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Une équipe de hockey de Chicago a copié le logo du Rocket de Laval!

Michel Laprise, du site Balle Courbe, a déniché une petite perle du côté de Chicago, soit une équipe d’un programme scolaire qui a un logo quasi-identique à celui du Rocket du Laval.

Le nom de cette équipe, les Romans de Chicago, qui a été créé en 2010 et qui regroupe une douzaine d’écoles secondaires (garçons et filles) afin de former différentes catégories.

Voici les logos en question, qui sont carrément identiques, mis à part les couleurs et le nom:

Page Facebook du Romans
Site du Rocket de Laval

La question qui tue: qui a copié qui?

Le club-école des Canadiens de Montréal a dévoilé son logo le 31 janvier 2017.

Dans le cas des Romans, l’organisation scolaire a refait son logo et a changé de nom en août 2017, donc sept mois après l’annonce du logo du Rocket.

Le maillot des Romans a pour sa part été dévoilé en septembre 2017!

Puisqu’il est question d’un copier-coller, c’est impossible de ne pas croire qu’un espion a fouillé le web afin de s’inspirer quelque part!

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Dans les coulisses

Une troisième défaite de suite pour le Rocket

Le Rocket de Laval accueillait les Marlies de Toronto, vendredi soir. La formation de Laval tentait de se venger de la défaite de mercredi soir, subie contre ces mêmes Marlies.

Voici l’alignement du Rocket :

Voici l’alignement des Marlies :

Les Marlies ont commencé en force grâce à un but de Graham Slaggert, qui a tiré de loin pour battre Cayden Primeau. Il s’agissait de son premier but dans une ligue professionnelle.

Laval ne voulait toutefois pas laisser ce match lui filer rapidement entre les mains. Les tirs du Rocket se sont enchaînés et le gardien des Marlies, Dylan Ferguson, a été excellent devant son filet.

C’est finalement une brillante manœuvre de Jesse Ylönen, qui a feinté une passe devant le filet, qui a permis au Rocket de créer l’égalité.

Même si le Rocket travaillait bien en zone adverse, Primeau a dû s’avouer vaincu une fois de plus, cette fois contre le vétéran Adam Gaudette.

Après 20 minutes, le Rocket tirait de l’arrière par un but.

En deuxième période, c’était le festival de la pénalité. Les Marlies ont été chassés deux fois en quelques secondes, donnant un 5 contre 3 au Rocket, qui n’a pas su concrétiser.

C’était ensuite au tour de Laval de se faire prendre, alors que Nicolas Beaudin est allé servir deux minutes au cachot pour un coup de bâton. Toronto en a profité pour doubler son avance.

Le Rocket se devait de réduire l’écart avant de retourner au vestiaire et c’est ce qui est arrivé. Lucas Condotta a accepté une brillante passe de Xavier Simoneau dans l’enclave. Résultat : but du Rocket.

Après deux périodes, les Marlies étaient toujours en avance. Cette fois, c’était 3-2.

Le Rocket se devait de donner un coup de plus en troisième période.

Ça a mal commencé avec un but rapide pour Toronto.

Mais, le Rocket n’avait pas dit son dernier mot.

Rafaël Harvey-Pinard a enfilé un premier but pour réduire l’écart. Un peu plus tard, Cayden Primeau est retraité au banc au profit d’un attaquant supplémentaire et ça a permis à Xavier Simoneau de faire rugir la Place Bell.

Les deux équipes se dirigeaient donc en prolongation.

Malgré une belle remontée en fin de match, le Rocket n’avait plus d’essence dans le réservoir. Justin Barron a écopé d’une pénalité et Logan Shaw en a profité pour compléter son tour du chapeau et donner la victoire à Toronto.

Marque finale 5-4 Marlies en prolongation.

Le Rocket sera de retour en action, samedi prochain, contre les Phantoms de Lehigh Valley.

En rafale

– Une rude relation entre P.K. et Pacioretty.

– Antoine Roussel préfère l’idée de gagner pour se développer.

– Mathurin est une machine depuis ses débuts dans la NBA.

– Les billets pour les séries des Alouettes ne se vendent pas en quantité industrielle.

– Les 67’s poursuivent leur parcours glorieux.

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Le Rocket de Laval remporte son premier match de la saison

Le Rocket de Laval accueillait les Thunderbirds de Springfield pour leur troisième match de la saison. La troupe de Jean-François Houle n’avait toujours pas gagné de rencontre cette saison.

Laval a gagné par la marque de 2-0.

Le Rocket a été défait à deux occasions par les Senators de Belleville avant la rencontre de ce soir. Il a perdu le match d’ouverture par la marque de 6-3 et a perdu 6-5 le lendemain en prolongation, récoltant tout de même un point au passage.

Voici l’alignement que le Rocket a présenté pour l’affrontement.

Le duel a débuté en force pour le Rocket, alors que Brandon Gignac croyait avoir ouvert la marque au tout début du match. Malheureusement, le but a été refusé par la suite.

Revoyez la séquence ici.

Les Thunderbirds ont été particulièrement indisciplinés en première période, alors qu’ils ont écopé de trois pénalités mineures. Heureusement pour Sprinfield, le Rocket n’a pas su concrétiser en l’avantage d’un homme. En fait, aucune des deux équipes n’a réussi à s’inscrire au pointage dans les deux premières périodes de jeu.

Cependant, les deux équipes n’ont pas manqué de chances de s’inscrire au tableau. Le Rocket a inscrit 14 tirs au but en première période et en a dirigé 11 autres au deuxième vingt. Pour les Thunderbirds, ils ont lancé au filet à 11 reprises pour chacun des deux premiers engagements.

Il faudra attendre en troisième période pour voir un premier but dans la rencontre. Et c’est Gabriel Bourque qui a enfilé l’aiguille avec un peu plus de quatre minutes d’écoulées. Il a complété une belle passe d’Otto Leskinen sur une contre-attaque.

Lors de la troisième période, cependant, Springfield a dominé 12-5 au chapitre des tirs. Ils ont eu plusieurs belles chances de marquer, mais Primeau a été fumant en arrêtant les 34 tirs dirigés vers lui durant la rencontre.

Voyez cet arrêt important en troisième période de Primeau sur un tir vif de Brady Lyle.

C’est dans un filet désert, avec 52 secondes à écouler au match, que le Rocket a inscrit son deuxième but. Tory Dello a confirmé la victoire dans une cage béante pour offrir une première victoire de la saison à son équipe.

Le prochain affrontement du Rocket sera ce vendredi, alors que la troupe de Jean-François Houle rendra visite aux Penguins de Wilkes-Barre/Scranton à 19h00.

En rafale

– Tellement impressionant ce jeune! Portez bien attention à Ja Morant cette saison.

– Là où maman cache les biscuits.

– Une petite partie de mini-hockey ça vous tente?

– Le Québécois fait sentir sa présence!

– Un bon début pour le jeune défenseur.

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Le Rocket prend les devants en séries

Le Rocket accueillait le tout premier match de séries de son histoire à Laval, jeudi soir. Les partisans, tous habillés en blanc, ont rempli la Place Bell et ont fait sentir leur présence en faisant beaucoup de bruit.

Voici l’alignement du Rocket :

L’alignement partant du Crunch :

Le Rocket prend avantage de la foule et d’un avantage numérique en début de période. Sami Niku est patient avec la rondelle et réalise une passe parfaite à Danick Martel qui vise juste.

La foule en délire donne des forces au Rocket qui empêche le Crunch de marquer et ça restera ainsi jusqu’à la fin de la première période alors que Laval retraite au vestiaire en avance 1-0.

En deuxième période, le Crunch est dominé par les Rocket. La formation de Syracuse ne réussit qu’à tirer quatre fois sur le filet de Cayden Primeau dans ces 20 minutes.

Malheureusement pour le Rocket, un de ces quatre tirs est assez précis pour déjouer Primeau. Précis c’est le cas de le dire. Remi Elie s’avance devant Primeau et décoche un lancer frappé digne des pros.

Malgré les nombreuses pénalités du Crunch en première et deuxième période, le Rocket ne peut briser l’égalité et le score est de 1-1 après 40 minutes.

L’indiscipline du Crunch finit par lui coûter cher! Cédric Paquette s’assure de faire payer Syracuse avec un but de toute beauté.

Ce n’est pas fini pour Laval. Puisque Jean-Sébastien Dea et Louie Belpedio marquent tour à tour dans un filet désert.

Le Rocket se sauve avec la victoire et prennent les devants 2-1 dans cette série remplie d’action.

Prolongation

– Les trois étoiles de la rencontre.

– Une ovation pour Cayden Primeau à Laval.

– Un but de gardien à Springfield.

– Le Heat avance au prochain tour.

– C’est toujours l’égalité à Tampa.

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Rocket : Saison terminée pour Alex Belzile

La nouvelle vient tout juste de tomber, Alex Belzile ne reviendra pas cette saison puisqu’il vient de subir une intervention chirurgicale à un muscle pectoral. À l’instar de Noah Juulsen, son cas était très nébuleux, mais aujourd’hui, on a une réponse claire à nos questionnements.

Ce qui est triste dans tout ça, c’est qu’il connaissait toute une saison avant cette fâcheuse blessure tellement, qu’on parlait d’un potentiel rappel avec le Canadien dans son cas. Au lieu de ça, il sera en convalescence en se disant qu’il aurait pu jouer son premier match régulier dans la Ligue nationale cette année. Ce n’est peut-être pas le discours qu’il emploiera puisqu’il demeure un guerrier, mais cette pensée passera sans aucun doute dans sa tête.

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Joël Bouchard ne doit plus seulement composer avec des « puppy dogs »

Joël Bouchard est un homme direct, passionné, authentique et très généreux avec les médias. Les gens alentour de lui l’apprécient grandement, autant ses amis que ses joueurs. Par contre, il y a quelques-uns de ses poulains qui sont plus difficiles d’approche, ceux qui sont plus expérimentés comme Riley Barber ou Phil Varone, par exemple. Bouchard n’a nommé aucun nom, mais il a indiqué ceci : « L’an passé, je dirigeais des puppy dog qui étaient fins et qui disaient OUI coach – Cette année, c’est des gars qui arrivent avec beaucoup de bagages donc c’est différent! »

Donc l’an dernier, il a enseigné à des « yes man » qui exécutaient toutes les demandes de l’entraîneur-chef. Cette année, la donne est différente et l’on peut comprendre pourquoi le gâteau tarde à lever. Barber et Varone n’ont que trois points chacun, et avant de débarquer à Laval, ils produisaient à outrance dans la Ligue américaine. L’an dernier, après de bonnes performances dans la LAH au préalable, Hunter Shinkaruk et Alex Grenier n’ont pas connu beaucoup de succès.

Peu importe le succès ou non de certains vétérans, si ceux-ci sont « frustrés » de la tournure de leur carrière, ce n’est certes pas la faute de Joël Bouchard. Bouchard est là pour développer les espoirs de l’organisation, donc des agents libres qui signent pendant les saisons estivales sont souvent là pour remplir des chandails et rester en-bas pour permettre à l’équipe de performer grâce à leur expérience et leur performance au sein de la Ligue américaine.

Le discours qui circule au sujet des club-écoles, c’est que les grands clubs vont prendre soin davantage des joueurs repêchés par l’organisation elle-même. Ceux qui sont jeunes et qui démontrent un réel potentiel pour monter. À noter qu’Alex Belzile demeure une exception à cette règle, lui qui est maintenant qualifié comme un espoir de l’équipe (à 28 ans).

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Le Rocket de Laval ne voulait pas jouer

Le Rocket de Joël Bouchard était en action hier soir, alors qu’il se retrouvait du côté de Belleville dans le but de récolter un 4e gain, mais ça ne s’est pas passé ainsi… malheureusement. Le Rocket s’est incliné 3-2, devant une petite foule de 2081 partisans (des Sénateurs).

Le principal problème demeure le suivant : l’équipe a complètement oublié de se présenter lors du premier vingt en étant dominé 16-4 au chapitre des tirs au but. OUCH! Pourtant, les Sénateurs de Belleville vont aussi mal que leur grand frère, eux qui croupissent au dernier rang de la division du Nord. Sur papier, la troupe de Joël Bouchard est beaucoup plus rayonnante que les B-Sens, mais une joute de hockey se joue sur la glace et le Rocket s’est fait prendre. Dans une ligue aussi compétitive, une équipe ne peut pas se permettre de sortir aussi flat et croire que ce sera une promenade dans le parc…

Toutefois, Joël Bouchard a fort probablement sorti l’un de ses grands discours de motivation 101 puisque son groupe est ressorti fort lors du deuxième tiers… et encore plus puissant en troisième période, où les joueurs ont carrément mangés lors adversaire en dirigeant 18 tirs au filet contre seulement trois de l’autre côté. Le Rocket s’est toutefois butté à un Marcus Hogberg en grande forme chez les Sénateurs de Belleville.

Le pilote du groupe a noté du positif à la suite de cette rencontre, malgré une première période jetée aux oubliettes… Les gars voulaient encore jouer au hockey, mais le problème, c’est que cet envie aurait dû démarrer des les premières secondes du premier engagement.

Charles Hudon n’a pas récolté de points pendant ce duel, mais il a donné le ton au match en deuxième période, ce qui a motivé les troupes au plus haut niveau. Dans la défaite, Riley Barber a récolté deux mentions d’aide et Cayden Primeau a stoppé 29 des 32 rondelles dirigées vers lui. Primeau a brillé devant la cage, mais cette prestation n’a pas permis aux siens de rafler les honneurs du match.

Comment s’est comporté Ryan Poehling? Il a conclu cette joute avec des zéros partout…

Le prochain match du Rocket : vendredi alors que l’équipe affrontera le Wolf Pack de Hartford (19h05).

Prolongation

– Le Phoenix de Sherbrooke a récolté un 8e gain consécutif hier, bon pour la meilleure séquence de la LHJMQ en ce moment.

– Je dis ça de même, mais Alexis Lafrenière a « juste » 35 points en 14 rencontres jusqu’ici.

– Les Sénateurs d’Ottawa ont ramassé les Red Wings 5-2, qui eux, avaient l’air pires que les Sénateurs hier…

– Voici le jeu qui a retenu mon attention hier au sein de la LNH.

– Quoique celui-ci de Brandon Tanev n’est pas laid du tout.

Ce fut toute une fin de match entre les Penguins et le Lightning.

– Quel beau geste de Mats Zuccarello!

– Les résultats du mercredi :

– Les performances du mercredi :

(Crédit: Capture d’écran NHL.com)

– Le programme du jeudi :

(Crédit: Capture d’écran TSN.ca)

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Une autre citation savoureuse de Joël Bouchard

Joël Bouchard était très désappointé à la suite des deux premiers matchs réguliers de son équipe le week-end dernier. Selon ses dires, certains « nouveaux » n’ont pas été à la hauteur et ç’a vraiment titillé le pilote de cette troupe. Pour Bouchard, il n’était pas question d’en rester là sans rien faire… il a préparé des séances intenses, voire même punitives, pour ses soldats. Trois jours de pratiques où la sueur coulait à flots et où les joueurs ont été soumis à des séances très ardues.

À la suite de ces trois jours, la frustration de Bouchard a diminué puisque les joueurs ont tous bien répondu à ses exigences. Le coach a grandement apprécié l’effort de tout un chacun, et dorénavant, toujours selon les propos rapportés par lui-même, l’équipe semble mieux « organisée ». Tout comme les joueurs, Bouchard a ajusté des choses afin de sortir plus « près » et avec plus de conviction en vue des duels prochains. Samedi, ils seront à Milwaukee afin d’affronter les Admirals.

Ah oui! Bouchard a déposé une autre déclaration assez « juteuse », qui n’a aucun autre choix que d’installer au sourire à nos visages : « Si on ne peut pas les coacher et les pousser on va faire autre chose. On va jouer aux échecs ou aux dames! »

Bouchard a amplement raison. Il ajoute donc une autre citation savoureuse qui marque pratiquement l’imaginaire. Quoique Bob Hartley est le maître dans cette matière. Parlant de citations, voici celle qu’il a dite à la suite du week-end laborieux de son groupe : « Moi le nom dans le dos pis le salaire, la journée que je vais coacher ça? je vais faire autre chose dans la vie. »

Bouchard est un individu franc, authentique, direct, passionné et intense. Il est un maître pour développer les espoirs, donc ce ne sont pas ces deux rencontres-là qui changeront les choses.

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Joël Bouchard s’inspire des pompiers de Laval?

Joël Bouchard est un homme passionné et fidèle à ses convictions. Si tu es dans le même moule que lui, tel un Joël Teasdale par exemple, tu vas fitter et tu développeras une belle relation avec celui-ci. Si, dans le cas inverse, tu n’as pas cette attitude de guerrier, tu peineras à t’entendre avec Bouchard. Personnellement, j’adore son approche et celle-ci devrait mener le Rocket vers un autre niveau. Le temps et le talent dicteront la suite des choses…

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Joël Bouchard prône la patience au sujet de Josh Brook

On dit beaucoup de bien au sujet de Josh Brook, mais malgré tout cette vague positive, tout porte à croire qu’il pourrait passer deux ans chez le Rocket de Laval. Brook a un sens de leadership élevé, lui qui arborait la lettre de noblesse, le « C » de capitaine, lors de sa dernière saison chez les Warriors de Moose Jaw. Brook a également dominé au niveau junior avec 75 points en 59 parties, bon pour le premier des défenseurs.

Avec le Rocket, il a récolté une mention d’aide en sept joutes. N’oubliez pas que c’est un nouvel environnement pour lui (le rythme de la Ligue américaine).

À partir de là, on peut comprendre la vision de Joël Bouchard au sujet du kid. Le pilote du Rocket de Laval prône la patience dans le cas de son jeune prospect, qui je vous rappelle, a terminé sa saison avec le club ferme du Canadien de Montréal. Bref, Bouchard veut que l’organisation le développe convenablement, mais au bout du compte, c’est Marc Bergevin qui tient les ficelles de ces joueurs.

On laissera Marc choisir sa destination. Mais le joueur dicte pratiquement toujours la réponse. J’ai comme philosophie qu’il faut prendre notre temps avec nos beaux espoirs. J’aime beaucoup Josh. Il a une passion et un amour pour le hockey. Il travaille fort, il n’est pas paresseux. Je n’ai jamais à lui dire d’en faire plus. – Bouchard

Bouchard a poursuivi en comparant les statistiques de Brook aux siennes au niveau junior :

Il y a parfois des jeunes avec un gros potentiel, mais qui ont un manque de vouloir. Ce n’est pas le cas avec Josh. Je pense qu’il faut être patient. Des défenseurs de 75 points dans le junior, c’est très bon et c’est prometteur. J’avais aussi 75 points dans la LHJMQ et j’ai bûché pour atteindre la LNH. Ça ne veut pas dire qu’il deviendra un défenseur très offensif dans la LNH, même s’il pourrait aussi le faire. – Bouchard

En terminant, Josh Brook se donne toutes les chances pour réussir, lui qui passera l’été à s’entraîner à Brossard avec d’autres joueurs du Rocket et du Canadien.

En rafale

– Certains croyaient qu’ils ne reviendraient pas des séries.

– Noah Juulsen dit qu’il est à 100% (son oeil).

– Patrick Kane sera le capitaine de l’équipe des États-Unis.

– Mais quelle belle histoire.

– Le lanceur des Yankees de Toronto a amplement raison au sujet de Vladimir Guerrero Jr. et Cavan Biggio.