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C’est comme ça que je t’aime : la distribution de la deuxième saison dévoilée

Si comme nous, vous aviez A-DO-RÉ la première saison de C’est comme ça que je t’aime, présentée l’année dernière dans l’extra d’ICI tou.tv, vous serez heureux et heureuse d’apprendre que les tournages de la deuxième saison s’amorcent dès le 13 juin prochain, mais la distribution a également été révélée!

Une belle brochette d’acteurs et d’actrices se joindra à la belle et très efficace distribution de la première saison. C’est Charlotte Le Bon, Steve Laplante, Émilie Bibeau, Michel Laperrière, Marc St-Martin, Mikhaïl Ahooja, Anne-Marie Binette, Gabriel Cloutier Tremblay, Richard Fréchette et Pierre-François Legendre que l’on pourra voir briller dans l’histoire complètement folle qui met en vedette les Delisle et les Paquette.

Crédit:ICI TOU.TV Extra

Ceux et celles qui seront également de retour dans la deuxième saison sont Sophie Desmarais, Mani Soleymanlou, Jean-François Provençal, Mathieu Gosselin, René Richard Cyr, Patrick Drolet, Sébastien Rajotte, Jocelyne Zucco, Chantal Fontaine, Alexandre Goyette, Noémie Leduc-Vaudry, Pierre Limoges, Claude-Michel Bleau, Alexis Lefebvre, Michel Perron, Simon Rousseau, Normand Carrière et Richardson Zéphir. (Yeah!)

La deuxième saison se passera un an après les événements de l’été dernier. Maintenant en 1975, les Delisle et les Paquette vont une fois de plus reconduire leurs enfants au camp de vacances. Les deux clans disposent donc de trois semaines pour reprendre le contrôle de leur empire criminel qui avait été laissé de côté le temps de l’année scolaire. Notre chère Huguette Delisle, jouée par Marilyn Castonguay, est maintenant la nouvelle Caïd de Sainte-Foy. Oui, oui! « Prête à retrouver son oeil du tigre, elle compte doter son organisation d’une approche résolument féministe en cette Année internationale de la femme ».

Fidèle à la première saison (et à leur malchance habituelle), rien ne se passera comme prévu. Huguette, Gaétan (François Létourneau), Serge (Patrice Robitaille) et Micheline (Karine Gonthier-Hyndman) se rendront rapidement compte que leurs aventures de l’été dernier n’ont rien eu de positif sur leurs relations de couple. Ensemble, ils tenteront de défendre leur empire criminel jusqu’à Montréal, mais ils réaliseront vite que les bombes et les armes à feu peuvent enlever la vie, « mais rien n’est plus dangereux qu’un cœur brisé ».

Le synopsis en est un qui promet et qui nous rend franchement impatients quant à la date de sortie officielle.

Encore une fois cette année, c’est François Létourneau qui a écrit la série et la réalisation est confiée à Jean-François Rivard et Robin Aubert.

La deuxième saison de C’est comme ça que je t’aime sera disponible sur ICI tou.tv Extra en 2021-2022.

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Hollywood PQ

Feu vert pour les nouveaux films de Denys Arcand, Robin Aubert et Louise Archambault

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) a annoncé aujourd’hui les 14 longs métrages de fiction qu’elle soutiendra financièrement dans le cadre de son programme d’aide à la production.

On compte entre autres la comédie écrite et réalisée par Denys Arcand, Testament, qui témoignera « d’une époque où rectitude politique, évolution identitaire, protestations en tous genres, scandales culturels, militantisme et autres tempêtes médiatiques » font partie du quotidien, faisant perdre foi en l’humanité à un homme âgé, forcé de trouver de nouveaux repères.

Robin Aubert a quant à lui obtenu le financement pour Tu ne sauras jamais, un drame qu’il coécrit avec Julie Roy et qui portera sur un homme en fin de vie, isolé dans une chambre d’un CHSLD en pleine pandémie, qui cherchera à retrouver son amoureuse dont il est sans nouvelles et qui loge dans le même établissement que lui.

Louise Archambault pourra, de son côté, réaliser la comédie dramatique Le temps d’un été écrite par Marie Vien, un film qui porte sur un curé qui fréquente les sans-abri de la métropole, alors qu’il est à l’aube de devoir fermer son église. Comme un coup de main du seigneur, le destin lui fera hériter d’une propriété où il pourra amener des itinérants, qui devront, eux aussi, faire face aux locaux et à « leur propre vérité ».

India Desjardins signe son premier scénario — excepté bien sûr les adaptations cinématographiques de ses romans Aurélie Laflamme — avec la comédie romantique 23 décembre, qui sera réalisée par Miryam Bouchard. Ce film de Noël a de quoi particulièrement attirer notre attention, surtout après la sortie de l’essai Mister Big ou la glorification des amours toxiques, qui se penche notamment sur les modèles plutôt négatifs qu’ont pu nous transmettre nos comédies romantiques favorites.

Sophie Dupuis a obtenu le financement pour Drag, un drame qui suivra Simon, une étoile montante du monde de la drag à Montréal, alors qu’il tombe amoureux d’Olivier, le petit nouveau du métier avec qui il développera une relation toxique. En même temps, il renouera avec sa mère, de retour au pays après plus d’une décennie ailleurs… et touchera le fond.

Anne Émond réalisera de son côté La meute, un drame adapté de la pièce éponyme de Catherine-Anne Toupin, qui signera le scénario. L’histoire porte sur Sophie, une femme traumatisée qui se retrouve dans un Airbnb pour fuir sa réalité. C’est là qu’elle fera la connaissance de Martin et de Louise, avec qui elle partagera des soirées arrosées et une complicité grandissante. Mais si elle n’avait pas atterri là par hasard…?

Francis Leclerc a reçu le feu vert pour son film Le plongeur, coécrit avec Éric K. Boulianne et adapté du roman éponyme de Stéphane Larue. L’histoire nous conduira dans « un monde où le sommeil est rare, où les amitiés sont éphémères et où les tentations sont nombreuses », alors qu’un étudiant en graphisme dépendant aux jeux d’argent obtiendra un boulot de plongeur dans le monde de la restauration, où il découvrira un rythme de vie effréné.

Stéphane Lafleur réalisera Viking, une comédie de science-fiction coécrite avec Éric K. Boulianne qui racontera l’histoire d’un professeur d’éducation physique qui a toujours rêvé d’être astronaute et qui se retrouvera à faire partie d’une mission sur Mars où il devra « anticiper les réactions des vrais astronautes confrontés à divers problèmes interpersonnels ». Mais ce travail lui offrira également des révélations sur lui-même.

Kanaval d’Henri PardoPas d’chicane dans ma cabane! de Sandrine Brodeur-Desrosiers, Un goût amer d’éternité de Dominique Chila et Samer NajariLa mécanique des frontières d’Hubert Caron-GuayLa mort n’existe pas de Félix Dufour-Laperrière et Le dernier repas de Maryse Legagneur sont les autres films qui recevront du financement de la SODEC.

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Cinéma Divertissement

Denys Arcand, Robin Aubert et Francis Leclerc financés par la SODEC

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) vient d’annoncer la liste des 14 longs métrages de fiction qu’elle soutiendra financièrement dans le cadre de son programme d’aide à la production.

Parmi les films choisis, notons entre autres la comédie écrite par Denys Arcand, Testament. Le film raconte les travers d’une époque où rectitude politique, évolution identitaire, protestations en tous genres, scandales culturels, militantisme et autres tempêtes médiatiques forment la toile de fond d’un récit touchant mettant en scène un homme âgé qui, n’ayant plus foi en l’humanité, découvre pourtant de nouveaux repères, et ainsi son bonheur.

De son côté, Robin Aubert obtient un financement pour aller de l’avant avec le film qu’il a co-scénarisé, Tu ne sauras jamais. Le drame racontera l’histoire de Paul Vincent, un vieil homme en fin de vie, enfermé dans sa chambre d’un CHSLD en temps de pandémie COVID-19. L’attente est longue. Le manque d’effectifs se fait sentir. Sans nouvelles de son amoureuse qui vit aussi dans la même résidence, monsieur Vincent mettra tout en œuvre pour la retrouver. Il sait qu’elle est encore en vie. Il doit la rejoindre.

Le cinéaste Francis Leclerc de son côté pourra mettre en chantier son projet Le plongeur. Adapté du roman à succès de Stéphane Larue, le film raconte un monde où le sommeil est rare, où les amitiés sont éphémères et où les tentations sont nombreuses. Stéphane, étudiant en graphisme à la dérive, évite depuis des mois ses amis, ment et s’endette, aspiré par sa dépendance aux loteries vidéo. L’hiver installé, à bout de ressources, il devient plongeur à La Trattoria. Pendant un mois et demi, il enchaînera les quarts de travail de soir et les doubles avec son mentor, Bébert, ogre infatigable au bagou de rappeur, déjà usé par l’alcool et la drogue. On découvre ainsi le train survolté d’un restaurant à l’approche des fêtes et sa galerie mouvante de personnages. C’est en leur bruyante compagnie que, débordé de toutes parts, le plongeur tente de juguler son obsession en traversant comme il peut cette saison chaotique.

Outre ces trois productions attendues, la SODEC finance aussi des projets de Louise Archambault ou d’India Desjardins.

La SODEC a pour mandat de promouvoir et de soutenir le développement des entreprises culturelles au Québec et à l’étranger dans les secteurs du cinéma et de la production télévisuelle, du livre, des métiers d’art, du marché de l’art ainsi que de la musique et des variétés. 

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Hollywood PQ

Des «Beaux malaises» toujours aussi délicieux

C’est cette semaine que commencera enfin Les Beaux malaises 2.0, comédie très attendue cet hiver comme elle fait suite à la série extrêmement appréciée tant du public que des critiques lorsqu’elle a été diffusée de 2014 à 2017. « Pour moi, la boucle était bouclée », a pourtant dit Martin Matte, le créateur de l’émission qui met sa vie en fiction, lors d’une rencontre de presse virtuelle, lundi.

C’est un épisode spécial des Enfants de la télé qui l’aura fait tranquillement changer d’idée. Ça et sa séparation, annoncée l’année de la troisième saison des Beaux malaises. Cette nouvelle réalité dans sa vie l’aura inspiré à revenir au petit écran avec cet angle, les ruptures étant vécues par beaucoup de gens au milieu de la quarantaine, comme lui à ce moment-là. Un sujet presque banal tellement il est commun, mais pourtant si fertile.

La fin du couple de Martin et Julie (jouée par la toujours excellente Julie Le Breton) est centrale à cette nouvelle saison composée de « 10 petits films », comme le dit l’humoriste. Mais il assure que d’autres thèmes seront abordés au fil des épisodes, dont la violence conjugale, l’amour, la sexualité et la maladie, alors que « des scènes importantes » seront axées sur ses amis Patrick (Patrice Robitaille) et Jean-François (Martin Perizzolo) ainsi que sur sa mère (Michèle Deslauriers), qui a l’air de commencer à perdre des bouts, comme on dit, et qui fait de plus en plus penser à un personnage digne de Discussions avec mes parents.

Mais Les Beaux malaises ne vole rien à personne, au contraire. Si on a pu avoir peur d’être déçus par des textes moins délicieux qu’avant, on a vite été convaincus du contraire en visionnant les trois premières demi-heures, toujours aussi bien ficelées que celles des autres saisons. On retrouve très vite les délires qui nous ont séduits avec l’émission de Martin Matte, comme son incompétence à accomplir des travaux manuels, aussi petits et simples soient-ils. C’est cependant la scène finale du premier épisode, qu’on va garder secrète pour vous laisser le plaisir de la découvrir, qui vous fera vraiment vous esclaffer et vous faire dire : « Mautadine que je suis content que ce show soit de retour! »

Briser le quatrième mur et nous gaver de mises en abîme a aussi toujours fait partie des Beaux malaises et on ne perd rien de ces amusantes habitudes, même si la nouvelle saison balance un peu plus vers le drame par moments, tout en restant d’abord et avant tout une comédie. Il y a en effet des scènes plus touchantes, plus humaines, parce qu’après tout on aborde certains sujets difficiles. « Le deuxième épisode est très touchant, très vrai. J’ai pleuré en l’écrivant, j’ai pleuré en le tournant », a d’ailleurs admis l’humoriste. Oui, on trouve toujours des angles comiques, mais chaque scène n’est pas faite pour rire aux éclats.

Celles qui le sont, par contre, visent en plein dans le mille. Il faut dire que Robin Aubert a réalisé cette quatrième saison, alors que c’est Francis Leclerc qui avait fait les trois précédentes. Or, Robin Aubert et Martin Matte se connaissent depuis longtemps, ils ont une grande complicité, partagent le même humour et se taquinent beaucoup, en plus d’avoir une vision semblable de ce qui provoque le rire. Pour l’un, être drôle est presque mathématique, tandis que pour l’autre, c’est quasi chirurgical. On peut donc dire que Les Beaux malaises 2.0 est une science exacte, que leur hypothèse de départ a été prouvée et que l’émission vient avec une méchante belle équipe de chercheurs et de chercheuses!

Crédit:Véro B. pour TVA

Un réalisateur comme Robin Aubert, c’est aussi quelqu’un qui ose contacter Laurence Leboeuf, la conjointe de l’humoriste, pour lui proposer un rôle demandant des scènes d’intimité (qui sont par ailleurs absolument hilarantes de malaises), histoire de respecter les mesures sanitaires, sans avertir Martin Matte. On peut imaginer que l’ambiance sur le plateau était aussi divertissante que les épisodes!

Robin Aubert avait réalisé le pilote il y a sept ans et devait travailler sur l’émission dès le départ, mais il avait choisi à ce moment de se consacrer à sa vie de famille. C’était donc tout naturel de le rattacher au projet maintenant. « On aurait dit qu’il avait toujours été là », a d’ailleurs commenté la production, et c’est l’impression que ça nous laisse aussi comme public.

Aux textes qui « grafignent » avec « bienveillance » et au nouveau réalisateur s’ajoute une distribution solide qui connaît ses personnages. Déjà, sans rien enlever à d’autres, Martin Matte est un meilleur comédien que plusieurs de ses homologues humoristes qui ont mis leur vie en scène, au Québec ou ailleurs. Ensuite, on prend plaisir à retrouver tous les comédiens et comédiennes susmentionnés, en plus d’Emilie Bierre et de Fabien Cloutier. Seul nouveau visage : Édouard Tremblay-Grenier (le fils de Daniel Grenier), qui remplace Charles William Ross dans le rôle de Léo, le fils de Martin et Julie. L’acteur original était simplement trop jeune pour incarner le personnage de 17 ans, mais son successeur fait très bien l’affaire.  

Pas besoin d’une boule de cristal pour deviner que Les Beaux malaises sera à nouveau un phénomène. Suffit de penser à la chanson sur la séparation, vue dans la bande-annonce, qui a déjà été entonnée par les fans alors que le premier épisode n’a pas encore été diffusé. Il n’y a pas à dire, c’est trop pour nous!

Les Beaux malaises 2.0 sera diffusée sur les ondes de TVA les mercredis à 21h à compter du 27 janvier.

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Cinéma

Marc-André Grondin et Robin Aubert séduisent les Américains

Le réalisateur Robin Aubert et l’acteur Marc-André Grondin forment une équipe de choc avec Les Affamés, un film post-apocalyptique québécois qui fait sa marque un peu partout dans le monde.

Cette fois, le Journal de Québec attire notre attention sur des critiques élogieuses du côté des Américains, deux semaines après l’entrée du film sur Netflix.

C’est le cas de Newsweek, notamment, qui parle du « meilleur film de zombie de la décennie » (et aussi du « plus canadien français »!), alors que les critiques compilées sur Rotten Tomatoes permettent au film de Robin Aubert d’obtenir une note supérieure à 90%. 

Un autre beau coup de publicité pour Aubert, Grondin et toute l’équipe de Les Affamés, alors que le film continue de voyager et de faire sa place dans le genre à travers le monde.

Ne cherchez pas Les Affamés sur Netflix Canada pour le moment, il n’y sera disponible que dans plusieurs mois, après que les droits de distribution soient accessibles pour la plate-forme chez nous.

Crédit photo : La Maison de Prod, Christal Films, Téléfilm Canada

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Cinéma

Fabien Cloutier et Monia Chokri fuient les zombies

Les comédiens Fabien Cloutier et Monia Chokri seront les vedettes du film d’horreur québécois Les affamés. 

L’acteur et cinéaste Robin Aubert dirigera le film qui devrait être tourné l’été prochain, nous apprend La Presse.

Fabien Cloutier fait un tabac en ce moment avec son premier one-man-show hilarant Assume. De son côté, Monia Chokri a tourné dans quelques films de Xavier Dolan et pour Denys Arcand.

Les deux vedettes incarneront les habitants d’un village pourchassés par les habitants devenus zombies qui s’attaquent à toutes les personnes de leur environnement, incluant des membres de leurs familles.

Pour Robin Aubert, les zombies sont un prétexte pour mettre en lumière un certain côté obscur de l’être humain : «Ce projet me donne l’occasion de parler de la société, des humains. Pour moi, il n’y a rien de plus épeurant qu’un humain qui perd la boule. Et ça l’est encore plus quand c’est quelqu’un de votre entourage. Si votre frère, votre soeur ou un de vos meilleurs amis perd l’esprit, c’est beaucoup plus troublant de les confronter», affirme le cinéaste au quotidien.

Photo : Facebook

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Cinéma

Amsterdam va clôturer le Festival de cinéma de la ville de Québec

Le Festival de cinéma de la ville de Québec va prendre fin avec la première du film Amsterdam le samedi 28 septembre prochain.

Réalisé par Stefan Miljevic et produit par Antonello Cozzolino et Josée Vallée de la maison de production Attraction Images, selon un scénario de Stefan Miljevic, Louis Champagne et Gabriel Sabourin, Amsterdam met en vedette Gabriel Sabourin, Louis Champagne, Robin Aubert, Suzanne Clément, Fanny Mallette, Marie-Chantal Perron ainsi que Marcel Sabourin.

L’histoire se déroule dans une petite ville forestière comme tant d’autres, alors que trois amis d’enfance décident de se payer une fin de semaine de rêve. En prétextant la tenue de leur voyage de pêche annuel, les trois chums s’éclipsent secrètement à Amsterdam pour un week-end de liberté totale. Au moment du retour, l’un des trois amis manque à l’appel. Commence alors la spirale infernale du mensonge dans laquelle leur amitié et leur apparente vie paisible voleront en éclats.

Amsterdam sortira en salles le 11 octobre. 

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Dévoilement de la distribution du film québécois Ghost(s)

Item 7 a dévoilé ses acteurs pour le film Ghost(s) (titre provisoire). On y retrouvera Michel Côté, Robin Aubert et Antoine Bertrand. Anne Casabonne, Anna Hopkins et Denise Gagnon complètent la distribution.

Il s’agira du nouveau film écrit et réalisé par Stéphane Lapointe (La vie secrète des gens heureux).

On y suivra l’auteur à succès Jacques Wolfe (Michel Côté), qui mène une vie sous haute tension : son succès, son image et son statut dépendent entièrement du maintien d’un grand secret : il n’écrit plus ses romans, il prend le crédit pour un ghost writer.

Alors que « son » dernier opus fait l’objet d’une adaptation cinématographique mettant en vedette l’irrésistible Maria Scheiffer, un nouveau manuscrit doit être livré. Bien que Dany Cabana (Robin Aubert) consente encore une fois à jouer les écrivains cachés, sa situation personnelle et familiale est en pleine détérioration. En fait, c’est une catastrophe.

C’est pendant cette période trouble que Dany découvre les talents d’écrivain de Quentin Wilson (Antoine Bertrand), l’employé de la garderie de son fils, à qui il confiera, à son tour, le rôle d’écrivain fantôme. Le fragile équilibre entre les deux hommes est alors rompu, et Quentin les entraînera jusqu’aux confins de la Louisiane, là où toute vérité n’est pas toujours bonne à dire.

Le tournage s’amorcera en septembre à Montréal et se poursuivra en décembre en Louisiane.

Le film devrait prendre l’affiche l’année prochaine.

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Le film de Robin Aubert en compétition officielle

Le film À l’origine d’un cri de Robin Aubertvient d’obtenir deux nouvelles nominations, nous apprennent Max Filmset TVA Films.

Il sera en compétition officielle au Festival de Valladolid, en Espagne, du 23 au 30 octobre 2010, puis tentera sa chance dans la catégorie International Discovery au Festival de Mannheim-Heidelberg, en Allemagne, du 11 au 21 novembre 2010.

Ce ne sont pas les seuls honneurs que ce dernier film du comédien et réalisateur, présenté récemment en première mondiale au Festival international du film de Toronto, risque d’obtenir.

Il fera de plus partie de la section World Cinema du Festival de Pusan, en Corée, du 7 au 15 octobre 2010. Il sera ensuite au Festival Rendez-vous with Madness de Toronto du 5 au 13 novembre et, finalement, à la 14édition du Cinéma du Québec à Paris, du 22 au 28 novembre.

À l’origine d’un cri de Robin Aubertest à l’affiche dans 22 salles du Québec depuis le 24 septembre.

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Cinéma

De père en flic à l’affiche en juillet

Le prochain film du réalisateur Émile Gaudreault, De père en flic, sortira en salles le 10 juillet prochain.

Le film met en vedette Michel Côté et Louis-José Houde. Ces derniers jouent le père et le fils, policiers incapables de se supporter, qui devront travailler ensemble pour sauver la vie d’un collègue kidnappé par les motards.

Cette comédie policière compte une impressionnante distribution avec, notamment, Rémy Girard, Caroline Dhavernas, Robin Aubert, Patrick Drolet, Luc Senay, Pierre Collin, Jici Lauzon et Jean-Michel Anctil.

Le film est écrit par Émile Gaudreault et Ian Lauzon et est produit par Denise Robert et Daniel Louis, de Cinémaginaire.