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La médication contre le TDAH peut causer des érections douloureuses

C’est la Food and Drug Administration (FDA), agence fédérale aux États-Unis, qui vient de mettre en garde contre le méthylphénidate, un ingrédient qui peut entraîner le priapisme.

Le priapisme est une condition grave qui nécessite un traitement médical urgent. Il s’agit d’une érection prolongée sans stimulation, et qui ne permet pas au pénis de retrouver son état au repos même au-delà de 4 heures.

Le méthylphénidate se retrouve dans la médication administrée aux enfants atteints de TDAH, comme le Ritalin, le Concerta et le Daytrana.

Les dommages aux tissus du pénis peuvent être permanents et entraîner, ironiquement, la dysfonction érectile. La FDA a fait part de cette mise en garde à la suite d’une étude sur les cas de priapisme entre 1997 et 2012.

En tout, 14 cas ont été relevés, dont 12 étaient des enfants de moins de 18 ans, avec une moyenne d’âge de 12 ans. Ils informent néanmoins que 4 des cas soumis ont souffert de priapisme même en retirant la médication.

Selon Science World Report, la FDA demande à ce que les étiquettes de ces médicaments soient modifiées afin d’aviser de cet effet secondaire rare.

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Le Ritalin : Mode d’emploi

Il est maintenant commun d’entendre que les enfants hyperactifs ou ayant des difficultés d’apprentissage sont mis sous médication.

Alors que le débat est encore bien chaud à savoir ce qui est normal ou pas, acceptable ou pas, si la médication est choisie comme solution aux troubles d’un enfant, il est impératif de savoir exactement ce à quoi votre enfant sera exposé.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier une brochure d’information à destination des patients et de leur entourage afin de bien comprendre les médicaments à base de méthylphénidate, utilisés pour traiter les troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus. Cette voie devrait être considérée uniquement lorsque les mesures psychologiques, éducatives, sociales et familiales se sont montrées inefficaces.

Un article du site Top Santé énonce les effets négatifs de la fameuse drogue. En effet, avec la prise de médicament comme le Ritalin, un enfant calme n’équivaut pas forcément à un enfant en santé.

Parmi les effets secondaires indésirables, on retrouve un risque de retard de la croissance, retard de la prise de poids, un risque pour les vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau, d’agitation, de risques d’apparition de tics moteurs et verbaux, d’hallucinations et d’anxiété.

Un contrôle serré de la prise de ces pilules doit être observé, et un suivi auprès du médecin est recommandé tous les 6 mois. Il pourra ainsi s’assurer que l’enfant jouit des bénéfices voulus et qu’il se développe normalement.

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Un traitement contre le déficit d’attention pourrait traiter la dépendance à la cocaïne

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle étude qui abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui affirment toutes que le populaire traitement Ritalin contre le déficit d’attention pourrait également venir en aide à certains toxicomanes.

On parle principalement des personnes souffrant de dépendance à la cocaïne, révèle cette plus récente recherche sur le sujet, puisque le Ritalin permettrait un changement au cerveau qui réduirait certains symptômes liés à cette dépendance.

Par exemple, le traitement permettrait d’améliorer le système de contrôle de soi, en plus de diminuer la férocité de la sensation de manque.

Les chercheurs en tête de cette recherche, basés à l’Icahn School of Medicine at Mount Sinai, rapportent également qu’une seule dose de Ritalin permet de créer des changements observables et significatifs.

« Le Ritalin administré oralement permet d’augmenter les taux de dopamine au cerveau, comme la cocaïne, mais sans les propriétés de dépendance », lance Rita Goldstein, professeure de psychiatrie au Mount Sinai Hospital.

S’il y a donc de l’espoir pour les gens dépendants de cette drogue, on rappelle que plusieurs études ont suggéré l’effet inverse, c’est-à-dire qu’une prise continue de Ritalin chez un jeune individu augmenterait les risques de créer une dépendance à la cocaïne dans le futur. 

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Nouvel avertissement majeur concernant les prescriptions de Ritalin

S’il est un dossier chaud qu’on ne traitera jamais assez, c’est bien celui du Ritalin et des prescriptions à la chaîne qui sortent des cabinets de médecins.

Oui, les médecins sont devenus « Ritalin-happy » depuis quelques années, et le tout frise le scandale. Après plusieurs études sur le sujet, Le Devoir rapporte maintenant un article paru dans le Journal de l’Association médicale canadienne, qui s’adresse directement aux praticiens.

On exhorte de baisser le taux de prescriptions accordées pour le Ritalin et la Dexédrine, notamment et spécialement dans les cas de personnes en pleine santé.

Parce que c’est bien là que le bât blesse… une bonne majorité des gens à qui l’on prescrirait ces médicaments contre le déficit d’attention, par exemple, seraient en parfaite santé.

Ceci vient confirmer que le Ritalin est devenu plus qu’un traitement au Québec, c’est une véritable mode. Plusieurs personnes consomment également du Ritalin qu’ils obtiennent de proches ou sur le marché noir.

Une récente étude dévoilait que plus de 11 % des étudiants universitaires ont recours au Ritalin pour obtenir de meilleures performances lors des examens.

Cynthia Forlini, de l’Université McGill, auteure en chef l’étude, rappelle que les effets positifs de ces traitements sur les gens en santé ne sont pas encore démontrés… au contraire des effets néfastes, qui sont nombreux.

Il s’agit d’un véritable travail de conscientisation publique qui attend le Québec si les autorités veulent améliorer cette situation alarmante.

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La mode est au Ritalin chez les universitaires, ce qui inquiète les autorités

Une tendance déplorable des dernières années dans les écoles du pays, notamment au Québec, est de consommer du Ritalin afin d’être bien prêt et concentré pour ses examens.

L’importance de ne pas « couler » est grande, et la pression de réussir est forte, on le comprend. En associant ce principe au phénomène de la popularité grandissante des médicaments contre les troubles de l’attention comme le Ritalin, vous avez un cocktail potentiellement explosif.

Radio-canada.ca confirme les craintes des autorités, rapportant que des professionnels de la santé d’Halifax ont décidé de bouger dans ce dossier.

Ils lancent donc une alerte s’adressant aux étudiants qui ont développé cette habitude, rappelant que des effets secondaires sont possibles à long terme. La dépendance est aussi fréquente chez les utilisateurs de Ritalin (et d’Aderral), le médicament agissant un peu comme la cocaïne sur l’organisme.

Les autorités de la santé d’Halifax rappellent également que la drogue est trop facilement accessible sur le marché, entre autres à cause des nombreuses ordonnances émises par les praticiens.

Il s’agit d’un dossier qui prend de l’ampleur depuis un bon moment déjà, mais les autorités commencent à peine à parler du problème.

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Le Ritalin ne serait pas dangereux à long terme

Alors que les médecins et les scientifiques en savent beaucoup sur le fonctionnement des médicaments pour contrôler les TDAH et leur efficacité, ils en connaissent peu sur leurs effets à long terme.

Voilà qu’une nouvelle étude du Wake Forest Baptist Medical Center pratiquée sur des singes vient faire la lumière sur les effets à long terme des médicaments tels que le Ritalin ou le méthylphénidate.

Les conclusions publiées en ligne ce mois-ci dans la revue Neuropsychopharmacology révèlent « qu’après un an de traitement médicamenteux, aucun effet à long terme n’a été décelé sur la neurochimie du cerveau, pas de changements dans la structure du cerveau en développement et aucune augmentation de la possibilité d’abuser davantage des drogues plus tard durant l’adolescence ».

Pour en arriver à ces résultats, 16 jeunes singes, dont les âges étaient équivalents à des enfants de 6 à 10 ans, ont participé à l’étude. Huit d’entre eux étaient dans le groupe témoin qui n’a pas reçu de médication, et l’autre moitié a été traitée avec une dose équivalente qu’on donne à l’homme.

L’imagerie du cerveau des primates a été prise en considération pour analyser la chimie et la structure du cerveau, après un an de traitement, soit l’équivalent de 4 ans de traitement chez l’enfant. Aussi, de la cocaïne a été laissée à leur disposition pour voir si les singes traités avec du Ritalin étaient plus susceptibles d’être attirés par la drogue que les autres.

Les chercheurs se disent encouragés et rassurés par ces résultats, d’autant plus qu’une étude similaire, faite en parallèle auprès de singes plus âgés pour voir si des effets pouvaient apparaître beaucoup plus tardivement, a donné les mêmes résultats.

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Le Ritalin peut conduire au suicide

Perte d’appétit, anxiété, dépression, stress, sommeil perturbé, problèmes cardiovasculaires, d’estomac et cutanés, étourdissements, développement de tics et ecchymoses ne sont que quelques différentes avenues qui peuvent attendre les enfants consommant du Ritalin, relate le Daily Mail.

Quoiqu’encore rares, les effets secondaires mortels comme la psychose et les pensées suicidaires sont de plus en plus courants, affirment les spécialistes.

Des chiffres dévoilés au début mai ont démontré que les prescriptions de Ritalin ont quadruplé durant la dernière décennie, passant de 158 000 en 1999 à 661 463 en 2010. Le médicament est de plus en plus prescrit pour lutter contre l’hyperactivité.

Alors que cette médication n’est pas recommandée aux enfants d’âge préscolaire, il a été prouvé que dès l’âge de trois ans, des petits en consomment déjà.

Les spécialistes appellent à la prudence et à la bienveillance des parents, car devant un système de santé lourd où il y a un manque de professionnels et où ces derniers sont débordés, des diagnostics « ignorants » sont facilement donnés pour « régler le problème rapidement ».

« Les enfants qui sont anxieux peuvent être agités et se conduire mal, mais ces symptômes ne doivent pas être confondus avec le TDAH », revendique l’Agence européenne des médicaments. Cette dernière déclare que tous les patients doivent être surveillés pour des symptômes psychiatriques au cours du traitement et devraient être pesés tous les six mois, en lien avec la perte d’appétit.

L’agence a ajouté qu’étant donné le manque d’informations sur les effets à long terme du Ritalin, les enfants devraient arrêter le traitement au moins une fois par an pour voir s’il est encore nécessaire.

Au bout d’un certain temps, le Ritalin ne fait plus son effet, et c’est ainsi que les doses sont sans cesse augmentées et peuvent causer des dommages irréversibles.

Des tests en laboratoire sur des rats ont permis de croire que les enfants sur le Ritalin risquent également d’avoir de graves problèmes de mémoire et de dépression à l’âge adulte.

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Le Ritalin vient-il vraiment en aide à la mémoire des enfants?

De nouvelles recherches avec des singes mettent en lumière la façon dont le méthylphénidate peut affecter l’apprentissage et la mémoire chez les enfants atteints d’un trouble d’hyperactivité avec déficit d’attention.

Ces études ont démontré que l’impulsivité, le comportement (calme) et la concentration pouvaient être améliorés lorsqu’il y avait administration du médicament à faibles doses. Toutefois, il n’y avait aucun impact positif sur la mémoire à court terme.

En fortes doses, la capacité de mémoriser était légèrement meilleure, mais rien de remarquable. En revanche, les singes prenaient le double de temps pour se concentrer et devaient recommencer à plusieurs reprises le test.

Une étude en 1977 avait affirmé qu’une faible dose du médicament dynamisait les performances cognitives des enfants atteints de TDAH. Cependant, une dose plus élevée, même si elle réduisait l’hyperactivité, nuisait également à la performance des enfants à un test de mémoire.

Luis Populin, professeur en neurologie à l’Université de Wisconsin-Madison qui a partagé ses résultats dans le Journal of Cognitive Neuroscience, a voulu pousser davantage ce constat et démontrer à quel point la posologie du médicament avait un impact sur l’être humain.

Des tests sur la mémoire à court terme ont été effectués sur des singes et non sur des enfants qui prenaient le médicament. Cette étude visait à observer combien de temps les singes pouvaient regarder un point central sur un écran sans être déconcentrés par un voyant lumineux qui scintillait sur le côté.

Selon les Centers for Disease Control, près de 5 % des enfants américains prennent des médicaments pour le TDAH.

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Le Ritalin est sans danger

On en parlait ces jours-ci, et c’est maintenant confirmé : il n’est pas dangereux pour la santé de prendre du Ritalin. Une étude parue dans le New England journal of Medicine explique qu’aucun lien n’a pu être établi entre le médicament et des accidents cardio-vasculaires.

On avait pointé du doigt le Ritalin quant à de tels problèmes de santé chez des enfants atteints d’un trouble d’inattention avec hyperactivité (TDAH). Or, les risques apparaissent comme très faibles. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis entérine alors le médicament, et les professionnels de la santé peuvent le prescrire selon l’étiquette du produit.

La FDA a émis ce constat après que les cas de 2,5 millions de personnes aient été suivis. Sur le nombre, seulement sept ont vécu un accident cardiovasculaire considéré comme grave.

En résumé, les recommandations consistent à poursuivre la médication déjà établie par le médecin et de lui poser toutes les questions nécessaires.

De plus, on conseille de consulter un professionnel de la santé dès que l’on ressent une douleur thoracique, un essoufflement ou si l’on perd connaissance – toujours dans le contexte où l’on prend du Ritalin. On fait aussi part à notre médecin de tout effet secondaire qui nous fait douter.

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Un enfant gêné doit-il être soigné?

Des psychologues mettent en garde quant à une tendance qui pourrait comporter des dangers. Il semble que des enfants timides ou repliés sur eux-mêmes courent un risque de recevoir un diagnostic de maladie mentale, lit-on sur Mail Online.

On remet ici en question que des milliers d’enfants prennent du Ritalin. Servant à maîtriser les symptômes du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité, il serait même prescrit à des enfants de moins de six ans.

C’est qu’un enfant qui a souvent des sautes d’humeur ou qui répond aux adultes pourrait se retrouver, selon certains experts, à recevoir un diagnostic de trouble oppositionnel avec provocation.

De plus, certains médecins iraient jusqu’à prescrire des médicaments aussi puissants que le Prozac à des enfants d’âge scolaire.

Ainsi, un enfant qui souffre de timidité pourrait se retrouver avec un diagnostic de trouble d’anxiété sociale, juste parce qu’il est plus effacé que ses camarades. Une dépression pourrait aussi être attribuée à un enfant qui est triste ou qui traverse un deuil.