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Le marketing à la rescousse du Colisée de Rome

Parce qu’il a été endommagé par le temps et la pollution, le Colisée de Rome nécessite une importante cure de jeunesse pour assurer sa longévité.

Parce que les Italiens sont aux prises avec une grave crise économique, ils n’ont tout simplement pas l’argent nécessaire pour donner au Colisée cette cure.

Forcé par cette situation à devenir de plus en plus créatif pour trouver les sous nécessaires aux différents projets, le maire de Rome vient de proposer une solution qui emprunte au marketing l’idée qui pourrait bien sauver le bâtiment historique.

Celui-ci offre en effet à des entreprises d’avancer les fonds nécessaires à la rénovation du Colisée, estimés à près de 35 millions de dollars, en échange de quoi, lesdites sociétés pourront promouvoir leur image en utilisant celle du Colisée.

La construction du Colisée a eu lieu durant le premier siècle de notre ère. D’un million de visiteurs qu’ils étaient il y a 10 ans, ce nombre atteint aujourd’hui 6 millions par année.

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De faux guides italiens s’en mettent plein les poches près du Vatican

Un véritable fléau est en train de se développer autour de la Cité du Vatican. De faux guides interpellent les touristes afin de leur vendre des billets d’entrée pour la demeure du Pape, qui est pourtant gratuite d’accès.

La basilique Saint-Pierre, qui est, au même titre que le Colisée, un détour incontournable de tout touriste en sol romain, est devenue le rendez-vous des voleurs qui offrent aux voyageurs des billets donnant accès au temple en les interpellant dans la rue, aux abords de l’endroit.

Les rabatteurs, qui savent pour la plupart parler anglais, proposent ainsi des « Vatican Tours » et, selon la police, leur chiffre d’affaires oscillerait aisément autour de 250 à 300 000 euros par jour. Ce chiffre est impressionnant quand on sait que les policiers sont, prétendument, aux aguets afin de faire cesser cette combine qui laisse un goût amer aux victimes de la fraude.

Soyez donc prudent si l’une de ces personnes malintentionnées redouble d’ardeur pour vous inciter à vous procurer un de ces tours guidés qui n’existent tout simplement pas.

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Le Colisée de Rome va rouvrir ses souterrains au public

Les touristes qui seront en direction de Rome cet été ont de quoi sourire : les travaux entrepris sur l’immense Colisée de la ville qui date de l’ère romaine sont à toute fin terminés. Plusieurs des secteurs de ce monument incontournable seront bientôt de nouveau accessibles.

Piero Meogrossi, le directeur technique du département archéologique au ministère de la Culture, a en effet expliqué : « D’ici le mois d’août, nous allons rouvrir l’arène qui est le plancher de bois recouvert de sable, l’hypogée, soit les souterrains se trouvant directement sous l’arène, la galerie entre les deuxième et troisième étages ainsi que l’attique, le tout dernier niveau du Colisée. »

Un peu comme l’est devenu Machu Picchu pour le Pérou, le Colisée de Rome est au coeur du tourisme italien, ses visiteurs étant d’ailleurs passés de 1 million par année il y a une dizaine d’années à 6 millions par année maintenant.

Construit lors du premier siècle après J.-C., le Colisée pouvait attirer de 50 000 à 75 000 personnes pour assister à des combats de gladiateurs ou même des combats navals, un système d’irrigation permettant de remplir l’arène d’eau.

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Un hôtel en déchets ouvre ses portes à Rome

Dans un geste symbolique visant principalement à attirer l’attention sur la condition des plages en Europe, un hôtel entièrement recouvert d’une sélection de ceux-ci, ramassés sur différents rivages du continent, vient d’ouvrir ses portes dans la capitale italienne de Rome.

Cette initiative est celle du groupe de protection de l’environnement Save The Beach qui a ainsi voulu montrer à la population l’incroyable diversité des déchets qui jonchent les plages en Europe. D’une guitare à un toutou en peluche en passant par un soulier de cuir, des couvertures et même une jambe en plastique d’un mannequin de vitrine, les murs du Save The Beach Hotel veulent prouver que l’insouciance des gens envers la nature ne se limite pas seulement aux mégots de cigarette ou aux petits bouts de papier.

L’hôtel, qui est situé près du Vatican, n’a pas encore dévoilé les détails concernant son nombre de chambres ou sa tarification, mais assure que le visiteur ne sentira pas l’odeur des déchets.

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Une exposition de fresques à Rome

Jadis, elles étaient les décorations les plus en vue dans les villas romaines. Maintenant, ces fresques d’époque seront exposées à Rome jusqu’au 17 janvier 2010 à la Scuderie del Quirinale.

L’exposition Rome, la peinture et l’empire s’ouvre jeudi et présentera environ 100 fresques, certaines vieilles de plus de 2 000 ans, principalement des fragments de ces oeuvres qui avaient l’habitude de couvrir des murs complets de villas.

Les fresques dépeignent souvent des scènes de la mythologie, des paysages ou des déesses de cette période. Les pièces de résistance de cette exposition sont deux fresques d’un mètre chacune et datant possiblement de 50 à 25 av. J.-C.

Les oeuvres exposées proviennent du Louvre, du British Museum, du musée du Vatican et du site archéologique de Pompéi, près de Naples.

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Dossier moyen (600 mots)

Italie – Le charme de l’éternité

Les sites incontournables
 
Rome, la bellissima éternelle
Rome offre une incomparable plongée dans l’histoire, auréolée par le charme de ses places aux fontaines mythiques et l’animation de ses « caffè » et autres « trattoria ». La Rome antique raconte son odyssée au fil des collines du Capitole, du Palatin et de l’Esquilin. Le colossal amphithéâtre du Colisée, le Forum romain, les thermes de Caracalla et la via Appia Antica se découvrent à pied. En regagnant le cœur de la ville éternelle, vous passerez devant le Panthéon, à deux pas de la fontaine de Trévi qui rappelle que Rome est aussi la ville de la Dolce Vita. Et le Vatican renferme quant à lui une pléiade de merveilles culturelles et architecturales.
 
Venise, la romantique envoûtante
Son entrelacs de canaux sinuant entre d’innombrables et minuscules îles reliées entre elles par des ponts fait partie de la légende romantique de la Sérénissime. À pied, en gondole ou en vaporetto, vous ralliez la place Saint-Marc et son ensemble architectural exceptionnel : basilique aux fastueuses dorures, Campanile dévoilant un panorama magique sur la ville, musée Correr, café Florian. Puis, c’est le palais des Doges qui dévoile ses salles décorées par Véronèse, le Tintoret ou Bassano. Après un passage par de sinistres prisons, vous arrivez sur le mystérieux pont des Soupirs. Un autre pont mythique, le Rialto, déroule trois allées pour piétons. À voir également, l’église baroque Santa Maria della Salute et l’Accademia qui présente des œuvres de Titien, Canaletto, Tintoret, Tiepolo… Enfin, l’île de Murano vaut le détour pour ses ateliers de souffleurs de verre et l’île de Burano est charmante avec ses maisons colorées et ses dentelles délicates.
 
Florence, fleuron de la Renaissance
La cité des Médicis a gardé de son passé Renaissance une profusion de palais munificents, d’édifices prodigieux et quantité de musées reflétant son glorieux destin artistique. Ne manquez pas de visiter le Duomo Santa Maria del Fiore aux murs de marbre vert, rouge et blanc. Son immense coupole domine la ville, tout comme le Campanile dessiné par Giotto. Et la basilique San Lorenzo abrite le mausolée des Médicis dessiné par Michel-Ange. Dans cette ville d’art, les musées comme la Galerie des Offices ou l’Accademia concentrent des milliers de peintures et de sculptures signées Michel-Ange, Botticelli, Vinci, Raphaël, Caravage, procurant un choc artistique exceptionnel! La belle Toscane offre aussi des promenades qui lui confèrent un charme unique. Du célèbre Ponte Vecchio, ce pont habité du XIVe qui enjambe le paisible fleuve Arno, vous passez devant le massif Palazzo Pitti. Puis le Palazzo Vecchio, dont la tour beffroi fut maintes fois copiée, vous conduira dans l’une des nombreuses boutiques de mode…
 
Naples, un musée à ciel ouvert débordant de vie
Née sous l’antiquité grecque, la capitale de la Campanie rayonne au cœur d’une somptueuse baie. En déambulant dans le dédale de ruelles animées aux pavés chantants du quartier Spaccanapoli, vous découvrirez l’église de Gèsu Nuovo, le monastère de Santa Chiara, le couvent San Domenico Maggiore, le palais baroque de Santangello… Une ballade dans le Centre Monumental, organisé autour de la piazza del Plebiscito, permet ensuite de rejoindre le Castel Nuevo, le Palais Royal ou l’église San Francesco di Paola. Et, au cœur du quartier des antiquaires, le musée Archéologique présente de fabuleuses collections. Enfin, la baie de Naples est ponctuée d’îles irrésistibles. Capri, la romantique auréolée d’une mer émeraude, Ischia, la volcanique verdoyante, et Procida, au charme authentique.
 
 
Le saviez-vous?
Vestiges archéologiques
Depuis Naples, il vous sera très facile de partir découvrir les sites archéologiques de Pompéi, port enseveli sous les cendres lors de l’éruption du Vésuve en 79 après Jésus-Christ, et de Herculanum, ville voisine submergée à la même époque par des flots de lave.
 
Venise en fête
Outre le célèbre carnaval, ne manquez pas les régates de l’Épiphanie le 6 janvier sur le Grand Canal, la Sensa, le jeudi de l’Ascension qui commémore le mariage de la cité avec la mer, la Festa del Redentore qui célèbre fin juillet, avec musique et feux d’artifice, l’anniversaire de la fin de la peste en 1576.
 
 
Les coups de cœur… gastronomiques!
À Rome, les artichauts frits.
À Florence, une assiette de pasta al’dente garnies de truffes finement râpées.
À Naples, bien sûr les pizzas.
À Venise, le foie cuisiné aux oignons accompagné de polenta.
Question boissons, le vin est excellent comme le chianti, puis le café et la fameuse grappa.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : toute l’année.
Quelques précautions : les villes italiennes ne sont pas exemptes de petite délinquance. Attention donc aux voleurs à la tire et aux voleurs à l’arraché.
N’oubliez pas d’emporter des chaussures confortables et un appareil photo.
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Découverte du visage de Michel-Ange

La restauration des fresques de Michel-Ange dans la Chapelle Pauline, au Vatican, aurait révélé un autoportrait de l’artiste qu’on ignorait jusqu’à maintenant.

Le restaurateur en chef du Vatican, Maurizio De Luca, a mentionné à AP Television News que le visage d’un homme à cheval dans l’œuvre La Crucifixion de Saint-Pierre pourrait bien être un autoportrait de Michel-Ange. Toutefois, on ne saura jamais avec certitude si c’est bien le cas.

Après 5 ans de travaux au coût de 5,2 millions de dollars, la restauration est maintenant terminée. Les fresques avaient été commandées par le pape Paul III. Michel-Ange les a peintes entre 1542 et 1549 alors qu’il avait environ 75 ans. Ce furent ces dernières peintures.

La Chapelle Pauline (Cappella Paolina) est utilisée par le pape et n’est pas ouverte au public. Elle contient deux fresques de Michel-Ange, La Crucifixion de Saint-Pierre et La Conversion de Saint-Paul.

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Le Colisée de Rome fête les 2 000 ans de son créateur

À Rome, on a souligné vendredi (27 mars) le 2 000e anniversaire de naissance de Vespasien, créateur du Colisée, le plus impressionnant amphithéâtre du monde.

Une exposition consacrée à Vespasien et aux Flaviens, sa dynastie, est en cours jusqu’au 10 janvier 2010. Divus Vespasianus retrace l’histoire du père du Colisée et de sa famille à travers des statues, des objets du quotidien de l’époque et des fragments de monuments.

Rome était en ruine après le grand incendie de 64 et sa reconstruction est due aux Flaviens. La construction du Colisée a débuté entre 70 et 72 et s’est achevée en 80 sous le règne de Titus, le fils de Vespasien.

Les œuvres des Flaviens comptent également l’Arc de Titus, construit par Domitien en l’honneur de son frère, le Forum Vespasien, le Palais Flavien et le Temple de Jupiter.

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Nouvelle liaison d’Air Canada vers l’Italie

À compter du 20 juin 2009, le transporteur assurera des vols quotidiens sans escale reliant la capitale de l’Italie à Montréal.

La liaison sans escale Montréal-Rome vient s’ajouter au service sans escale d’Air Canada entre Toronto et Rome, dont la reprise est prévue en février 2009.

Cette année, l’ajout de trois nouvelles liaisons sans escale, à destination de Genève, de Fort-de-France en Martinique et de Rome, permet à Air Canada de porter à 50 le nombre de ses liaisons sans escale au départ de Montréal.

Pour assurer une commodité et un choix accrus, Air Canada proposera des correspondances via Rome, par l’entremise de son partenaire commercial Air One, pour des destinations italiennes courues, notamment Bari, Milan, Palerme et Venise.

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Voyagez dans le temps

Les curieux pourront voir la vie telle qu’elle était à l’époque de l’empereur Maxence, en plus d’y découvrir les temples de cette période. Ils seront aussi les spectateurs de spectacles de gladiateurs au fameux Colisée de Rome.

Ces animations numériques, basées sur des données archéologiques, auront lieu dans le centre historique de Rome, près du Colisée.

Les représentations sont traduites en 8 langues et offertes au coût de 15 $.

Pour plus d’information, consultez le site Internet de Rewind Rome.