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Pour perdre du poids, mangez japonais!

Au Japon, il y a un très faible taux d’obésité (3 % chez les femmes), entre autres parce qu’ils consomment des aliments de qualité, mais en petite quantité. Ils mangent modérément et tranquillement tout en dégustant des aliments frais, pour la plupart. Un Nippon saura toujours s’arrêter avant de se sentir gonflé.

Ils n’ont pas peur de concocter des plats faciles avec des aliments frais (fruits, légumes, poisson, riz, végétaux), laissant ainsi de côté le gras, la farine, la cuisine préparée et même l’utilisation du micro-ondes.

Au petit-déjeuner, ils mettent tout leur cœur dans la préparation d’un repas équilibré et soutenant incluant végétaux, riz, soupes (le miso), œufs et thé vert : un essentiel à leurs vies, relate le site Améliore Ta Santé.

Le riz est la base de leur alimentation. Ils mangeront du poisson cru comme le maquereau et le saumon, ainsi que des pâtes. Ce ne sera toutefois pas des spaghettis, mais plutôt de l’udon ou des ramens faibles en glucides.

Ils y mélangeront des antioxydants riches en calcium et protéines tels que le soja et le tofu. Un moyen de remplacer les produits laitiers quasi inexistants dans leur régime.

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La consommation de riz contribue à la bonne santé

Ceux qui aiment bien manger du riz seront certainement ravis de prendre connaissance des conclusions d’une nouvelle étude sur le sujet, alors que les autres voudront peut-être commencer à intégrer l’aliment à leur régime hebdomadaire.

Une nouvelle recherche partiellement fondée par le département de l’agriculture américain semble confirmer plusieurs avantages du riz sur la santé des individus qui le consomment de façon régulière, rapporte MedicalNewsToday.

On mentionne d’abord que le riz permet de maintenir son poids ou d’en perdre plus facilement, en plus de proposer des apports nutritifs non négligeables. Le riz contient notamment du fer, du potassium, du magnésium et des fibres.

De plus, les chercheurs en tête de l’étude estiment que le riz permet l’amélioration de plusieurs marqueurs de santé importants. Choisir le riz permet aussi de réduire les apports en sel, sucre et calories.

En contrepartie, quelques études mettaient récemment en garde les grands consommateurs de riz conter la présence possible, et souvent infime, d’arsenic dans certains produits, mais il semble néanmoins que la situation n’est pour l’instant pas trop alarmante.

Les conclusions de l’étude mentionnée ont été publiées dans le journal Food and Nutrition Sciences.

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Les alternatives au lait traditionnel

Le lait dit « traditionnel », c’est-à-dire qu’il provient d’animaux, se fait des ennemis depuis quelques années, notamment avec la hausse progressive des cas d’allergies alimentaires aux produits laitiers.

Mais plusieurs personnes doutent également des bienfaits véritables du lait sur l’organisme, à tout le moins lorsque consommé en grande quantité. Cette crainte est partagée et alimentée par quelques études publiées sur le sujet au cours des dernières années.

Mais quelles sont les alternatives à ce lait animal? Medical News Today en rapporte quelques-unes, certaines populaires et d’autres plus méconnues.

Du nombre, le lait de soya et d’amandes, le lait de riz et de noix de coco sont probablement les plus connus. Ces laits, qui n’en sont pas, sont vantés pour leurs apports en vitamines et minéraux, et permettent des apports en calcium.

Mais il existe aussi des laits à base de quinoa, d’avoine, de pommes de terre, aux grains entiers et même de tournesol, qui possèdent des avantages évidents pour la santé.

Malgré toutes ces options et les opinions divergentes sur le lait animal, on conseille de consulter un médecin avant d’arrêter définitivement les produits laitiers traditionnels.

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Les niveaux d’arsenic retrouvés dans le riz ne seraient pas alarmants

La FDA américaine revient sur le dossier de l’arsenic et du riz, rapporte The National Library of Medicine, calmant le jeu après une série de dossiers qui avaient de quoi inquiéter la population.

Plusieurs rapports récents faisaient remarquer des taux anormaux d’arsenic contenus dans plusieurs types de riz, un aliment qui connaît un gain de popularité remarquable même en Amérique du Nord, notamment avec plusieurs mets asiatiques devenus de véritables phénomènes sociaux.

La FDA publie maintenant une nouvelle étude sur le sujet et fait remarquer que les taux d’arsenic dans le riz, lorsque présents, ne sont pas assez inquiétants pour que les citoyens s’en préoccupent, du moins à court terme.

Un constat rassurant, qui découle d’une analyse de plus d’un millier d’échantillons de riz et de produits renfermant l’ingrédient.

« Ces données de la FDA sont rassurantes. Bien qu’il y ait présence d’arsenic non organique dans le riz et ses produits dérivés, ça se situe à un niveau qui devrait être sécuritaire pour la consommation à travers la population », analyse le Dr Stephen Daniels, visiblement satisfait de ces résultats.

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L’arsenic dans le riz inquiète toujours les spécialistes

On parlait récemment de cette étude qui rapportait la présence d’arsenic dans certains types de riz, les taux retrouvés variant selon la région géographique où la culture du riz est effectuée.

Voilà maintenant qu’une nouvelle étude, rapportée par Medical News Today, fait état d’une inquiétude marquée et profonde de la part de plusieurs spécialistes concernant ce phénomène, spécialement lorsque la consommation de riz d’un individu est forte.

C’est une équipe de l’Université de Manchester qui tient à prévenir les populations d’un risque sur le plan génétique chez l’homme, un risque directement associé à une consommation massive de riz « contaminé ».

On attribue certaines statistiques alarmantes de cas de cancers dans certaines parties du monde à ce genre de problème alimentaire, et les chercheurs britanniques auteurs de l’étude souhaitent voir une meilleure régulation et supervision de la culture et de la vente du riz partout dans le monde.

Plusieurs autres recherches restent à faire dans ce dossier, qui s’avère très inquiétant, avouons-le.

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La saison estivale, parfaite pour se mettre au riz

Le riz possède de nombreuses qualités alimentaires et nutritives, à un point tel que l’on associe l’aliment à la longévité observée chez plusieurs peuples d’Asie.

On peut l’apprêter de plusieurs façons, et il s’avère aussi savoureux que bon pour l’organisme, spécialement l’été!

Avec la saison estivale qui approche à grands pas, c’est donc le moment idéal d’incorporer le riz dans vos assiettes et celles de votre famille, puisqu’il est facile à concocter, en plus de ses autres avantages.

On note d’ailleurs que la consommation canadienne de riz est passée de 5,9 kg par personne en 2002 à 10,2 kg par personne en 2012 (augmentation de 73 %), selon Statistique Canada.

La montée de popularité des mets asiatiques permet sans aucun doute cette hausse de statistiques, et les Nord-Américains peuvent grandement gagner à découvrir les joies de ce mets, qui propose notamment l’énergie et les glucides nécessaires à l’organisme.

Pour ceux qui suivent des régimes sans gluten ou qui ont des restrictions alimentaires, on suggère simplement le riz sans gluten, offert dans plusieurs magasins et épiceries.

Pour terminer, découvrez les nombreuses recettes incorporant le riz et faites d’une pierre deux coups en améliorant votre santé et en apprenant de nouveaux trucs culinaires!

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Le plomb contenu dans le riz pourrait être dommageable pour les enfants

Des experts américains ont analysé de nombreux échantillons de riz provenant de différents pays et y ont détecté des taux de plomb dépassant largement la limite jugée acceptable, ce qui pose un risque pour la santé, particulièrement pour les enfants.

Le plus haut taux de plomb se trouvait dans des échantillons de la Chine et de Taiwan, mais des niveaux inquiétants ont également été détectés dans des échantillons provenant de la République tchèque, du Bhoutan, de l’Italie, de l’Inde et de la Thaïlande. Les chercheurs sont encore en train d’analyser du riz provenant du Pakistan et du Brésil.

Le niveau de plomb dans le riz était de 30 à 60 fois plus élevé que la limite acceptable pour les enfants, a révélé la FDA.

« Ces données sont particulièrement inquiétantes pour les bébés et les enfants, qui sont très vulnérables aux effets de l’empoisonnement au plomb », a indiqué l’auteur de l’étude, le Dr Tsanangurayi Tongesayi.

Le plomb s’accumule lentement dans l’organisme et est lié à un QI réduit ainsi qu’à des problèmes de comportement chez les enfants, selon The Telegraph.

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Des grains moins connus pour briser la monotonie alimentaire

Amateurs de grains, de grains entiers et de nourriture saine, vous faites peut-être partie des gens qui en ont un brin assez de toujours manger le même type d’aliments

L’Academy of Nutrition and Dietetics s’est penchée sur la question et publie quelques suggestions de solutions de rechange, reprises The National Library of Medicine.

On invite donc la population à découvrir d’autres grains que ceux communément retrouvés dans ses aliments favoris. Du nombre, on propose la graine de quinoa, qui s’avère riche en fer et en magnésium. Il s’agirait d’un bon substitut pour le riz, en plus d’être parfait pour les soupes et salades.

Vient ensuite la graine de sarrasin, qui se prépare un peu de la même façon que le riz. Même son de cloche concernant le millet, une plante aux vertus santé bien connues. Elle peut aussi être utilisée dans la fabrication du pain, tout comme le boulgour, un sous-produit du blé.

On termine avec la farine d’épeautre, une farine qui apporte une saveur de noix délectable et qui renferme beaucoup de protéines, en plus d’être facile à digérer.

Beaucoup d’options s’offrent donc aux gens curieux qui aiment la bonne bouffe et qui cherchent à faire de nouvelles trouvailles.

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Les grains entiers réduisent les risques de prédiabète

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui donne de bonnes notes aux grains entiers en matière de prévention du diabète. Plus précisément, on parle ici de prédiabète, une condition qui se caractérise par une hausse massive des taux de sucre dans le sang et qui précède souvent le diabète.

Les chercheurs suédois en tête de ces recherches ont fait la preuve de cette affirmation en analysant les résultats obtenus sur deux groupes de personnes. Le premier groupe a reçu des doses importantes de grains entiers (50 grammes et plus) durant la période d’essai, et le deuxième groupe en recevait moins de 30 grammes par jour.

Au final, les chercheurs sont convaincus : ajouter des grains entiers à son alimentation peut réduire les risques de prédiabète jusqu’à 27 %.

« Ceci est d’une grande importance, parce que les statistiques concernant le prédiabète sont en hausse. Près d’un quart des gens aux prises avec une condition de prédiabète développeront le diabète dans leur vie », explique Tina Wirström, de l’Hôpital Universitaire Karolinska.

Il appert également que ce « régime de grains entiers » fonctionne mieux chez l’homme que chez la femme, en vertu des résultats obtenus.

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Les suppléments à base de levure de riz rouge : attention

Topsante.com rapporte qu’une alerte a été lancée par plusieurs associations concernant certains suppléments alimentaires à base de levure de riz rouge.

C’est que, selon les experts, la plupart de ces produits ne sont pas seulement « inutiles », mais peuvent également représenter un danger pour l’organisme.

Recommandés pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang, certains de ces suppléments ne contiendraient pas les doses nécessaires de la molécule qui permet de faire baisser ces taux. Le traitement s’avère donc inefficace.

En contrepartie, d’autres compléments du genre (toujours à base de levure de riz rouge) contiendraient des doses trop importantes, représentant ainsi un véritable danger pour le consommateur.

On suggère fortement de consulter son médecin avant d’entreprendre un tel traitement, et les associations (notamment en Europe) veulent que les autorités légifèrent en la matière.

On souhaite que les dangers reliés à ces suppléments soient dévoilés et officialisés, et que les compléments qui ne contiennent pas les doses suffisantes de la molécule monacoline K ne soient plus recommandés comme traitement pour le cholestérol.

Selon les spécialistes, il est important de corriger le tir et de transmettre ces informations au public.