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La production de Sandman fera confiance à Joseph Gordon-Levitt

Joseph Gordon-Levitt a le vent dans les voiles en ce moment à Hollywood, et pas seulement comme acteur. L’industrie le reconnaît maintenant comme un réalisateur au potentiel énorme. Il n’est donc pas surprenant de voir les studios se l’arracher, après plusieurs choix de rôles remarqués et un essai particulièrement fructueux derrière la caméra.

C’est maintenant au tour de David S. Goyer et de Warner Bros de confier un de leurs projets les plus importants à Gordon-Levitt, soit l’adaptation de la bande dessinée Sandman de Neil Gaiman, selon EmpireOnline.

Joseph Gordon-Levitt a confirmé lui-même la nouvelle via son compte Twitter, mais a dû clarifier la situation quelques minutes plus tard, expliquant qu’il n’était à bord qu’en tant que producteur, et que le « reste était à voir ».

On peut donc comprendre que les négociations concernant son possible rôle de réalisateur et de vedette principale du film se poursuivent, mais que les deux options sont très probables.

Sandman est une populaire bande dessinée publiée au tournant des années 90, mettant en vedette le Seigneur des Rêves, Morpheus, d’où le titre de la série.

Pour en savoir plus sur les œuvres de Neil Gaiman ou pour commander Sandman, visitez le www.neilgaiman.com.

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James Bond : Le porte-parole idéal pour sensibiliser à la surconsommation d’alcool

Une cocasse étude menée par des médecins britanniques trace un sombre portrait de l’agent secret le plus connu de la planète, James Bond, en lien avec sa consommation effrénée d’alcool, selon Top Santé. 

Les statistiques relevées en analysant la consommation d’alcool de Bond dans les divers livres le mettant en vedette le qualifie haut la main comme porte-parole idéal pour n’importe quelle campagne de sensibilisation contre la surconsommation d’alcool!

Alors que l’OMS trace la ligne de la « consommation normale » à trois verres de vin maximum par jour, soit 210 grammes d’alcool par semaine, 007 en consommerait quant à lui pas moins de… 736 grammes.

« On ne voudrait pas que James Bond désactive une bombe nucléaire », lance Patrick Davies, de l’hôpital de Nottingham, à la blague, mais en rappelant que la surconsommation d’alcool mènerait à près de trois millions de décès par année, toujours selon l’OMS.

À quand une campagne de prévention mettant en vedette le célèbre personnage de Ian Flemming?

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L’équipe de Little Miss Sunshine de retour avec The Good Luck of Right Now

Variety rapporte que l’équipe derrière le charmant Little Miss Sunshine pourrait être de retour pour réaliser l’adaptation cinématographique d’un livre à succès de Matthew Quick.

Intitulée The Good Luck of Right Now, l’œuvre aurait déjà été adaptée pour le grand écran par la plume de Mike White, et c’est probablement Jonathan Dayton et Valerie Faris qui seraient chargés de la réalisation.

Le duo avait brillé avec Little Miss Sunshine, que personne n’avait vu venir, et qui a démontré une fois de plus que les histoires qui touchent le cœur sont celles qui connaissent le plus de succès.

The Good Luck of Right Now suit les aventures de quatre personnages principaux, que l’on décrit comme des « marginaux dont les destins s’entrecroiseront pour former une famille inattendue ».

On peut donc s’attendre au même genre d’humour et d’esprit que ce à quoi nous ont habitués Dayton et Faris, qui sont par ailleurs également attachés à un film biographique sur la vie d’un journaliste intitulé I’m So Proud of You.

Aucune date de sortie pour The Good Luck of Right Now n’a encore été avancée.

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La Vénus à la fourrure : un huis clos sulfureux signé Roman Polanski

Avec La Vénus à la fourrure, le Franco-Polonais Roman Polanski signe un huis clos théâtral entre un metteur en scène et une actrice sur fond de sadomasochisme, dans lequel s’entremêlent subtilement art et réalité.

Une Emmanuelle Seigner tantôt vulgaire tantôt lascive, passant constamment d’un ton et d’une posture à l’autre, face à un Mathieu Amalric plongeant peu à peu dans la fascination et la sidération : les deux acteurs incarnent avec brio les deux personnages de ce film souvent drôle, aux dialogues savoureux.

Adapté d’une pièce de David Ives, La Vénus à la fourrure est la deuxième adaptation consécutive d’une oeuvre théâtrale par le cinéaste, après Carnage d’après Yasmina Reza.

Thomas (Mathieu Amalric), un metteur en scène énervé après des auditions ratées, reçoit Vanda (Emmanuelle Seigner, épouse de Polanski), une actrice vulgaire et écervelée, mini-jupe et collier en cuir, qui vient se présenter pour une pièce adaptée du roman La Vénus à la fourrure de Leopold von Sacher-Masoch, roman érotique dont l’auteur a donné son nom au masochisme.

Alors que commence l’audition, Vanda change du tout au tout pour coller parfaitement au personnage de la pièce, qui porte curieusement le même prénom qu’elle. Peu à peu, les rapports de domination vont s’inverser entre les deux protagonistes, tandis que la pièce qu’ils répètent et la « vraie vie » des personnages se mélangent inextricablement dans une mise en abyme vertigineuse.

Explorant des thèmes qui lui sont chers comme la perversion, l’oppression psychologique ou l’ambiguïté du rapport entre victime et bourreau, Roman Polanski s’amuse aussi à creuser le parallèle entre sadomasochisme et théâtre.

La Vénus à la fourrure se dévoile le mercredi 13 novembre dans les salles françaises. Sa date de sortie en Amérique n’a pas encore été fixée

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Un classique de Stephen King pourrait être repris au cinéma

Digital Spy rapporte que des producteurs s’intéressent particulièrement à l’un des classiques de Stephen King, afin d’en faire un film moderne en deux parties.

Il s’agit de It, initialement paru en 1986, qui traite d’un groupe de jeunes protagonistes aux prises avec un démon des plus diaboliques prenant la forme d’un clown sadique répondant au nom de Pennywise.

Une série, ensuite devenue un téléfilm, avait été produite à partir de l’œuvre de Stephen King en 1990, et mettait en vedette Tim Curry et John Ritter.

Cette fois, l’homme derrière le projet est Cary Fukunaga (Jane Eyre), qui devrait réaliser et cosigner le scénario pour le compte de Warner Bros. On chercherait à créer un produit qui colle à notre époque, tout en respectant l’essence de l’histoire et de l’atmosphère créée par Stephen King.

D’autres détails sont à venir prochainement.

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The Rock contre les forces du mal dans SEAL Team 666

Dwayne Johnson, alias The Rock, aurait confirmé sa participation au projet SEAL Team 666, selon ce que rapporte CinemaBlend.

Le titre fait bien entendu référence aux fameux Navy SEAL de l’armée américaine, et le nombre subséquent renvoie quant à lui aux forces du mal, comme vous le savez probablement.

Une escouade de SEAL contre des démons? Voilà une prémisse qui peut faire douter le fan le plus sceptique, mais l’acquisition de Dwayne Johnson permet de rendre le projet beaucoup plus crédible. D’autant plus que le célèbre « Rock » aurait décidé de coproduire le film, ce qui devrait convaincre d’autres vedettes de s’ajouter au projet.

Si aucun réalisateur n’a encore été choisi, on sait cependant que le scénario est terminé et qu’il est signé Evan Spiliotopoulos. Ce dernier a également pondu le scénario du Hercules de Brett Ratner, qui doit sortir plus tard et qui met aussi en vedette Dwayne Johnson.

SEAL Team 666 se base sur le roman de Weston Ochson paru en 2012.
 
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Un classique de Stephen King pourrait être repris au cinéma

Digital Spy rapporte que des producteurs s’intéressent particulièrement à l’un des classiques de Stephen King, afin d’en faire un film moderne en deux parties.

Il s’agit de It, initialement paru en 1986, qui traite d’un groupe de jeunes protagonistes aux prises avec un démon des plus diaboliques prenant la forme d’un clown sadique répondant au nom de Pennywise.

Une série, ensuite devenue un téléfilm, avait été produite à partir de l’œuvre de Stephen King en 1990, et mettait en vedette Tim Curry et John Ritter.

Cette fois, l’homme derrière le projet est Cary Fukunaga (Jane Eyre), qui devrait réaliser et cosigner le scénario pour le compte de Warner Bros. On chercherait à créer un produit qui colle à notre époque, tout en respectant l’essence de l’histoire et de l’atmosphère créée par Stephen King.

D’autres détails sont à venir prochainement.

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Mark Walhberg produira un film sur l’ascension de Jules César

Digital Spy rapporte la création d’un nouveau projet qui s’annonce des plus fascinants et qui raconte les jeunes années et l’ascension de nul autre que Jules César.

Intitulé The Roman, le film pourra compter sur Mark Walhberg à la production, lui qui étonne par ses choix judicieux à titre de producteur, justement.

On avance qu’il pourrait s’allier à Stephen Levinson, un collègue habitué de travailler à ses côtés, afin de créer un produit qui se veut « dans la même veine que Batman Begins », selon les informations rapportées.

On entend par là que l’histoire de The Roman sera celle de Jules César à ses débuts, comme pour la récente trilogie du chevalier noir, et pas nécessairement celle de l’empereur à son apogée.

Les deux amis, Whalberg et Levinson, seraient maintenant à choisir la distribution du film, alors que le scénario écrit par Travis Barker et Richard Tanne vient d’obtenir le feu vert.

Aucune date de sortie n’est encore prévue pour The Roman.

Mark Whalberg et Stephen Levinson travaillent en ce moment sur le remake du film The Gambler, dans lequel l’acteur tient le rôle principal.

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Evan Rachel Wood et Ellen Page tenteront de survivre dans Into The Forest

Deux jeunes actrices talentueuses, Evan Rachel Wood et Ellen Page, viennent d’accepter les termes d’une entente qui confirment leur participation au projet Into The Forest, rapporte CinemaBlend.

Les deux stars joueront donc les « survivalistes » dans le projet qui semble tout à fait dans l’air du temps. Il met en scène deux sœurs, Nell et Eva, qui grandissent dans la forêt et sont éduquées par leurs parents, à la maison. Lorsque ces derniers trouveront la mort, les deux sœurs seront confrontées aux problèmes du monde, qui commence à s’écrouler progressivement.

Lorsque viendra l’inévitable et que s’amorcera la dégradation de l’Amérique à la suite d’une panne de carburant et de combustibles fossiles, les deux protagonistes devront survivre dans un monde qu’elles connaissent peu.

Into The Forest est une adaptation du livre du même nom de Jean Hegland et sera réalisé par Patricia Rozema, qui devrait également signer le scénario pour le grand écran.

La pression est donc forte pour livrer une version solide du roman qui date de 1996, précurseur s’il en est un, mais la qualité de l’histoire et l’ajout d’Evan Rachel Wood et Ellen Page à la distribution laissent croire que le projet pourrait devenir un succès.

Evan Rachel Wood termine le tournage de Charlie Countryman aux côtés de Shia LaBeouf, alors qu’Ellen Page vient de terminer celui de X-Men: Days of Future Past, qui s’annonce comme l’un des meilleurs de la série.  

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The Racketeer trouve son scénariste

La production de l’adaptation cinématographique du roman The Racketeer  de John Grisham  annonce la mise sous contrat de Frank Baldwin à titre de scénariste, rapporte CinemaBlend.

Il s’agit de l’une des rares œuvres de John Grisham a se voir portée à l’écran depuis un bon moment, alors qu’il fut une époque où chacun de ses livres se retrouvait systématiquement à Hollywood.

Il faut dire que Grisham a frappé fort avec The Racketeer, qui traite du meurtre d’un juge fédéral américain et de la traque subséquente de son assassin.

Baldwin est quant à lui relativement méconnu du grand public et de plusieurs dans l’industrie, mais son nom circule depuis quelques années. Si aucun de ses projets n’a encore vu le jour, notamment un avec Mark Walhberg, il ne s’agirait que d’un concours de circonstances.

Aucun acteur n’a encore été confirmé, et on ignore si un réalisateur établi s’emparera du projet ou s’il sera confié à un autre jeune loup. Daniel Espinosa (Safe House) devait réaliser le film, mais s’est finalement tourné vers autre chose.

The Racketeer, publié en 2012, figure toujours sur les listes des meilleurs vendeurs en ce moment. Il est considéré comme le meilleur roman de John Grisham depuis plusieurs années.