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5 erreurs à pointer du doigt dans la routine pour aller au lit

Même si vous avez établi des éléments répétitifs pour aider votre bébé à dormir, il se peut que vous ayez encore quelques ajustements à faire. Voici 5 erreurs à ne pas faire, selon Babysleepsite.

Votre routine n’en est pas une. Vous croyez que chaque soir se ressemble, mais en réalité, il manque l’élément clé pour que ce rituel devienne une réelle routine. Commencez par établir une heure précise.

La routine débute trop tard. Trop de parents attendent que leur bébé soit trop fatigué. Apprenez à détecter ces signes et devancez l’heure pour le mettre au lit. Un nourrisson devrait s’endormir en 10 minutes lorsqu’il se couche à temps.

Votre routine est trop complexe. Il se peut que votre rituel soit un peu trop rempli. Le tout-petit doit se détendre. Si vous incluez trop d’éléments différents, vous risquez de le stimuler plutôt que de l’endormir.

La routine est trop longue. Si c’est trop long, vous vous retrouvez à nouveau avec un bébé trop fatigué et irrité. Remarquez le temps que vous prenez et identifiez les signes de fatigue de votre enfant pour vous adapter.

Dodo et amusement ne vont pas ensemble. Bien que vous tentiez de créer un rapprochement avec votre petit amour, le chatouillement, l’amusement, les jouets qui parlent et les rires ne doivent pas faire partir de votre routine pour aller au lit.

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Les jeunes enfants se conforment rapidement aux rituels sociaux

Que ce soit le fait de serrer la main lorsqu’on rencontre quelqu’un ou dire « à vos souhaits » lorsque quelqu’un éternue, ces « rituels » donnent l’impression aux gens d’appartenir à un groupe social ou culturel spécifique.

Les résultats d’une nouvelle recherche, effectuée par Christine Legare à l’Université du Texas à Austin, ont été publiés sur Cognition.

Il est déjà connu que les enfants apprennent beaucoup en imitant les autres. C’est leur façon d’intégrer l’information. L’étude dont il est question, sur la transmission des rituels sociaux, a été menée auprès de 259 enfants âgés de 3 à 6 ans.

Ces enfants visionnaient différentes actions à l’écran. La première action était effectuée par une seule personne. Par la suite, la même action était recréée simultanément par deux personnes. Il a été démontré que dès que les jeunes voyaient une action répétée par plus d’une personne, ils accordaient une grande importance à la recréer de façon identique.

« La raison est simple, lorsque les enfants voient plus d’une personne accomplir la même tâche, et ce, de façon identique, ils l’associent à une convention sociale établie et s’y conforment. Au contraire, lorsqu’une seule personne fait un geste particulier, l’enfant répètera le geste, mais à sa façon », explique Legare.

Ainsi, dès l’âge de 3 ans, l’enfant ressentira le besoin d’appartenir ou de s’identifier à un groupe social ou à une culture précise. Il retiendra donc les comportements qui y sont associés.

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Placentophagie : ces mamans qui mangent leur placenta

Quelques jours après la naissance de leur enfant, des femmes demandent à récupérer cette partie d’elles-mêmes afin de la déguster séchée en gélules ou cuisinée en soupe.

Certains professionnels américains se seraient même spécialisés dans le traitement des placentas, mettant en place des techniques d’encapsulage pour permettre la consommation.

Les mamans soulignent leur volonté de se prémunir contre les maladies, car le placenta est riche en vitamine B12 et en fer, mais aussi d’éviter la dépression post-partum.

Pour la psychanalyste et auteure de De l’exil à l’enfantement, liens racinaires, liens placentaires, Brigitte Mytnik, c’est surtout pour ces mères une manière de faire le deuil de leur grossesse.

« Les mamans ont parfois le sentiment d’être dépossédées de quelque chose. Le placenta ingéré fait alors office de “réappropriation” du corps », déclare-t-elle.

Pathologique vous direz? Sachez que même des hôpitaux américains ont décidé d’établir des directives légalisant la placentophagie pour permettre aux femmes d’être libres de leur corps, mais faire en sorte que le tout soit réalisé dans la plus grande hygiène.

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Son premier pyjama party est très important

Un article paru récemment dans le New York Times fait un survol du pyjama party, une étape à franchir très importante pour les jeunes filles et garçons. 

Premièrement, ce phénomène existerait depuis les années 50 et 60. Il aurait pris naissance dans les banlieues, selon Paula Fass, professeure d’histoire à l’Université de la Californie et éditrice de l’Encyclopedia of Children and Childhood. Cela serait venu du fait que les enfants avaient une chambre à eux pour la première fois.

Il n’existe aucune règle ou guide de survie pour les parents lorsque leur enfant découche pour la première fois. La plus grande inquiétude est qu’il passera la nuit chez des étrangers. Or, il ne faut pas oublier que les enfants savent ce qu’ils veulent.

Malgré tout, le premier pyjama party entraîne toute une gamme d’émotions chez l’enfant : la séparation, dormir dans un endroit méconnu, suivre les règles d’une autre famille. Il est donc important de bien connaître son enfant ainsi que la famille chez qui il se rendra.

Il faut toutefois être attentif si l’enfant n’arrive pas à passer une nuit à l’extérieur de la maison : l’anxiété de la séparation ne constitue pas un trouble du sommeil. De plus, d’autres problèmes peuvent entrer en ligne de compte, tels que l’hyperactivité, le somnambulisme et l’énurésie nocturne.

Finalement, il faut considérer que depuis les années 80, découcher n’est plus un privilège, mais bien un droit, car cela est devenu un véritable rituel de passage de l’enfance.