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Nouvelles allégations d’agression sexuelle contre Roman Polanski

Ce n’est pas une nouveauté : par le passé, deux femmes ont levé le voile sur certains travers du réalisateur franco-polonais Roman Polanski..

Déjà accusé par le passé d’agression sexuelle sur au moins une adolescente, Roman Polanski doit aujourd’hui se frotter à une autre allégation.

Robin, comme elle se fait appeler, accuse le réalisateur aujourd’hui âgé de 83 ans d’avoir abusé d’elle en 1973, alors qu’elle était âgée de 16 ans, dans le sud de la Californie.

En conférence de presse, elle a pris son courage à deux mains pour annoncer à l’assemblée :

« Le lendemain, j’ai dit à un(e) ami(e) ce que M.Polanski m’avait fait… Mais à cette seule exception près, la raison pour laquelle j’ai gardé cela pour moi, c’est que je ne voulais pas que mon père fasse quelque chose qui aurait pu l’envoyer en prison pour le reste de sa vie. »

Aucun autre détail n’a pour le moment été révélé.

Roman Polanski, marié à l’actrice française Emmanuelle Seigner, fêtera par ailleurs ce vendredi (18 août)  ses 84 ans. 

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Roman Polanski reçoit le soutien de sa victime

Elle n’avait que 13 ans lorsqu’elle a été agressée par le cinéaste Roman Polanski. Mais aujourd’hui, Samantha Geimer ne souhaite plus que l’homme de 83 ans passe une autre journée en prison.

Dans une entrevue accordée à TMZ, Samantha Geimer accorde son soutien à Roman Polanski, qui tente de convaincre les États-Unis de le laisser entrer sur leur territoire, eux qui désirent depuis des décennies l’extrader pour l’emprisonner.

Les événements reprochés au cinéaste franco-polonais se sont déroulés en 1977, alors qu’il était âgé de 44 ans. Samantha Geimer aurait alors été séquestrée et violée par le réalisateur, après avoir été soûlée et droguée.  

Selon les avocats de Polanski, une entente avait été conclue en 1977 avec un procureur afin que l’accusé séjourne 48 jours derrière les barreaux. Un juge aurait entériné l’entente. Polanski avait alors été incarcéré 42 jours à la prison de Chino en Californie, avant d’être libéré.

Un autre juge avait par la suite renié l’entente initiale et cherchait à emprisonner le cinéaste pour une période de 50 ans. C’est à ce moment que Roman Polanski s’est enfui en Europe, pour ne jamais remettre les pieds aux États-Unis.

Un autre chapitre de ce long feuilleton se jouerait donc la semaine prochaine devant les tribunaux à Los Angeles.

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Photo : HUBERT BOESL/FAMOUS/BIG

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Roman Polanski veut retourner aux États-Unis

Il semble que le réalisateur Roman Polanski en ait assez d’être un fugitif et qu’il souhaite affronter les charges qui pèsent contre lui en sol américain, et clore le dossier une fois pour toutes.

Rappelons les faits.

En 1977, alors accusé d’agression sexuelle sur une mineure de 13 ans, Roman Polanski conclut prétendument une entente avec un procureur afin de passer 48 jours derrière les barreaux pour mettre un terme à l’affaire. Un juge entérine l’entente, et Polanski passe alors 42 jours à la prison de Chino avant d’être libéré. À sa sortie, le juge Laurence Rittenband renie l’entente initiale alléguée et affirme que Roman Polanski doit payer pour son crime avec plusieurs décennies privé de sa liberté, rappelle TMZ, soit une cinquantaine d’années en prison.

C’est alors que Polanski décide de partir pour l’Europe.

Le réalisateur passera également 344 jours aux mains de la justice suisse, avant de voir une cour européenne trancher en sa faveur.

Maintenant âgé de 83 ans et visiblement fatigué de son statut de fugitif et de paria, Roman Polanski demande par l’entremise de son avocat Harland Braun que la cour supérieure de Los Angeles entérine une fois pour toutes l’entente initiale et accepte en preuve une transcription menant à celle-ci.

Si un juge accepte la requête, Roman Polanski pourrait alors finalement voyager en toute liberté aux États-Unis et à travers le monde.

TMZ rapporte également que Polanski souhaiterait visiter la tombe de sa femme Sharon Tate, victime de Charles Manson et sa triste bande en 1969, et voir sa fille qui réside en Angleterre.

Roman Polanski pourrait donc se présenter aussi tôt que la semaine prochaine devant les autorités américaines, ce qui ne se ferait pas sans bruit.

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Roman Polanski : président controversé des Césars

À l’annonce de la nomination du cinéaste Roman Polanski à la présidence de la prochaine cérémonie des Césars, le monde s’est enflammé.

Il faut dire qu’être un cinéaste de renom et de talent ne suffit pas. Chez Polanski, les fantômes de son passé resteront tout le temps en filigrane. 

L’affaire remonte à il y a 40 ans. En 1977, Roman Polanski, alors âgé de 44 ans, est accusé de viol sur une mineure de 13 ans qu’il aurait auparavant droguée.

L’affaire fait scandale, mais de par sa stature de cinéaste et sa célébrité, Roman Polanski passera toujours plus ou moins entre les mailles des filets. L’affaire est complexe et Polanski passe ses 40 années dernières à faire un habile jeu de cache-cache pour éviter la plus grosse des condamnations.

Impossible de passer à côté d’une telle histoire lorsque l’Académie des Césars a annoncé hier, 18 janvier, la nomination du réalisateur de The Pianist à la présidence de la 42e cérémonie des Césars.

À tel point que sur Twitter, un mouvement d’appel au boycottage a été lancé sans pour autant qu’il y ait dès à présent un quelconque réel mouvement en cette faveur-là.

La 42e cérémonie des Césars, qui fait chaque année la part belle au cinéma français, doit tout de même se tenir le 24 février prochain, et sauf retournement de situation extrême, avec en tête de gondole Roman Polanski.

Que le public le veuille ou non.

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Roman Polanski encore menacé d’extradition

Le cinéaste Roman Polanski aurait eu un comportement sexuel illégal avec une mineure en 1977, aux États-Unis. Polanski a toutefois échappé à la justice depuis tout ce temps, notamment en refusant de retourner au pays de l’Oncle Sam.

Le ministre de la Justice de la Pologne, Zbigniew Ziobro a toutefois annoncé son intention ferme de procéder dans le dossier mardi (31 mai), menaçant Polanski d’extradition.

«Ce n’est pas une surprise pour nous. M. Ziobro a annoncé par le passé qu’il allait le faire. Pour l’instant nous ne pouvons pas commenter, car nous ne savons pas s’il l’a déjà fait ou s’il va le faire», a simplement répondu l’un des avocats de Roman Polanski, Jerzy Stachowicz, en entrevue avec AFP.

Contacts sexuels illégaux

Après avoir plaidé coupable pour rapports sexuels illégaux et passé 42 jours en prison, Polanski avait été libéré sous caution en février 1978. Le cinéaste avait alors pris la fuite, devant la peur de retourner en prison et d’être déporté pour purger une peine complète.

Polanski estime que sa peine a déjà été purgée en raison de son plaidoyer de culpabilité passé avec la justice américaine dans les années ’70.

Plusieurs fois, le cinéaste a échappé à la justice américaine, chaque fois après que la justice polonaise ait statué contre son extradition aux États-Unis.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

Photo : BANG/BIG

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Pas d’extradition pour Roman Polanski

Le cinéaste polonais Roman Polanski échappe encore une fois aux griffes de la justice américaine. Celui qui est poursuivi depuis 1977 par les États-Unis pour répondre à des accusations d’actes sexuels commis envers une fillette de 13 ans ne sera donc pas extradé par les autorités polonaises, a statué un tribunal de l’endroit.

L’élection récente d’un gouvernement conservateur en Pologne avait ravivé la soif de justice envers l’homme ayant reconnu avoir entretenu des rapports illégaux avec une mineure.

Polanski, 82 ans, s’est sauvé des États-Unis en 1978 après avoir plaidé coupable à des accusations réduites. Il possède la double citoyenneté française et polonaise.

La France a toujours refusé de l’extrader, alors que la Pologne vient de statuer à ce sujet, rapporte BBC. 

En 2010, les autorités suisses avaient aussi refusé d’extrader Polanski même si celui-ci se trouvait sur leur territoire pour un tournage.

En 2009, Polanski avait demandé aux États-Unis de laisser tomber les charges qui tenaient encore contre lui, ce qui fut refusé.

Photo : Facebook

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Roman Polanski devant le tribunal en Pologne

Le cinéaste franco-polonais Roman Polanski a accepté de comparaitre devant le tribunal de Krakow, en Pologne, la semaine prochaine.

C’est à la demande des autorités américaines que la Pologne va entendre les arguments de Roman Polanski, 81 ans. Les autorités américaines tentent d’extrader le réalisateur oscarisé depuis les années 70 pour comparaitre dans une affaire de moeurs.

La nouvelle a été confirmée à Reuters par les avocats du cinéaste : « En ligne avec les déclarations qu’il avait faites auparavant, Roman Polanski va comparaitre en cour », explique l’un d’eux.

En 1977, Roman Polanski était accusé par les autorités américaines d’agression sexuelle sur une fillette de 13 ans. Il avait réussi à prendre la fuite. Depuis, les Américains tentent de le ramener au pays pour qu’ils puissent le juger.

Roman Polanski se trouve en ce moment en Pologne où il se prépare à tourner un film à propos de l’affaire Dreyfus, un conflit social et politique survenu au tournant du XXe siècle en France. 

Photo BANG/BIG

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Roman Polanski devant le tribunal en Pologne

Le cinéaste franco-polonais Roman Polanski a accepté de comparaitre devant le tribunal de Krakow, en Pologne, la semaine prochaine.

C’est à la demande des autorités américaines que la Pologne va entendre les arguments de Roman Polanski, 81 ans. Les autorités américaines tentent d’extrader le réalisateur oscarisé depuis les années 70 pour comparaitre dans une affaire de moeurs.

La nouvelle a été confirmée à Reuters par les avocats du cinéaste : « En ligne avec les déclarations qu’il avait faites auparavant, Roman Polanski va comparaitre en cour », explique l’un d’eux.

En 1977, Roman Polanski était accusé par les autorités américaines d’agression sexuelle sur une fillette de 13 ans. Il avait réussi à prendre la fuite. Depuis, les Américains tentent de le ramener au pays pour qu’ils puissent le juger.

Roman Polanski se trouve en ce moment en Pologne où il se prépare à tourner un film à propos de l’affaire Dreyfus, un conflit social et politique survenu au tournant du XXe siècle en France. 

Photo BANG/BIG

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Roman Polanski a confiance en la justice polonaise

Le cinéaste Roman Polanski ne souhaite pas que la Pologne le renvoie vers les États-Unis, où il est recherché pour un cas d’agression sexuelle depuis 1977.

Le réalisateur oscarisé est en Pologne où il entend tourner un film en février et mars prochain. Les États-Unis ont déjà demandé à la Pologne d’extrader l’homme de 81 ans, afin qu’il y subisse un procès.

En octobre dernier, Roman Polanski avait été interrogé par les autorités polonaises, mais n’avait pas été arrêté. Les policiers ont révélé qu’ils souhaitaient à nouveau questionner l’homme lors de son prochain passage au pays.

Le cinéaste s’est confié à la chaîne de télévision polonaise TVN24 : « Je vais me soumettre aux procédures et nous verrons. »

En 1977, Roman Polanski avait plaidé coupable à des accusations d’agression sexuelle et sentenciée à 90 jours de prison pour subir une évaluation psychiatrique. Il avait ensuite fui les États-Unis. Les autorités américaines tentent depuis ce temps de le ramener devant la justice.

Photo BANG/BIG

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Roman Polanski a confiance en la justice polonaise

Le cinéaste Roman Polanski ne souhaite pas que la Pologne le renvoie vers les États-Unis, où il est recherché pour un cas d’agression sexuelle depuis 1977.

Le réalisateur oscarisé est en Pologne où il entend tourner un film en février et mars prochain. Les États-Unis ont déjà demandé à la Pologne d’extrader l’homme de 81 ans, afin qu’il y subisse un procès.

En octobre dernier, Roman Polanski avait été interrogé par les autorités polonaises, mais n’avait pas été arrêté. Les policiers ont révélé qu’ils souhaitaient à nouveau questionner l’homme lors de son prochain passage au pays.

Le cinéaste s’est confié à la chaîne de télévision polonaise TVN24 : « Je vais me soumettre aux procédures et nous verrons. »

En 1977, Roman Polanski avait plaidé coupable à des accusations d’agression sexuelle et sentenciée à 90 jours de prison pour subir une évaluation psychiatrique. Il avait ensuite fui les États-Unis. Les autorités américaines tentent depuis ce temps de le ramener devant la justice.

Photo BANG/BIG