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Nouveau traitement prometteur contre l’Alzheimer

Un nouveau traitement, maintenant considéré comme « prometteur » par les spécialistes, aurait passé une nouvelle étape après des tests concluants effectués sur des rongeurs, dévoile The National Library of Medicine.

C’est un nouveau médicament, le 2-PMAP, qui aurait démontré des effets plus qu’intéressants sur des souris, rapporte cette même source, en coupant de moitié les niveaux de bêta amyloïde.

Cette dernière est la protéine qui serait largement associée au développement de la maladie d’Alzheimer, un fait confirmé par plusieurs autres études et spécialistes depuis un bon moment déjà.

La stratégie derrière ces tests et la création du 2-PMAP est de contrer les effets de l’Alzheimer avant sa progression.

« La clé est de prévenir le processus de la maladie pour éviter qu’il n’aille trop loin. Ce que nous voulons d’un médicament préventif contre l’Alzheimer, c’est qu’il réduise le bêta amyloïde, tout en demeurant sécuritaire à long terme », explique le Dr Martin Sadowski, auteur principal de l’étude et professeur au NYU Langone Medical Center.

D’autres essais sont à prévoir pour tester plus amplement les bienfaits du 2-PMAP.

Les résultats de cette plus récente étude ont été publiés dans la version en ligne des Annals of Neurology.

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Nouvelle percée en recherche contre le diabète de type 2

Une nouvelle molécule découverte par des spécialistes laisse croire à la possibilité d’un nouveau traitement éventuel contre le diabète de type 2, rapporte Top Santé.

Si on ne mentionne pas l’origine des chercheurs derrière cette percée, on connaît par contre le nom de la molécule en question, baptisée 6bk. Cette dernière permettrait de créer un traitement capable de freiner l’IDE, une enzyme responsable de la neutralisation de l’insuline dans l’organisme, et des problèmes subséquents de glycémie.

Plus encourageant encore, les chercheurs auraient déjà testé l’impact de la molécule 6bk sur des rongeurs, avec succès. Les animaux auraient immédiatement démontré une capacité renouvelée à réguler naturellement leur taux de glycémie, après avoir consommé du sucre.

Même si d’autres tests et essais sont à prévoir, la réaction des rongeurs aux essais préliminaires est prometteuse.

Les conclusions de l’étude et résultats de l’essai ont été publiés par le magazine Nature.

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Le cerveau des femmes modifié après une grossesse

Il semble que l’expérience d’une grossesse ne change pas que la vie d’une femme, mais aussi la dynamique de son cerveau, rapporte Radio-Canada.

C’est une étude proposée par une équipe de chercheurs menée par la neuroscientifique Liisa Galea, basée à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), qui dévoile cette conclusion.

Le cerveau subirait certains changements et perdrait même de la masse au cours d’une certaine période, ce qui pourrait créer des avantages pour les mères, comparativement à celles qui n’ont jamais vécu de grossesse.

Selon Mme Galea, les recherches effectuées par son équipe sur des rongeurs tendent à démontrer que les spécimens qui donnent la vie développeraient une meilleure mémoire à long terme, en plus d’une plus grande capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps.

Le fait le plus étonnant s’avère sans aucun doute celui qui propose une réduction de la taille du cerveau pouvant aller jusqu’à 8 % au cours d’une grossesse, mais celui-ci reprendrait sa taille « normale » au cours des mois suivants.

Toutefois, on mentionne et confirme que les femmes qui mettent un enfant au monde ont aussi certains risques accrus de problèmes de santé, qui peuvent se matérialiser de multiples façons et selon le cas de chacune.

Les conclusions de Mme Galea et de son équipe ont été proposées dans le cadre de l’arrivée de la fête des Mères, explique en terminant la société d’État.

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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Le rat-taupe détient-il la clé de la lutte au cancer?

Les scientifiques s’intéressent fortement au phénomène que représente à lui seul le rat-taupe, un type de rat qui vit extrêmement longtemps et qui semble imperméable au cancer.

Comment un animal en particulier peut-il, à lui seul, démontrer une capacité de résistance à la terrible maladie? Le rat-taupe détient-il la clé de la lutte au cancer?

C’est précisément la question qu’aborde une équipe de chercheurs basés à l’Université de Haïfa, en Israël, en collaboration avec d’autres spécialistes américains de l’Université de Rochester.

Le groupe est parvenu à pointer l’un des mécanismes qui expliqueraient cette présumée invulnérabilité au cancer, soit un type d’acide retrouvé dans l’organisme du rat-taupe, l’acide hyaluronique.

Lorsque cet acide est en symbiose avec les cellules, rapporte Santé Log, ces dernières deviendraient « blindées » au cancer, alors que lorsque les chercheurs coupent cette propriété, les cellules deviennent subitement vulnérables à la maladie.

La présence forte de cet élément dans le corps du rat-taupe pourrait s’expliquer par l’évolution découlant d’une vie souterraine.

Mais la véritable question demeure à savoir s’il s’agit d’un modèle applicable à l’humain…

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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Les canneberges de nouveau vantées dans une étude finlandaise

Les canneberges jouissent de toute une popularité depuis un certain temps, moussées par toutes sortes d’études et de recherches publiées sur le sujet.

Les spécialistes en nutrition et en alimentation commencent à confirmer plusieurs effets bénéfiques de la canneberge sur la santé, et Top Santé rapporte maintenant une nouvelle étude finlandaise qui abonde dans le même sens.

En effet, ces chercheurs en provenance d’Helsinki et basés à l’université du même nom ont effectué des tests en laboratoire sur des rats « stressés » afin de déterminer l’impact des canneberges sur l’hypertension artérielle.

Après avoir nourri ces rats uniquement avec le petit fruit pendant huit semaines, ils sont catégoriques : la tension de ces animaux a baissé de façon spectaculaire.

« Jusqu’à preuve du contraire, personne n’avait étudié les vertus de ce fruit sur l’hypertension artérielle. Or, on sait que ces baies qui poussent à l’état sauvage dans les forêts nordiques sont extrêmement riches en flavonoïdes et en polyphénols, bons pour le cœur. On pourrait donc ajouter ce fruit dans le régime quotidien des personnes qui souffrent d’hypertension », concluent à l’unisson les chercheurs finlandais. 

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Le débat sur les ondes électromagnétiques se poursuit

Une nouvelle étude viendrait confirmer certains effets des ondes électromagnétiques sur l’organisme, selon Top Santé. À tout le moins sur celui des rongeurs, car l’effet démontré ne l’a été que sur des rats, et non sur des humains.

Si la France parle des antennes-relais, il en va de même au Québec, avec nos fameux nouveaux compteurs d’électricité, en plus de tous les appareils émetteurs d’ondes retrouvés dans nos maisons.

Donc, ces appareils producteurs d’ondes dans notre environnement peuvent-ils avoir un effet sur notre santé? Oui, répond l’équipe de chercheurs de l’Université d’Amiens et de l’INERIS.

Les chercheurs, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Environnement Science and Pollution Research, croient qu’on peut parler d’effet sur l’équilibre énergétique, ce qui pourrait mener à certains problèmes de santé.

Perte de sommeil ou insomnie et prise de poids feraient partie des « symptômes », des phénomènes observés chez les rongeurs-tests.

Plus précisément, certains rats ont démontré des baisses de température, une faim supérieure, un sommeil fractionné et une certaine anxiété. Plus encore, la queue de certains rats a carrément été modifiée!

Les chercheurs tiennent mordicus à ce que d’autres études sur le sujet soient produites, afin de voir si cette corrélation peut s’étendre et s’appliquer à l’humain.

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Un régime spécial pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Santé Log rapporte une étude américaine qui fait état d’une découverte intéressante concernant la maladie d’Alzheimer.

En effet, des chercheurs de la USC Davis School of Gerontology(Université de Californie du Sud) auraient réussi à ralentir la progression de l’Alzheimer chez des souris, grâce à un régime alimentaire dit « hypoprotéiné ».

On commence par nourrir le sujet de façon normale, avant de le placer sous une diète stricte composée d’aliments forts en protéines et d’acides aminés spécifiques. On poursuit ainsi ces deux cycles alimentaires durant quatre mois.

Au final, les rongeurs observés lors de l’étude ont démontré des améliorations notables de leurs réactions cognitives, notamment lors du fameux test du labyrinthe. De plus, la protéine tau, caractéristique de l’Alzheimer, voyait son taux diminuer.

Il demeure bien sûr plusieurs essais cliniques à effectuer avant de parler de véritable découverte, car on ignore si le modèle peut se transposer chez l’humain.

Cependant, cette avancée permet de rester optimiste, surtout lorsqu’on combine celle-ci avec les autres percées récentes en matière d’Alzheimer.