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Les États-Unis gardent Roman Polanski dans leur mire

Selon Orange News, les autorités américaines se préparent à voir quelles sont les options envisageables de leur côté à la suite de la décision rendue par les autorités fédérales en Suisse de ne pas extrader le cinéaste Roman Polanski aux États-Unis, où il est réclamé.

Malgré les accusations d’agression sexuelle sur une mineure pesant contre lui aux États-Unis, le réalisateur du film Rosemary’s Baby a retrouvé sa liberté lundi dernier (12 juillet), alors que les demandes des autorités américaines le concernant n’ont pas été retenues.

Celles-ci demandaient à ce que le célèbre cinéaste soit extradé aux États-Unis afin qu’il purge sa sentence là-bas. En 1977, il avait eu des relations sexuelles avec une adolescente de 13 ans lors d’une fête à Hollywood. Il avait plaidé coupable, mais avait fui le pays et mit le cap sur l’Europe en 1977.

La décision rendue fâche ainsi les autorités américaines et son porte-parole, Philip Crowley, qui entend agir comme il se doit pour forcer Polanski à ne pas échapper à la justice.

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Roman Polanski est maintenant libre

Selon ce que rapporte Le Figaro, la ministre suisse de la Justice a annoncé aujourd’hui (12 juillet) que la demande d’extradition vers les États-Unis contre le cinéaste Roman Polanski avait été refusée et que les restrictions de sa liberté avaient été levées. 

Rappelons que Roman Polanski avait été arrêté le 26 septembre dernier, à l’aéroport de Zurich, à la demande de la justice américaine. Depuis, il était assigné à résidence dans son chalet en Suisse.

À la suite de l’annonce de la ministre Eveline Widmer-Schlumpf, durant une conférence de presse à Berne, Polanski sera maintenant libre de ses mouvements.

Aux États-Unis, le réalisateur de 76 ans est accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec une jeune fille mineure il y plus de 30 ans.

En effet, en 1978, le cinéaste plaidait coupable à ces accusations avant de s’enfuir des États-Unis, la veille de son jugement, craignant de faire face à une sentence de 50 ans de prison.

Les avocats de Polanski ont donc réussi à faire en sorte que leur client ne soit pas extradé vers les États-Unis pour y être jugé. Il ne sera également plus assigné à résidence.

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Grave dépression pour Roman Polanski

Il semblerait que Roman Polanski commence à démontrer des signes de grave dépression, mentionne le Elle France. C’est ce qu’affirment les membres de l’Académie des Beaux-Arts qui ont envoyé un communiqué à la revue La Règle du Jeu afin d’alerter l’opinion publique sur l’état de santé du cinéaste de 76 ans.
 
Les compositeurs Michaël Levinas et François-Bernard Mâche ont rencontré Polanski samedi dernier (8 mai) à son chalet en Suisse où il est assigné à résidence. Ils se disent très inquiets et considèrent que Polanski serait en danger. « Des signes de grave dépression commencent à paraître assez inquiétants pour qu’une libération rapide soit nécessaire », disent-ils.
 
Polanski et ses avocats tentent par tous les moyens d’éviter l’extradition vers les États-Unis, en vain jusqu’à présent. Le jugement par contumace a été refusé et cette semaine, le juge a également refusé de rendre public un témoignage que les avocats du cinéaste considèrent comme essentiel dans la prise de décision des autorités suisses sur l’extradition de leur client.
 
« La peine initialement prévue ayant de toute manière été purgée il y a plus de trente ans, on voit mal pour quelles raisons l’exigence d’extradition est maintenue », ajoutent les membres de l’Académie.
 
Roman Polanski n’a jamais remis les pieds en sol américain depuis qu’il a fui le pays en 1978 afin d’échapper à la prison après voir plaidé coupable pour des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans l’année précédente.
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Nouveau revers dans l’affaire Roman Polanski

Les avocats de Roman Polanski viennent d’essuyer un nouveau refus de la part de la justice hier (10 mai). Le tribunal californien a refusé de rendre public le témoignage d’un procureur qui s’était fait à huis clos dans le passé.
 
Les avocats du cinéaste de 76 ans considéraient que ce témoignage contenait des éléments clés qui auraient pu éviter l’extradition de leur client vers les États-Unis. Bien que le contenu de ce témoignage soit inconnu, les avocats de Polanski affirment qu’il contient des informations que les autorités suisses devraient connaître avant de se prononcer sur l’extradition de Polanski.
 
Le juge américain a affirmé que la Suisse n’a jamais réclamé ce témoignage. Si les autorités ont besoin de plus d’informations, elles doivent les demander, mais selon le juge, elles disposent de tout le nécessaire pour prendre une décision.
 
Un autre juge a refusé cet accès à trois reprises auparavant. « Voyant s’épuiser les chances d’éviter une extradition, on lance des allégations irresponsables et sans fondement, orchestrées dans le cadre d’une campagne de relations publiques et non appuyées sur des bases légales ou factuelles », mentionne le procureur.
 
En mars 1977, Roman Polanski a eu des relations sexuelles avec Samantha Geimer, alors âgée de 13 ans. Polanski a plaidé coupable, mais a fui les États-Unis avant le prononcé de sa sentence par crainte de se retrouver derrière les barreaux.
 
Récemment, le juge a refusé un jugement par contumace. Les chances d’éviter l’extradition diminuent pour le cinéaste.
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Roman Polanski brise le silence

Après des mois de silence, Roman Polanski a choisi de parler. Le cinéaste de 76 ans dit qu’il est traité injustement, lui qui est assigné à sa résidence en Suisse.
 
« J’ai décidé de rompre le silence afin de m’adresser directement à vous sans intermédiaire, avec mes propres mots. J’ai eu ma part de joies et de drames comme vous tous et je ne vais pas vous demander d’avoir pitié de moi. Je demande seulement à être traité équitablement comme tout le monde », dit Polanski.
 
People rapporte que le réalisateur accuse les autorités américaines de vouloir se faire de la publicité avec son extradition et de vouloir offrir l’histoire aux médias sur un plateau d’argent.
 
Il rappelle qu’il a plaidé coupable pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans en 1977 et qu’il a purgé 49 jours de prison, ce qui, selon lui, devrait suffire à la totalité de sa peine.
 
Roman Polanski se plaint d’être assigné à sa résidence en Suisse, car il est loin de sa famille et qu’il est dans l’impossibilité de travailler.
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Les avocats de Roman Polanski font une autre tentative pour éviter l’extradition

Roman Polanski semble bien décidé à tout faire pour éviter de retourner aux États-Unis. Le 23 avril, il a vu sa demande de jugement par contumace être refusée par le juge.
 
Hier (29 avril), les avocats du cinéaste de 76 ans ont sorti une nouvelle carte de leur jeu afin d’éviter son extradition. Selon L’Express, ils demandent l’accès aux enregistrements des dépositions.
 
Les autorités suisses attendent que toutes les procédures judiciaires soient terminées avant de se prononcer sur l’extradition possible de Polanski vers les États-Unis. Selon les avocats du cinéaste, les autorités n’ont toutefois pas toutes les informations nécessaires pour prendre une décision, l’accès aux transcriptions des dépositions n’étant pas accordé.
 
« Les transcriptions prouveront de façon concluante que la demande d’extradition des États-Unis au gouvernement suisse est fondée sur des affirmations fausses et matériellement incomplètes », mentionne l’avocat Chad Hummel.
 
Les avocats demandent donc un accès aux transcriptions qui sont sous scellés, en plus de la possibilité d’en faire des copies et de les partager avec la Suisse.
 
Roman Polanski, qui a été arrêté en septembre dernier, est maintenant assigné à résidence en Suisse. En 1978, il avait plaidé coupable pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans l’année précédente. Il avait cependant fui les États-Unis par crainte de se retrouver derrière les barreaux et n’a plus jamais remis les pieds au pays depuis.
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Roman Polanski doit se présenter aux États-Unis

Hier (22 avril), la cour d’appel du 2e district de la Californie a rejeté une fois de plus la demande de Roman Polanski d’être jugé par contumace.
 
Rappelons qu’en septembre 2009, le cinéaste a été arrêté à Zurich, car il est accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans en 1977. Après avoir été jugé à l’époque, Polanski avait fui les États-Unis de peur de se retrouver derrière les barreaux et n’a plus jamais remis les pieds en sol américain.
 
Après plusieurs mois de prison à la fin de l’année dernière, Polanski a été assigné à résidence, à son chalet en Suisse, avec surveillance électronique. Les autorités suisses n’avaient pas pris de décision sur son extradition, car elles souhaitaient que le tribunal se prononce d’abord sur le jugement par contumace.
 
La décision de la cour d’appel ouvre donc la voie à une extradition, mais cela pourrait prendre un an, car le cinéaste a encore droit à plusieurs recours.  
 
Non seulement on veut voir Roman Polanski devant la cour américaine, mais la cour d’appel du 2e district de la Californie a aussi rejeté la demande d’abandon des poursuites déposée par la victime, Samantha Geimer, qui souhaitait tourner la page après plus de trente ans. La cour mentionne que Mme Geimer n’a aucune autorité pour dicter une affaire criminelle.
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Harrison Ford reste en contact avec Roman Polanski

L’acteur Harrison Ford était de passage à Paris, le week-end dernier, pour recevoir un César d’honneur. Il en a profité pour confier au journal Le Parisien qu’il était souvent en contact avec le cinéaste Roman Polanski et qu’il pensait beaucoup à lui, rapporte Libération Next

L’acteur, qui avait tourné le film Frantic avec le réalisateur français en 1988, affirme que depuis son arrestation, il lui a régulièrement téléphoné. Il affirme que celui-ci semble rester fort face à la situation qu’il vit depuis cinq mois et qu’il a même réussi à terminer son film, The Ghost Writer.

Ford ajoute bien connaître la femme de Polanski, Emmanuelle Seigner, et il soutient qu’elle se battra jusqu’au bout pour son mari.

Rappelons que Polanski doit rester en Suisse depuis le mois de décembre dernier. Celui-ci a été récompensé lors du Festival international du film de Berlin, le 20 février dernier, recevant l’Ours d’argent du meilleur réalisateur pour The Ghost Writer.

Rappelons que Roman Polanski a plaidé coupable aux accusations portées contre lui pour avoir eu des relations sexuelles illégales avec une mineure de 13 ans en 1977. Il avait alors fui les États-Unis pour échapper à une peine de prison.

En septembre dernier, il a été arrêté à Zurich. Il est maintenant assigné à résidence, sous surveillance électronique, dans son chalet suisse. Il fait face à une extradition vers les États-Unis. Le mois dernier, un juge a statué que le cinéaste devait se présenter aux États-Unis pour faire face à la justice.

L’acteur Johnny Depp s’est également porté à la défense de Polanski, affirmant que celui-ci n’avait rien d’un prédateur.

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Johnny Depp à la défense de Roman Polanski

Johnny Depp fait maintenant partie des nombreuses personnalités qui se portent à la défense de Roman Polanski. Selon la vedette du prochain Alice in Wonderland, qui sort en salles en mars, Polanski n’a rien d’un prédateur.

Depp affirme que le procureur américain devrait prendre en considération la vie actuelle du cinéaste et laisser tomber les accusations vieilles de 32 ans. « Roman n’est pas un prédateur. Il a 75 ou 76 ans, il a deux beaux enfants et il a une femme avec laquelle il est depuis très longtemps. Il ne chasse pas dans les rues », mentionne l’acteur à Starpulse.

Depp a déjà travaillé sous la direction de Polanski pour le film The Ninth Gate.

Rappelons que Roman Polanski a plaidé coupable aux accusations d’avoir eu des relations sexuelles illégales avec une mineure de 13 ans en 1977. Il avait alors fui les États-Unis pour échapper à une peine de prison.

En septembre dernier, il a été arrêté à Zurich. Il est maintenant assigné à résidence, sous surveillance électronique, dans son chalet suisse. Il fait face à une extradition vers les États-Unis. Le mois dernier, un juge a statué que le cinéaste devait se présenter aux États-Unis pour faire face à la justice.

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Roman Polanski présente une autre requête au juge

Hier (6 janvier), le cinéaste Roman Polanski, par le biais de ses avocats, a demandé au juge américain chargé de son dossier de le condamner par contumace, rapporte le Nouvel Observateur. Le juge examinera cette requête le 22 janvier lors d’une nouvelle audience. Si on lui accorde, Roman Polanski n’aurait pas besoin de se présenter en cour.

Les procureurs qui demandent à ce que le réalisateur soit extradé aux États-Unis ont toutefois mentionné qu’ils s’opposeront à toute condamnation tant et aussi longtemps que Polanski ne se présentera pas physiquement devant la cour.

Polanski est assigné à résidence dans son chalet des Alpes suisses et est sous surveillance électronique. Le procureur David Walgren affirme que Polanski doit arrêter de se défendre dans le confort de son foyer et rentrer en Californie.

Polanski a fui les États-Unis pour s’installer en France après avoir plaidé coupable en 1978 à des accusations de relations sexuelles illégales avec une mineure de 13 ans, survenues l’année précédente. Il avait quitté le pays pour éviter la prison, mais a été arrêté en septembre dernier en Suisse. Les autorités suisses doivent se prononcer bientôt sur sa possible extradition.

Le mois dernier, une cour d’appel de Californie avait suggéré de condamner le réalisateur par contumace afin de clore le dossier une fois pour toutes, mais les procureurs ne sont pas du même avis.