« Let’s gooo!! C’était ma toute première chronique à @bonsoirbonsoirrc hier soir! Merci à toute l’équipe pour votre bel accueil », pouvait-on lire en légende sous sa publication Instagram.
« C’était ma toute première chronique à @bonsoirbonsoirrc hier soir! »
Sur les plateaux de tournage, le coup de coeur du public était entre autres accompagné de Jay Du Temple, Patricia Paquin, Simon D’Amours et Rosalie Bonenfant.
L’animateur, Jean-Philippe Wauthier, a mentionné n’avoir qu’une seule exigence, celle de recevoir Fred Robichaud en tant que chroniqueur dans son émission. Suite à ça, Jay Du Temple a avoué à l’ex-candidat d’OD que c’est grâce à la publication Instagram de Bonsoir Bonsoir qu’il a appris quel était le nom de famille de Fred!
Et vous, avez-vous visionné Bonsoir Bonsoir jeudi dernier?
C’est lors de l’événement Illumi: nouvelle féérie des lumières que Rosalie Bonenfant a annoncé qu’elle n’était plus en couple après sept ans d’amour. Elle s’est confiée à Marie-Eve Leclerc le temps d’une entrevue pour le magazine 7 Jours.
« Ça fait un an que ce n’est plus mon amoureux. Mais nous n’avons que de l’amour l’un pour l’autre », a lancé l’animatrice, en compagnie de Rita et Oliver, le chien et le conjoint d’Éléonore Lagacé.
« Ça fait un an que ce n’est plus mon amoureux »
En juin dernier, on apprenait que l’on pourrait voir l’autrice dans le nouveau film de Renée Beaulieu, Inès, mais aussi sur les écrans de la France, parce que la belle est allée tourner là-bas l’été dernier. La fille de Mélanie Maynard s’est confiée au magazine 7 Jours sur tout ce qu’il y a d’excitant dans sa vie actuellement.
Rosalie caresse le rêve d’actrice depuis bien des lunes et a accompli un autre rêve en jouant de l’autre côté de l’océan, où elle s’est envolée au mois d’août pour entamer les tournages.
« Présentement, on me confie des occasions en or dont je n’aurais jamais osérêver, a-t-elle lancé au magazine. À 24 ans, je n’aurais jamais eu la prétention de dire que j’en suis rendue à aller jouer en France… Je crois à la manifestation. J’ai l’impression que quelque chose de magnétique se passe cette année. Souvent, j’écris spontanément mes rêves et tout ce que j’ai envie de vivre. J’ai déjà écrit que je voulais partir seule en pack-sac, aller vivre en appart et écrire un livre… et j’ai tout fait dans la même année! J’ai réitéré l’expérience : j’ai écrit que je voulais jouer en France et, un mois plus tard, j’ai auditionné pour ce projet. »
« Je suis capable de rêver grand, mais quand les choses se réalisent, le syndrome de l’imposteur m’habite… Tout ce que je peux faire pour contrer ce sentiment, c’est d’essayer d’offrir le meilleur de ce que je suis », a-t-elle conclu.
En collaboration avec la Fondation Marie-Vincent, l’actrice Mélissa Désormeaux-Poulin a rassemblé pas moins de 11 vedettes issues du milieu artistique québécois afin de devenir l’image d’une campagne de sensibilisation quant à l’impact de la violence sexuelle faite sur les enfants, sur les adolescents et les adolescentes.
Les 11 personnalités ainsi que la comédienne Mélissa Désormeaux-Poulin ont pris la pose et ont également réalisé quelques capsules vidéos. Parmi ces vedettes, il y a Alex Perron, Sarahmée, Léane Labrèche-Dor, Catherine Trudeau, Patrice Bélanger, Normand D’Amour, Stéphane Rousseau, Rosalie Bonenfant, Lily Thibeault, Sebastien Delorme et Vincent-Guillaume Otis.
En effet, la porte-parole de l’organisme, Désormeaux-Poulin, est évidemment bien emballée par ce projet. Rappelons que Mélissa Désormeaux-Poulin est porte-parole pour la fondation Marie-Vincent depuis un petit moment déjà.
Mélissa Désormeaux-Poulin est porte-parole pour la fondation Marie-Vincent depuis un petit moment déjà
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« C’est maintenant le temps de faire l’annonce du projet sur lequel nous travaillons depuis maintenant plusieurs mois!!🎉
Avec la collaboration de Mélissa Désormeaux-Poulin et de Moonstruhk nous avons réalisé une série de 3 capsules vidéos avec 11 artistes qui ont généreusement accepté de prendre la parole et de prêter leurs visages pour sensibiliser la population à l’impact de la violence sexuelle envers les enfants et les adolescent·e·s., ainsi qu’à l’importance de venir en aide aux victimes et de faire de la prévention.👭
Les capsules seront diffusées sur tous nos médias sociaux et sur notre site web. Grâce à la générosité de nos partenaires médias, vous pourrez aussi les voir passer à la télévision, sur les chaînes de Radio-Canada et de Bell Média. Merci pour cette belle visibilité! 🤗
Un immense merci à Mélissa Désormeaux-Poulin, à Moonstruhk et à tous les artistes qui ont collaboré à la réalisation de ces capsules de sensibilisation à la violence sexuelle. 🧡
Bâtir une communauté protégeante, c’est l’affaire de tous! », pouvait-on lire sous la publication Instagram de la fondation.
« Nous sommes très fiers∙ères et fébriles de pouvoir enfin vous présenter les 11 personnalités de la communauté artistique, qui ont accepté, avec une grande générosité, de collaborer au tout nouveau projet de Mélissa Désormeaux-Poulin et Marie-Vincent, pour contribuer à bâtir une communauté protégeante. 🧡 Surveillez notre page, le lancement officiel se fait demain!! 🎉 ».
La sombre série série a été imaginée par celui qui est derrière le succès de TVAAlertes et À vos marques… party!, Frédérik D’Amours, et la scénarisation est signée par Martin Girard ainsi que celui qui avait coscénarisé le premier film québécois produit par Netflix, Jusqu’au déclin, Charles Dionne. Pas besoin de vous dire que ça promet comme Lac Noir est une série d’horreur de huit épisodes qui a été finement confectionnée par de grands amateurs de films de genre. Et laissez-nous vous dire que ça paraît!
Dès les premières minutes du premier épisode, nous sommes déjà plongés dans une intrigue complètement sanglante qui ne fera que prendre de l’ampleur et ajouter de la chair autour de l’os quant à l’inquiétant destin qui attend les personnages.
« Ça été une expérience vraiment le fun et super challengente en tant que comédienne », lançait l’actriceMélissa Désormeaux-Poulin lors de la conférence de presse de la série, mercredi dernier.
@melaniemaynardofficiel, @mariphotographe via @rosaliebonenfant
Mélanie Ménard revient sur ses deux divorces et c’est touchant. Elle dit que l’humour l’a toujours aidé à traverser les épreuves et nous pensons qu’elle a vraiment trouvé le secret du bonheur en arrivant à tout saupoudrer d’humour ainsi. Elle accompagne ce charmant texte d’une belle photo accompagné de ses deux et grands enfants, il y a de quoi être fière, sa famille est superbe. Elle en profite aussi pour offrir ses conseils aux parents qui divorcent, c’est très intéressant. Voici sa publication.
« Salut, mon nom est Mélanie Maynard, doublement divorcée! J’ai eu mes deux doses, je pense être immunisée!
Ben quoi?! Vous savez ce qu’on dit, certains apprennent facilement de leur erreur, d’autres doivent s’y prendre à deux
fois! J’ai toujours fait beaucoup de blagues sur mon statut de double-divorcée. L’humour est une façon formidable de se déculpabiliser. C’est la façon que j’ai trouvée pour pouvoir continuer d’avancer avec une roche dans chaque soulier.
Je peux réussir à en rire un peu pour dédramatiser, mais je ne pourrai jamais qualifier d’erreur ce qui m’a fait connaître l’amour inconditionnel, le grand, celui qui durera tout le temps, celui que j’ai pour mes enfants. Peu importe la raison, une relation qui se termine n’est un moment agréable pour personne. Un divorce ou une séparation, ça fait partie des événements les plus stressants d’une vie, pour les enfants d’abord et pour les parents aussi. Mais je vous jure, on s’en sort et souvent même plus fort! Par contre, même quand on pense que la situation est réglée, souvent les choses changent et évoluent. En tant que parent, on n’a pas le choix de s’adapter, mais c’est ben pratique de savoir que #MinistèreDeLaJustice s’adapte aussi pour nous faciliter la vie!
Deux programmes sont là pour simplifier la vie des parents séparés :
Le SARPA (Service administratif de rajustement des pensions alimentaires pour enfants).
Avec ce programme, si la situation financière de l’un ou l’autre des parents change, tu peux faire toi-même une demande en ligne pour rajuster la pension alimentaire d’un enfant mineur.
LE SAH (Service d’aide à l’homologation), lui, permet aux parents qui s’entendent bien (mes idoles!) de modifier un jugement de séparation (garde, droit d’accès, pension alimentaire) avec l’aide d’un avocat, à moindre coût.
C’est pas beau ça!!?
Pour tous les détails et des gens bien plus compétents que moi pour vous en parler, cliquez sur le lien dans ma bio »
@melaniemaynardofficiel, @mariphotographe via @rosaliebonenfant
C’est un magnifique portrait de Mélanie Maynard et de sa fille Rosalie Bonenfant que nous retrouvons en couverture du magazine Clin d’oeil quant à son numéro spécial intitulé Rose plus fortes ensemble. Maman et sa fille n’ont jamais été aussi belles en plus de servir une bonne cause qui est celle du cancer du sein.
C’est sur ses réseaux sociaux que Mélanie Maynard a partagé les premiers clichés en s’exprimant sur le numéro spécial dédié à la sensibilisation de la lutte contre le cancer du sein du magazine.
« Parce que le fléau du cancer du sein est loin d’être enrayé, parce que ça nous concerne toutes et tous, de loin ou bien souvent de trop près… », écrivait-elle sous la publication.
« C’est une cause féministe », lance Mélanie dans une vidéo publiée sur le compte Instagram du magazine.
Rosalie Bonenfant était tout à fait d’accord avec sa mère et a renchéri sur le fait de prendre la pose pour se retrouver sur la couverture d’un magazine « ordinaire », était bien différente que de prendre la pose pour une bonne cause.
L’autrice, actrice et animatrice (qu’on A-DO-RE), Rosalie Bonenfant, sera beaucoup plus présente dans nos écrans de cinéma dans les prochaines années. On pourra la voir dans le nouveau film de Renée Beaulieu, Inès, mais aussi sur les écrans de la France, parce que la belle ira tourner là-bas au mois d’août prochain.
La fille de Mélanie Ménard s’est confiée au magazine 7 Jours sur tout ce qui est d’excitant dans sa vie actuellement. Elle parle entre autres de son prochain film, Inès, dans lequel nous pourrons voir Roy Dupuis et Noémie Godin-Vigneau, qui sortira prochainement. Elle raconte son expérience avec le tournage, mais aussi, le personnage qu’elle incarne qui a une tout autre réalité que la sienne. « Je l’ai vu récemment et ça a rendu l’expérience plus tangible. Ça n’a pas été facile à regarder… De tous les projets que j’ai faits jusqu’à maintenant, c’est celui qui m’a fait vivre le sentiment le plus proche de la fierté. Je ne suis pas très bonne pour ressentir cette émotion… Peut-être que ce n’était pas ça, que je l’ai juste mal identifiée… mais j’avais hâte que mes amis aillent voir le film au cinéma. C’est un film très difficile. C’est de la grande émotion! Inès a des problèmes de consommation », admet-elle, avec reconnaissance.
Rosalie Bonenfant parle également de la transformation physique qu’elle a dû subir pour interpréter son rôle. « Pour tenir ce rôle, on m’a creusé le visage, ajouté des boutons et des rougeurs. Me voir vivre des émotions difficiles pendant une heure et demie, c’était bouleversant! Il y a quelque chose de transcendant dans ce projet. Ça m’a confirmé que c’est ce que je veux faire dans la vie », affirme-t-elle.
Rosalie caresse le rêve d’actrice depuis bien des lunes. D’ailleurs, elle accomplira un autre rêve, celui de jouer dans un film en France. Où elle s’envolera dès le mois d’août prochain pour entamer les tournages.
« Présentement, on me confie des occasions en or dont je n’aurais jamais osé rêver. À 24 ans, je n’aurais jamais eu la prétention de dire que j’en suis rendue à aller jouer en France… Je crois à la manifestation. J’ai l’impression que quelque chose de magnétique se passe cette année. Souvent, j’écris spontanément mes rêves et tout ce que j’ai envie de vivre. J’ai déjà écrit que je voulais partir seule en pack-sac, aller vivre en appart et écrire un livre… et j’ai tout fait dans la même année! J’ai réitéré l’expérience: j’ai écrit que je voulais jouer en France et, un mois plus tard, j’ai auditionné pour ce projet. Je suis capable de rêver grand, mais quand les choses se réalisent, le syndrome de l’imposteur m’habite… Tout ce que je peux faire pour contrer ce sentiment, c’est d’essayer d’offrir le meilleur de ce que je suis », conclut-elle.
Nous sommes plus qu’impatients de voir Rosalie Bonenfant dans nos écrans de cinéma une fois de plus. Le jeu lui va si bien!
Après avoir confié qu’elle avait le « pardon facile », elle a toutefois admis s’être questionnée sur le sujet. « Je me questionne le pardon. Je ne sais pas si je me sens prête…Je trouve ça tôt un peu pour la rédemption. […] Ce n’est pas tant une question de temps… Ce sur quoi je me questionne, c’est : est-ce qu’on peut réellement changer en six mois? […] Je ne veux pas avoir l’air intransigeante. Je pense que je suis plutôt sceptique. Elle est où la preuve concrète de l’introspection [de Maripier Morin sur ses actes]? », a-t-elle lancé.
« Ce n’est pas parce que tu as fait quelque chose de mauvais que tu es une mauvaise personne. Par contre, je pense que la notoriété, c’est quelque chose qui se mérite », a souligné Rosalie un peu plus tard.
Crédit:Facebook de Deux hommes en or
Pour visionner la chronique complète de Rosalie Bonenfant à Deux hommes en or, que nous vous suggérons d’écouter en intégralité, c’est par ici, sur le site Web de Télé-Québec.
Avec la vague de dénonciations d’inconduites sexuelles, qui fait rage sur les réseaux sociaux québécois depuis le début du mois de juillet, est venue une pluie d’excuses de personnes ayant été visées par des accusations. S’ils sont salués par certains internautes, ces messages de la part d’agresseurs allégués ont aussi été vivement critiqués, notamment parce que le public a souvent jugé qu’ils manquaient de sincérité.
Rosalie Bonenfant fait donc partie de ces nombreuses personnes qui n’ont pas tout bonnement avalé les excuses trop souvent insipides ou peu senties qu’on nous a servies dernièrement. La goutte qui aura fait déborder le vase pour elle aura visiblement été la vidéo de Kevin Parent publiée lundi avant-midi, après que le chanteur ait été accusé notamment d’avoir comme « jeu » avec un de ses amis de mettre son membre dans la consommation d’alcool de filles dans les bars sans que celles-ci s’en rendent compte, des faits que le musicien n’a pas niés.
C’est donc d’abord en parodiant le chanteur gaspésien que l’autrice et animatrice a commencé ses critiques dans ses stories Instagram, lundi après-midi. « Moi, je le savais pas qu’il fallait pas que je mette ma graine dans des verres », a-t-elle lancé en imitant Kevin Parent. « Je suis tu la seule qui a jamais mis sa vulve dans le verre de qui que ce soit auparavant et à qui on n’a jamais eu besoin de dire que ça se faisait pas? », a-t-elle ajouté pour bien faire comprendre son dégoût.
Rosalie Bonenfant y est alors allée de quelques conseils pratiques pour les artistes qui sont dénoncés : « J’ai une idée : et si vous nous sacriez patience avec vos vidéos d’excuses? Parce que, visiblement, on est peut-être très faciles à distraire dans un bar le temps que vous mettiez votre sexe dans notre verre, mais par contre, on s’en rend compte que vous n’êtes pas repentants pour vrai pis que vous êtes juste mal de vous être fait pogner. Vos vidéos d’excuses au conditionnel […], c’est f*cking insultant. C’est f*cking insultant de discréditer le témoignage des victimes. Juste, taisez-vous. Quittez l’espace public. Arrêtez de nous faire sentir aussi f*cking stressées de travailler avec vous. » « C’est une proposition et une idée comme ça », a-t-elle conclu.
Rappelons que l’agence Preste s’est dissociée de Kevin Parent, qu’elle représentait jusqu’à lundi matin. Le chanteur a indiqué dans sa vidéo d’excuses qu’il comprenait cette décision, puisque le contraire « ne paraît pas bien ». Bien qu’il se soit dit désolé « [s’il a] fait de la peine à des gens », il n’a pas répondu aux allégations voulant qu’il mettait sa verge dans les verres de femmes à leur insu.
Le 17 mai prochain, c’est la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, initiée en 2003 par la Fondation Émergence, qui dévoile aujourd’hui sa nouvelle porte-parole, Rosalie Bonenfant.
À l’automne dernier, la chroniqueuse avait profité de sa tribune sur les ondes de Rouge FM pour fait un « coming-out », affirmant ne pas vouloir mettre d’étiquette sur son orientation sexuelle.
« Pour être honnête, je ne sais pas si je suis hétéro, je ne sais pas non plus si je suis gaie, bi, ou pansexuelle, mais pour être encore plus honnête : je m’en sacre », avait-elle notamment lancé, notamment.
Ses mots ont résonné au sein de la Fondation, qui applaudit sa façon de présenter les réalités de la communauté LGBTQ+ et de s’afficher comme une alliée à la cause.
La Fondation Émergence axera cette année sa campagne de sensibilisation sur la cyberhomophobie et la cybertransphobie.
Le Cyberbullying Research Center rapporte que 34% de la population a subi une forme de cyberintimidation, d’après les données de 2016; c’est un chiffre qui monte en flèche dans la communauté LGBTQ+, où 73% des personnes ont déjà été attaquées ou harcelées sur le web, selon mpvMentor. « C’est par l’éducation que nous arriverons un jour à vaincre la cyberintimidation. C’est un enjeu qui touche plus particulièrement les personnes LGBTQ+, mais c’est un défi que nous devons relever tous ensemble, en tant que société », a exprimé Patrick Desmarais, le président de la Fondation, par voie de communiqué.
Dès aujourd’hui, trois nouvelles séries pour ados sont disponibles sur ICI Tou.tv et sur l’Extra!
Les jeunes pourront suivre, dans la section gratuite de la plateforme, C’est quoi l’trip?, un magazine animé par une Rosalie Bonenfant bien motivée à analyser les tendances, de la pilosité au véganisme en passant par la nudité sur les réseaux sociaux.
Dans ces huit épisodes de 10 à 12 minutes, chacun consacré à une tendance bien précise, la fille de Mélanie Maynard recevra des invités qui la confronteront aux préjugés.
Dans la section payante, deux nouvelles dramédies sont offertes. Avec moi, une série en huit épisodes écrite par Marie-Ève Larivière qui y partage également la vedette, met en scène une ado de 16 ans (incarnée par Milya CorbeilGauvreau) qui connaît toute une popularité sur YouTube… mais son succès n’est pas toujours évident à combiner avec le reste de sa vie, et ce n’est simple pour ses proches non plus!
Toujours dans la section payante, Nomades nous plonge dans la vie de Sam (jouée par Romane Denis) qui, du haut de ses 17 ans, décide de quitter son Trois-Pistoles natal pour vivre un mois dans une auberge de jeunesse montréalaise.
Avec une saveur de rite de passage, cette série en 10 épisodes nous montrera les aventures pas toujours heureuses de cette jeune femme fraîchement débarquée dans la métropole.
Leurs deux premiers épisodes de ces trois nouveautés sont déjà en ligne tandis que la suite sera ajoutée bientôt, le jeudi 28 mars.
