ayant une trisomie 21 sont de 1 sur 1 528, mais à 45 ans, les chances sont de 1 sur 28.