Une nouvelle boisson connait une popularité grandissante en ce moment, spécialement chez les amateurs de produits « verts » et ceux qui se soucient de leur santé. Il s’agit du thé rouge qui, contrairement à son nom, ne serait pas théoriquement du thé.
C’est du moins ce qu’explique topsante.com, qui rapporte la montée de popularité du thé rouge et donne quelques informations aux gens qui aimeraient commencer à utiliser ce produit.
D’abord, le thé rouge est très riche en antioxydants. Pour ceux qui se joignent à nous, rappelons que les antioxydants sont très importants pour l’organisme et permettent de protéger le corps et prévenir de plusieurs maladies, dont certains cancers et maladies cardiovasculaires, en freinant le vieillissement des cellules.
On apprend également que le thé rouge ne provient pas du théier comme de coutume, mais plutôt d’un petit arbre d’Afrique du Sud. La couleur rougeâtre des feuilles n’apparaitrait qu’après un processus de fermentation.
De plus, il est dépourvu de théine, ce qui explique pourquoi on le disqualifie d’être un thé officiellement, malgré son nom! Il n’est pas excitant, ce qui en permet l’usage à n’importe quel moment de la journée.
Il est non calorique et comprend de belles propriétés pour la santé, notamment grâce à la forte présence d’antioxydants.
Le thé rouge est vendu dans plusieurs supermarchés.
Topsante.com rapporte qu’une alerte a été lancée par plusieurs associations concernant certains suppléments alimentaires à base de levure de riz rouge.
C’est que, selon les experts, la plupart de ces produits ne sont pas seulement « inutiles », mais peuvent également représenter un danger pour l’organisme.
Recommandés pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang, certains de ces suppléments ne contiendraient pas les doses nécessaires de la molécule qui permet de faire baisser ces taux. Le traitement s’avère donc inefficace.
En contrepartie, d’autres compléments du genre (toujours à base de levure de riz rouge) contiendraient des doses trop importantes, représentant ainsi un véritable danger pour le consommateur.
On suggère fortement de consulter son médecin avant d’entreprendre un tel traitement, et les associations (notamment en Europe) veulent que les autorités légifèrent en la matière.
On souhaite que les dangers reliés à ces suppléments soient dévoilés et officialisés, et que les compléments qui ne contiennent pas les doses suffisantes de la molécule monacoline K ne soient plus recommandés comme traitement pour le cholestérol.
Selon les spécialistes, il est important de corriger le tir et de transmettre ces informations au public.