Catégories
Nouvelles quotidiennes

Les 10 plus beaux endroits pour pique-niquer au Royaume-Uni

Pour encourager les gens à sortir découvrir les grands espaces verts du Royaume-Uni, le National Trust vient de publier son palmarès des meilleurs endroits où s’installer pour faire un pique-nique et admirer la vue qui s’offre aux gens.

Les lieux par excellence pour lesquels a opté le National Trust afin d’établir sa liste offrent une grande variété de panoramas, allant de collines aux montagnes, passant par la ligne côtière, des jardins et des immeubles historiques.

Un sondage effectué en parallèle avec ce palmarès révèle que si 9 familles sur 10 adorent manger à l’extérieur, plus de la moitié de celles-ci craignent un changement de température soudain pour s’empêcher de le faire plus souvent.

Parmi les sites retenus, on retrouve notamment Fountains Abbey dans le Yorkshire et Tennyson Downs sur l’île de Wight.

Voici le top 10 :

1.     Kynance Cove, Cornwall
2.     Stourhead, Wiltshire
3.     Box Hill, Surrey
4.     Tennyson Downs, Île de Wight
5.     Dunwich Heath, Suffolk
6.     Croome, Worcestershire
7.     The Kymin, Monmouth
8.     Fountains Abbey and Studley Royal, North Yorkshire
9.     Fell Foot, Cumbria
10.   Florence Court, Irlande du Nord
Catégories
Guide touristique

Royaume-Uni – Visite éclair à Londres

A la reine tout honneur !

Sa Majesté propose à elle seule de nombreux détours incontournables. Commencez par assister à la relève de la garde devant Buckingham Palace. En été, vous pourrez même visiter le Palais et prendre le thé dans les jardins les plus prestigieux du Royaume. Visitez ensuite Westminster Abbey et Westminster Palace, le siège des Chambres des Lords et des Communes surmonté de la célèbre horloge Big Ben.

?Les musées

?Bonne nouvelle! La plupart des musées sont gratuits, seules les expositions temporaires sont payantes. Ne manquez pas le British Museum pour ses antiquités égyptiennes et grecques; la National Gallery qui présente des grands peintres européens et la National Portrait Gallery qui dévisage 500 ans de portraits; enfin la Royal Academy of Arts est idéale pour découvrir les grands classiques anglais du XVIIe à nos jours.

Le paradis du shopping

Impossible de visiter Londres sans céder aux charmes du shopping. Institution autant que magasin, la visite d’Harrods à Knightsbridge s’impose. Le Food Hall est à conseiller pour acheter les thés « maison » dans leurs boîtes vertes. Plus bourgeois, moins touristique, Harvey Nichols, son proche voisin, est largement ouvert aux créateurs. Selfridges, sur Oxford Street, est le grand magasin par excellence de la mode. Liberty sur Regent Street séduit par sa façade Tudor et ses imprimés fleuris inimitables. Peter Jones de Sloane Square a le charme discret des magasins cossus. Et Marks & Spencer, chaîne à prix doux, offre de bonnes surprises aux rayons enfants et lainages.?

Catégories
Guide touristique

Royaume-uni – Les Beatles

D’une chanson à l’autre
Liverpool a été une forte source d’inspiration pour les Beatles. C’est en se promenant en ville que l’on retrouve avec émotion ces lieux souvent ordinaires, mais immortalisés par la magie d’une mélodie comme Penny Lane, Strawberry Fields, Eleonor Rigby’s
 
Le Cavern Club
C’est l’endroit mythique où les Fab Four ont connu leurs premiers triomphes. Ouvert en 1957, le club accueillait des groupes locaux. Les Beatles en devinrent les vedettes avec près de 300 performances entre 1961 et 1963. Fermé en 1973, démoli puis reconstruit presque à l’identique en 1984, le club retrouva sa superbe. Aujourd’hui, le Cavern Club reçoit de nombreux groupes connus et, pépinière de nouveaux talents, donne aussi sa chance aux débutants.
 
The Beatles Story Museum
Situé dans les superbes Albert Docks du port, à proximité de la Tate Liverpool, c’est un musée incontournable qui retrace l’épopée des « Quatre garçons dans le vent ». Un parcours audio est offert en quatre langues et la maquette du Yellow Submarine cher à Ringo s’immerge au milieu des souvenirs de la Beatlemania.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Évitez d’être à couteaux tirés avec la police au Royaume-Uni

Plusieurs personnes aiment bien traîner sur elles un petit canif ou même un couteau suisse qui leur permet un dépannage rapide pour de petits travaux inopinés. Des versions de ces petits canifs ou couteaux existent même en format porte-clés.

Toutefois, si l’une de vos prochaines destinations est le Royaume-Uni, sachez que vous risquez de vous retrouver derrière les barreaux si l’on vous surprend avec l’un de ces outils dans vos poches.

Avec le but de limiter les agressions qui ont cours sur la voie publique, la police britannique qui vous surprendra en possession d’un canif de toute sorte aura pour vous de lourdes sanctions, soit une amende et possiblement un emprisonnement immédiat.

Bref, les couteaux sont vraiment à double tranchant là-bas.

Si vous êtes du genre craintif et songez maintenant à remplacer ce couteau que vous gardiez sur vous dans le but de vous défendre contre une éventuelle agression, n’optez surtout pas pour une bombe à gaz défensive, celles-ci sont également interdites et pourraient vous exposer aux mêmes conséquences.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Angleterre : Sur les pas des Beatles à Liverpool

Liverpool, la rivale de Londres
Ancrée sur l’estuaire de la rivière Mersey au nord-ouest de la Grande-Bretagne, Liverpool, capitale européenne de la culture en 2008, est artistiquement rivale de Londres. Ce port, qui commerce depuis le Moyen Âge, a su tirer profit de sa flamboyante prospérité victorienne en sauvegardant son patrimoine et en privilégiant les arts. Mais l’un des must de Liverpool, c’est de suivre les pas des Beatles dans la ville.
 
Des enfants terribles
John Winston Lennon est né le 9 octobre 1940. Père absent et mère désinvolte, John a grandi dans le faubourg de Woolton élevé par sa parentèle. Doué pour le dessin et l’écriture, il intègre le Liverpool Art College, mais se lance rapidement dans la musique et fonde son premier groupe, les Quarrymen. Il rencontre Paul McCartney lors d’une fête où il se produit à l’église de St Peter.
 
James Paul McCartney est né le 18 juin 1942. Son père, musicien amateur dans un groupe de jazz, lui a fait donner des leçons de piano. Réussissant ses études, il intègre le Liverpool Institute où il rencontre George Harrison. Il rejoint les Quarrymen et compose avec John leurs premières chansons.
George Harrison, le benjamin, est né le 24 février 1943. Attiré par la musique et encore adolescent, il fonde son groupe, les Rebels. Bon guitariste et aussi compositeur, il est présenté par Paul et rejoint les Quarrymen à l’âge de 14 ans!
 
Quant à Ringo Starr, de son vrai nom Richard Starkey, il est né le 7 juillet 1940. Enfant fragile, élève médiocre, mais bon batteur, il quitte l’école et, passionné, crée le Eddie Clayton Skiffle, puis devient le batteur des Rory Storm and the Hurricanes jusqu’à sa rencontre à Hambourg avec les Beatles. Les Quarrymen avaient changé de nom et la carrière exceptionnelle du groupe pouvait commencer avec des succès inoubliables.
 
Les lieux de mémoire
Liverpool a été une forte source d’inspiration pour les Beatles. C’est en se promenant en ville que l’on retrouve avec émotion ces lieux souvent ordinaires, mais immortalisés par la magie d’une mélodie comme Penny Lane, Strawberry Fields, Eleonor Rigby’s… Et les aficionados ne manqueront pas les visites des repaires familiers, maisons natales, écoles, collèges et instituts, églises, clubs et bars qui furent les sources d’inspiration de leur génie.
 
Le Cavern Club
C’est l’endroit mythique où les Fab Four ont connu leurs premiers triomphes. Ouvert en 1957 et inspiré par les caves de jazz de Saint-Germain-des-Prés à Paris, le club accueillait aussi des groupes locaux. Les Beatles en devinrent les vedettes avec près de 300 performances entre 1961 et 1963. Fermé en 1973, démoli puis reconstruit presque à l’identique en 1984, le club retrouva sa superbe. Aujourd’hui, le Cavern Club reçoit de nombreux groupes connus et, pépinière de nouveaux talents, donne aussi sa chance aux débutants. C’est le passage obligé de tout fan des Beatles.
 
The Beatles Story Museum
Situé dans les superbes Albert Docks du port, à proximité de la Tate Liverpool, c’est un musée incontournable qui retrace l’épopée des « Quatre garçons dans le vent ». Un parcours audio est offert en quatre langues et la maquette du Yellow Submarine cher à Ringo s’immerge au milieu des souvenirs de la Beatlemania. Quarante ans après leur séparation, les Beatles tiennent toujours le haut du pavé de la pop music. Les cinq albums sortis entre 1963 et 1969 viennent d’être remastérisés en septembre 2009 et ils connaissent un triomphe.
 
Un master Spécial Beatles
Et pour couronner ces Fab Four, l’université Hope de Liverpool dispense, depuis la rentrée 2009, un cours intitulé « Musique populaire et société » consacré à ses célèbres rejetons!
Catégories
Nouvelles quotidiennes

De faux tableaux à Londres

La National Gallery de Londres prépare, pour l’an prochain, l’exposition Examen rapproché : faux, erreurs et découvertes.

L’événement présentera de faux tableaux du musée ainsi que certains trésors qui étaient cachés.

On mettra aussi l’accent sur les progrès technologiques qui permettent de révéler les secrets cachés des peintures et d’identifier les imposteurs ou les tableaux qui se sont avérés authentiques alors qu’on croyait posséder des copies.

Par exemple, un tableau acquis en 1925 et prétendument daté du 15e siècle s’est révélé, après un examen minutieux, avoir été peint au 20e siècle.

Le musée présentera également des œuvres attribuées par erreur à de grands maîtres.

L’exposition se tiendra du 30 juin au 15 septembre 2010.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Les pires hôtels du monde

En se basant sur les avis des voyageurs, le site Internet Tripadvisor a dressé ses tops 10 des hôtels les plus sales en France, en Asie, en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni et aux États-Unis.

En France, le Merryl, situé dans le 18e arrondissement à Paris, remporte la palme. Il est suivi du Bristol République et du Lebron, toujours à Paris.

En Asie, les trois premières positions sont le First Hotel Bangkok en Thaïlande, le Grand Central à Singapour et The Imperial Hotel à Hong Kong.

En Inde, les trois premières places sont occupées par des établissements de New Delhi, soit le Centaur Hotel IGI Airport, le Hotel Regent Continental et l’Ashok Hotel.

En Italie, les trois se trouvent à Rome, soit le Nizza, l’Anglo Americano et le Repubblica Hotel.

Pour l’Espagne, les pires établissements sont le Playamar à S’illot, le Catalonia Garden à Salou et le Rambla & Catalunya Hostel à Barcelone.

Les deux pires hôtels au Royaume-Uni se situent à Londres, soit le Cromwell Crown et le Corbigoe Hotel. La troisième place est occupée par le Nanford Guest House à Oxford.

Finalement, aux États-Unis, les hôtels à éviter sont le Carter à New York, le Continental Bayside Hotel à Miami et le New York Inn à New York.

Vous pouvez consulter les listes complètes sur le site Internet et aussi voir les commentaires des voyageurs sur chacun des établissements.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Royaume-Uni : Londres – Sur les pas de Jack l’Eventreur

Whitechapel hier
Plantons le décor. Whitechapel, à l’est de la City, tient son nom d’une chapelle du XIVe siècle dédiée à la Vierge Marie. A la fin du XIXe siècle, c’est l’un des quartiers parmi les plus pauvres de Londres. Il accueille des émigrants irlandais et des juifs d’Europe qui ont rejoint une population misérable. Ses rues et arrières cours sont fréquentées par des prostituées qui y font commerce entre deux portes. L’alcool, la violence et les crimes sont courants dans les bouges et dans les ruelles obscures qui attirent des visiteurs voulant s’encanailler.
 
Et Whitechapel aujourd’hui
Aujourd’hui, Whitechapel a bien changé. Le quartier est le fief du sous-continent indien, particulièrement celui des Bangladeshi. Le marché de Brick Lane est à ne pas manquer. Les restaurants indiens ont remplacés les fish & chips ; les courettes ont fait place à des logements sociaux. Il reste encore quelques maisons, écoles et églises anciennes. A l’Ouest, la City voisine gagne du terrain et le paysage se modernise. Maintenant, le promeneur avec de l’imagination, car l’urbanisme a fait son œuvre, peut suivre les pas de Jack l’Eventreur.
 
Signé Jack The Ripper
Ce pseudonyme a été vulgarisé par la presse à la réception d’une lettre supposée être de la main du tueur au couteau et signée Jack The Ripper. De nombreuses missives furent envoyées à la police et aux journaux, la plupart sombres canulars, pourtant trois d’entre elles furent considérées comme sérieuses.
 
Suivez le guide !
Officiellement, Jack l’Eventreur aurait fait cinq victimes, toutes des prostituées. Au départ de la station de métro Whitechapel, rejoignez Durward Street, anciennement Buck’s Row. C’est là que la première victime Mary Ann Nichols, dite Polly, est trouvée le 31 août 1888 à 3 h 45 du matin. Elle a été égorgée et éventrée (inscription dans un cartouche blanc à l’entrée de la rue sur le mur en briques). Continuez jusqu’à Hanbury Street. Dans la cour du n°29, aujourd’hui remplacé par un parking et une halle, la seconde victime Annie Chapman, dite Dark Annie, est retrouvée le 8 septembre à l’aube. Elle a aussi été égorgée et sauvagement éviscérée.

Revenir jusqu’à Henriques Street. La troisième victime Elisabeth Stride, dite Long Liz, fut quant à elle égorgée dans la cour du club Berner le 30 septembre (cartouche à l’angle de la rue). Repartir vers la station de métro de Aldgate East jusqu’à Mitre Square. C’est dans ce parc public, aujourd’hui placette entre immeubles et école, que la quatrième victime Catherine Eddowes, dite Kate Conway, a été tuée le même jour. Affreusement mutilée, elle a été éviscérée et plusieurs de ses organes lui ont été volés.
Cap au Nord, vers Goulston Street pour rejoindre Brushfield Street. C’est au 13 Miller’s Court, le 9 novembre vers 3 h du matin que Mary Jane Kelly, dite Ginger, est retrouvée chez elle découpée en morceaux. Son cœur a disparu. Rien ne subsiste de l’endroit, le Spitafields Market a investi les lieux dominés par une imposante église. Finir le tour, en face, au Ten Bell Pub contemporain de Jack l’Eventreur et boire à la mémoire de ces belles de jour tuées la nuit.
 
Les suspects
Plusieurs pistes abracadabrantesques n’aboutirent jamais. Les plus scandaleuses, deux proches de Buckingham Palace : le prince Albert-Victor, petit-fils de la reine Victoria, et Sir William Gull, chirurgien de la Cour. Les plus médicales : le docteur Roselyn Donston, Michael Ostrog, chirurgien russe, et le fils d’un médecin, Montague J Druitt. La plus raciale : Aaron Kosminski, juif polonais fou.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Royaume-Uni : Londres – Le paradis du shopping

Les soldes
Deux périodes sont à privilégier pour les bonnes affaires : les soldes d’hiver en janvier et celle d’été en juillet. Les prix sont souvent divisés par deux, voire plus, et cela dès le premier jour. Tous les magasins, du plus chic au plus basique, se transforment alors en joyeux bazars. Ambiance cool. Ici, au pays du flegme, pas de panique… Si vous manquez ces rendez-vous annuels, rassurez-vous, toute l’année des promotions et autres rabais s’offrent à vous, dans tous les quartiers de la capitale.
 
Les grands magasins
Institution autant que magasin, la visite d’Harrods à Knightsbridge évidemment s’impose. Les prix y sont à la hauteur de sa réputation : c’est le luxe pharaonique ! Le Food Hall est à conseiller pour acheter les thés « maison » dans leurs boîtes vertes. En sortant du magasin, aller voir, au coin d’un escalier, la stèle érigée par le maître des lieux à la mémoire de son fils Dodi El Fayed et de Diana Spencer.

Plus bourgeois, moins touristique, et particulièrement prisé des Londoniens, Harvey Nichols, son proche voisin, est largement ouvert aux créateurs. Selfridges, sur Oxford Street, est le grand magasin par excellence de la mode. Liberty sur Regent Street séduit par sa façade Tudor et ses imprimés fleuris inimitables. Peter Jones de Sloane Square a le charme discret des magasins cossus. Ses rayons cuisine et linge de maison sont irrésistibles. Et Marks & Spencer, chaîne à prix doux, offre de bonnes surprises aux rayons enfants et lainages.
 
Arpentez King’s Road…
Moins touristique qu’Oxford Street, moins snob que Bond Street, moins ostentatoire que South Kensington et moins courue que Knightsbridge, le quartier de Sloane Square et King’s Road à Chelsea sont parfaits pour un shopping familial. Quelques bonnes maisons : Hackett et ses polos rayés pour les messieurs, Hobb’s, Jigsaw et L.K. Bennett pour les vêtements (grandes tailles possibles) destinés aux dames coquettes, Trotters et Petit Bateau pour les enfants. Pour des cachemires à prix compétitifs : Brora. Pour leurs collections raffinées : Bamford et Joseph. Des valeurs sûres : Penhaligon’s pour leurs eaux de toilette incroyables, Body Shop et Boots pour les soins corporels, Peter Jones, Heal’s et Habitat pour la maison.
 
Les musts so british
Difficile de faire un choix. Voici toutefois des établissements « coups de cœur » pour certaines catégories de produits. Pour les thés : Fortnum & Mason (SW1). Le temple centenaire des parapluies : James Smith and sons (WC1). Les chemises sur mesure : Turnbull & Asser (SW1). Daunt Books (W1U), vaste librairie edwardienne. Hamleys (W1), incomparable magasin de jouets. Conran Shop (SW3), le magasin du gourou de la décoration. Smythson (W1), le roi du papier à lettres. Et toujours Church’s, incontournable pour les chaussures, Burberrys pour ses trench-coats et Paul Smith pour ses costumes.
 
Les marchés aux puces et les charity’s shops
A Londres, les marchés aux puces, ouverts le week-end, proposent le pire et le meilleur. On y trouve des vieilles fripes « seventies », de la vaisselle, de l’argenterie, des bijoux artisanaux, des gravures et une multitude d’objets hétéroclites pour amateurs de brocante et d’« antiques ». Portobello (W11) est le plus connu. Découvrir aussi Camden (NW5) et Brick Lane (E1). Quant aux charity’s shops, elles sont nombreuses et recyclent parfois des vêtements de grandes marques.

Catégories
Dossier moyen (600 mots)

Royaume-Uni : Londres – Les lieux à la mode

Les restaurants branchés
Il y a bien longtemps que Londres est devenue une capitale gastronomique. Des chefs créatifs ont su réinterpréter avec audace la cuisine locale en y intégrant toutes les saveurs exotiques issues de l’ancien empire colonial. Les additions sont à la hauteur de leur célébrité et les réservations indispensables.

Le Nobu de Berkeley (Mayfair) est le restaurant japonais le plus branché. Sa clientèle internationale de stars et autres « people » attirent les paparazzi qui campent près de l’entrée. Le Yauatcha dans Soho mélange « dim sum » et desserts français. Dans le même quartier, l’Arbutus excelle dans le mixte franco-anglais (prix doux) et The Ivy reste un classique toujours dans le coup avec service et homard dans la grande tradition « british ».

Le E&O, au cœur de Notting Hill, rassemble les « beautiful » riverains pour des brunchs aux parfums d’Asie. A deux pas, l’Electric Brasserie est le repaire des cinéphiles, car elle jouxte le cinéma éponyme qui, équipé de fauteuils-club en cuir et de repose-pieds, permet de visionner dans un confort extrême le dernier film dont on parle.

The Landau, restaurant de l’hôtel The Langham à Portland Place, est du plus grand chic, fréquenté par les designers et les couturiers. Le St John Restaurant, proche de la City, se fait le champion des cochonnailles et autres abats cuisinés avec caractère. Le Launceston Place Restaurant avec ses salles à manger intimes a été, en son temps, l’un des refuges de la princesse de Galles. Aujourd’hui, il est toujours prisé par la « gentry ».
 
Les gastro-pubs
Mieux que la cuisine rustique du pub traditionnel et moins sophistiqué que les restaurants, Londres a inventé les gastro-pubs. Certains sont très recherchés et, là aussi, les réservations s’imposent.

Nos préférés : Tom’s Kitchen (SW3) pour son ambiance chaleureuse et sa cuisine revigorante ; Bumpkin (W11) qui revisite avec talent la cuisine anglaise ; The Admiral Codrington (SW3), un ancien pub, qui sous une agréable verrière propose de jolis plats de poissons à une clientèle longiligne ; The Cow (W11), petit pub pour initiés, qui propose des fruits de mer ; The Royal Exchange (EC3), ancien temple victorien de la finance, un resto-bar qui a pris possession de « la corbeille » pour restaurer les jeunes tradersde la City.
 
Les bars à cocktails et à vins
Moins populaires que les pubs traditionnels, des bars rivalisent d‘imagination pour séduire une jeune et brillante société. Deux incontournables : Eclipse à Chelsea très prisé pour ses « passion fruit martinis » et Shampers à Soho qui propose 25 vins à déguster au verre.
 
La vie nocturne
Londres offre un vaste choix d’endroits branchés pour sortir le soir ou aller danser, entre rock, disco, électro et salsa. Mais le principe des clubs étant de proposer chaque semaine en livedes musiciens et des DJ’s, le plus sûr est de s’en remettre aux pages spécialisées de « Time Out ». Cet hebdo recense la vie nocturne londonienne et donne les bons plans. Les clubs privés étant… très privés, vous aurez peu de chance d’y accéder, à moins de connaître des habitués.